LAC-ETCHEMIN. Après avoir annoncé le retour du Festival de l’élégance, qui aura lieu en septembre, la direction de l’Éco-Parc des Etchemins prépare la tenue d’un autre festival pour lancer sa saison estivale.

C’est toujours l’hiver, nais qu’;a cela ne tienne, le directeur général de l’Éco-Parc, François Charest, est prêt pour le premier festival de « paddleboard » qui sera présenté sur le lac Etchemin cet été. (Photo : La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

Le directeur général François Charest a confirmé qu’un festival de planches à pagaie, ou Festival SUP pour Stand-Up Paddle, aura lieu les 17 et 18 juin sur le site de l’Éco-Parc.

« Le nom officiel du festival n’est pas encore arrêté, mais ce sera assurément une activité à caractère familial qui attirera les adeptes de cette discipline qui est en plein essor partout au Québec », mentionne-t-il en précisant que la programmation, qui est en préparation, tournera autour de trois volets bien précis.

On souhaite d’abord instaurer un valet « initiation et formation » qui permettra aux néophytes de ce sport de découvrir les plaisirs de celui-ci. « Si les gens n’ont pas de planches à pagaie, ils seront les bienvenus, car des planches seront mises à leur disposition et il se peut que des fournisseurs soient aussi sur place et en mettent à la disposition de ceux qui sont intéressés. Les personnes qui ont déjà une planche pourront aussi en profiter pour développer de nouvelles techniques », indique-t-il.

S’ajoutera à ces deux jours de festivités un volet dit « amusant » avec des parcours à obstacles sur le lac que les gens pourront essayer.

« On fera cela pour s’amuser, ça ne s’adressera pas à des professionnels », poursuit-il en ajoutant qu’un volet plus familial, avec de nombreuses activités, sera au programme. Parmi celles-ci, notons la présence de jeux gonflables et d’un beach party le samedi soir, avec une ambiance tropicale qui permettra aux gens de danser directement sur la plage.

« On aura des planches à pagaie pour les enfants et une planche super longue de 18 pieds de long par 6 pieds de largeur pouvant recevoir 7 personnes. Ça va être amusant. On espère juste qu’il fera beau », mentionne M. Charest en ajoutant que la direction de l’Éco-Parc était actuellement à la recherche de bénévoles pour siéger sur le comité organisateur ou lors de ces deux journées. Il invite d’ailleurs les intéressés à communiquer avec lui par le biais de l’adresse courriel ou de la page Facebook de l’Éco-Parc.

« La programmation est en préparation et nous sommes ouverts à la venue de nouvelles idées et surtout de personnes intéressées à s’impliquer. S’il y a des instructeurs spécialisés dans ce domaine dans la région, on veut leur parler », poursuit M. Charest en ajoutant qu’il s’agirait du premier festival du genre, sur deux jours, au Québec.

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 17 février 2023

Le porte-parole de la Fabrique de la paroisse Sainte-Kateri-Tekakwitha Marcel Rancourt était de passage aux studios de Passion FM la semaine dernière pour discuter de la décision de l’organisation de vendre le Presbytère et les terrains adjacents, annoncé la semaine dernière et présenté au public dimanche.

Selon monsieur Rancourt, l’objectif ici sera de se servir de ces nouveaux fonds pour financer les coûts d’entretien et de rénovations de l’église, qui nécessiteront quelques investissements supplémentaires dans les prochains mois.

Une rencontre d’information se tenait d’ailleurs dimanche matin à Lac-Etchemin, visant à faire connaître les raisons derrière ce geste de la Fabrique; on parle ici de la baisse de la fréquentation de l’Église, et également des contributions financières volontaires provenant des résidents, réduisant le budget disponible pour l’entretien de ces bâtiments religieux.

Les intéressés à avoir plus d’informations sur la vente du Presbytère de Lac-Etchemin peuvent contacter la paroisse de Sainte-Kateri-Tekakwitha.

 

Source : Jasmin Blanchette, Passion FM, 13 février 2023

SPORTS. Après 16 années sur le circuit de la Coupe du monde de ski alpin, la skieuse Marie-Michèle Gagnon a annoncé qu’elle prendra sa retraite à la fin de la présente saison.

La skieuse Marie-Michèle Gagnon a confirmé qu’elle prendra officiellement sa retraite du circuit de la Coupe du monde de ski alpin au terme de la présente saison.  (Photo : La Voix du Sud – Éric Gourde)

La fierté de Lac-Etchemin en a fait l’annonce ce vendredi 10 février en marge des Championnats du monde de ski alpin qui se déroulent actuellement en France.

Les dernières semaines ont été difficiles pour l’athlète de Lac-Etchemin qui avait lourdement chuté lors de la première descente de la Coupe du monde présentée le 20 janvier à Cortina D’Ampezzo, en Italie.

Mercredi, elle avait dû se contenter d’une 26^e place lors du super-G des Championnats du monde, une déception avait-elle reconnu tout en disant ne pas se sentir bien.

Plus tôt aujourd’hui (vendredi), Gagnon avait décidé de ne pas prendre part à la descente de samedi, en raison de son état de santé et d’un manque d’assurance sur les pistes.

L’athlète de Lac-Etchemin compte bien terminer la saison et profiter des trois dernières courses qui s’offrent à elle. Sa dernière course devrait être se dérouler le 16 mars prochain, à Soldeu, dans la Principauté d’Andorre, lors des finales du circuit.

Rappelons qu’un peu plus tôt en janvier, le conjoint de Marie-Michèle Gagnon et membre de l’équipe américaine de descente, Travis Ganong, avait lui aussi annoncé sa retraite de la compétition au terme de la présente saison.

Sereine dans sa décision

Quelques heures après l’annonce de sa retraite, Marie-Michèle Gagnon mentionnait, dans un entretien avec le journal, qu’elle savait depuis décembre dernier que cette saison serait sa dernière. Le fait de pouvoir l’annoncer et d’en parler a un effet libérateur pour elle, comme ce fut le cas pour son conjoint quelques semaines auparavant.

« Avant le début de la saison, je ne savais pas si cela être ma dernière année, car j’étais complètement impliquée et motivée. Au début du mois de décembre cependant, je me disais qu’il était de passer à autre chose, en sachant que je faisais cela depuis longtemps. Ce sentiment s’est tranquillement installé chez moi », mentionne-t-elle en ajoutant qu’aucun événement précis, même sa plus récente chute, n’avait influé sur sa décision.

« Il y a eu beaucoup de questionnement autour de ma chute en Italie et tout cela, sans oublier le fait de me retirer de la descente cette fin de semaine. J’avais déjà planifié, avec le responsable des médiais de Canada Alpin ici en Europe, de l’annoncer, mais plus à la fin des Championnats du monde. Comme j’avais décidé de ne pas prendre part à la descente de samedi, on se doutait qu’il y aurait beaucoup de questions », poursuit-elle en se disant très sereine avec sa décision.

Si elle dit avoir bien des projets, mais rien de concret pour le moment, en vue de son après-carrière, Marie-Michèle souligne qu’elle et son conjoint en profiteront d’abord pour voyager et faire des activités qu’ils souhaitent réaliser depuis longtemps.

« On va avoir plus de temps libres dans notre horaire. On souhaite construire une nouvelle maison dans la région de Squaw Valley, mais on ne sait pas quand, ça reste à voir », poursuit-elle en ajoutant qu’elle avait vécu pleinement sa vie de skieuse et partait l’esprit libre, sans regrets.

« Il y a toujours le prochain objectif que tu te fixes, comme celui d’aller chercher un premier podium en descente d’ici la fin de la saison pour moi. Je suis fière de ce que j’ai réalisé, mais le fait d’avoir été polyvalente et d’avoir performé dans toutes les disciplines, c’est l’une de mes plus grandes fiertés », indique celle qui a pris part aux épreuves de vitesse et techniques, sans oublier le slalom parallèle et le combiné.

Soulignons que Marie-Michèle Gagnon profitera des prochains jours pour se reposer et s’entraîner en Europe, afin de retrouver sa confiance en vue des trois dernières courses de la saison de la Coupe du monde.

Fierté pour les parents

Invitée à commenter la décision de sa fille de prendre sa retraite de la compétition active à la fin de la saison, la mère de Marie-Michèle, Marie-Luce Giguère, a souligné qu’un grand sentiment de fierté l’animait, tout comme son mari Daniel Gagnon. Elle ajoute que la polyvalence dont a fait preuve leur fille, tout au long de sa carrière, représentait également un grand élément de fierté pour eux. Le couple se rendra à Soldeu, en fin de saison pour voir Travis et Marie-Michèle mettre un terme à leurs carrières respectives.

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 10 février 2023

HISTOIRE. La municipalité de Sainte-Rose-de-Watford célèbre ses 125 ans en 2023. L’événement sera souligné avec la tenue de différentes activités tout au long de l’année.

Le coup d’envoi des festivités du 125e anniversaire de la municipalité de Sainte-Rose a été donné par la présidente Marie-Josée Roy qui est entourée du préfet Camil Turmel, du maire Jean Bernier ainsi que par d’autres membres du comité organisateur. (Photo : La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

Le coup d’envoi de ces festivités a été donné le jeudi 9 février lors d’un cocktail réunissant une quarantaine de personnes à la Salle J.-A.-Nadeau.

Fondé à la fin de l’été seulement, le comité organisateur présidé par Marie-Josée Roy s’est mis en œuvre en octobre afin de concocter une série de 14 activités qui seront présentées tout au long de l’année 2023. Une fin de semaine intensive aura lieu du 30 juin au 2 juillet et ces festivités devraient se terminer le 16 décembre. Une première activité, soit un tournoi de cartes, sera d’ailleurs présentée ce dimanche 12 février.

Membre du comité organisateur, le maire Jean Bernier s’est occupé du financement, « ce qui a permis aux bénévoles du comité organisateur de se mettre en mode activités et concentrer leurs efforts sur la mise en place d’un calendrier d’activités », a-t-il indiqué en ajoutant que ses efforts avaient, jusqu’ici, permis d’amasser 32 600 $ auprès de différents partenaires.

« On va assurément doubler ce montant en dépenses, mais on aura des activités qui seront payantes, notamment certains spectacles plus onéreux et la nourriture, sinon ce sera gratuit pour les gens », a-t-il ajouté en terminant.

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 10 février 2023