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Auteur/autrice : CJE Etchemins

28 Nov

Chambre de commerce de Sainte-Justine: Transport Lapointe se présente

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 28 Nov 2024

CONFÉRENCE. Une trentaine de personnes assistaient, le mardi 19 novembre, au plus récent souper-conférence de la Chambre de commerce de Sainte-Justine, événement qui se tenait au Restaurant L’Incognito.

Janic Gaudreau et Catherine Lapointe en compagnie du président de la Chambre de commerce de Sainte-Justine, Martin Chabot. (Photo La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

Comme c’est la coutume, les administrateurs de l’organisme invitaient les propriétaires d’une entreprise locale à se présenter aux membres et pour l’occasion, les conférenciers invités étaient Janic Gaudreau et Catherine Lapointe, nouveaux propriétaires de l’entreprise Transport Lapointe.

Ceux-ci ont brossé un historique de l’entreprise officiellement fondée en 1972 par l’arrière-grand-père et le grand-père de Mme Lapointe, Alphonse et Yvon, comment le fils de ce dernier, Normand, s’est associé à son père à la fin des années 1980 avant de prendre officiellement les rênes en 1998. Le couple s’est associé à Normand Lapointe en 2019 avant devenir les uniques propriétaires en juillet 2024, moment où Normand Lapointe a décidé de prendre sa retraite.

Présent à l’activité, lui qui est aussi membre du conseil d’administration de la Chambre de commerce, Normand Lapointe a souligné qu’il profitait pleinement de sa retraite, tout en offrant son concours et ses conseils à sa fille et son gendre dans la suite des choses.

Janic Gaudreau et Catherine Lapointe ont aussi raconté la progression de l’entreprise au fil des ans et des acquisitions de lignes d’autobus scolaires et autres, ainsi que les récents investissements en matière d’électrification des transports, eux qui possèdent actuellement trois autobus scolaires électriques et en ajouteront un quatrième au courant de l’année 2025.

À cet effet, ils ont rappelé les importants investissements requis pour se conformer à la loi qui, depuis octobre 2022, oblige dorénavant les transporteurs scolaires à acheter uniquement des autobus scolaires neufs 100 % électriques. Tout en rappelant les limites de ces derniers en matière d’autonomie, ils ont dit avoir récemment profité d’une visite de la députée Stéphanie Lachance et du ministre responsable de la région Chaudière-Appalaches, Bernard Drainville, afin de les sensibiliser à cet état de fait et à l’importance de moduler la loi aux réalités des régions, leur rappelant que les longues distances étaient l’ennemi principal des autobus scolaires qui offrent une autonomie dépassant à peine les 200 km jusqu’ici.

Ils ont aussi rappelé qu’un autobus scolaire a normalement une durée de vie d’une douzaine d’années et qu’en vertu de la loi actuelle qui les empêche d’acheter des véhicules neufs ou même usagés fonctionnant au diesel, ceux-ci étant de plus en plus rares, l’entreprise ne pourrait plus offrir, à plus ou moins brève échéance, les sorties scolaires ou de groupes sur de longues distances en raison d’un manque de véhicules, ce qui pénalisera une importante clientèle, incluant bien sûr les enfants eux-mêmes et différentes équipes sportives, notamment.

En toute simplicité et en humour, Catherine Lapointe et Janic Gaudreau ont présenté l’historique de l’entreprise Transport Lapointe qui embauche aujourd’hui une quarantaine de personnes. (Photo La Voix du Sud – Serge Lamontagne)
Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 22 novembre 2024
28 Nov

Méga Rallye familial: nouveau soutien pour la cour de l’école Notre-Dame

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 28 Nov 2024

LAC-ETCHEMIN. Cent-dix personnes ont répondu à l’appel de l’organisateur Benoit Leclerc et participé à la 7e édition du Méga-Rallye familial de Lac-Etchemin qui se déroulait entre le 1er et le 31 octobre dernier.

Un chèque de 4 300 $ a été remis à Myrianne Fortin et Jean-Philippe Lehouillier par Benoit Leclerc, au centre sur la photo.  (Photo gracieuseté)

Comme l’an dernier, les profits de l’activité étaient versés au projet de réfection de la cour de l’école Notre-Dame, qui est en préparation. La soirée de remise des prix, animée par M. Leclerc, se tenait le vendredi 22 novembre au Centre des arts et de la culture, celle-ci attirant une belle foule.

Le grand gagnant du rallye et lauréat du Trophée Promutuel est Bruno Gourde. Les profits de l’événement se chiffraient à 4 300 $, somme qui a été remise comme on le mentionnait précédemment, au projet de revitalisation de cour de l’école Notre-Dame de Lac-Etchemin. Le comité du financement de la cour d’école a également tenu à souligner la générosité de Benoit Leclerc qui a fait un don personnel de 5 000 $ à ce projet.

Bruno Gourde a remporté la 7e édition du rallye, recevant par le fait même le Trophée Promutuel des mains de Benoit Leclerc et Jean-Philippe Lehouillier. (Photo gracieuseté)

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 26 novembre 2024

28 Nov

Fin des cours de francisation: inquiétude, stress et incompréhension

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 28 Nov 2024

LAC-ETCHEMIN. Depuis la fin des cours de francisation aux adultes décrétée par les centres de services scolaires de la province, incluant ceux de la région, le personnel en immigration au CJE des Etchemins a dit noter beaucoup d’inquiétude, de stress et d’incompréhension parmi la clientèle qui suivait ces cours, sans oublier les nouvelles normes fédérales pour les travailleurs étrangers temporaires.

Sonia Boutin, directrice générale du CJE des Etchemins, en compagnie d’Irene Valenzuela, Jacquelin Ortiz Bautista et Wendy Fallas, agentes d’accueil et d’intégration au sein de l’organisme. (Photo La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

« Nous avons eu, depuis la fin des cours le 12 novembre, entre six et huit clients qui sont venus nous voir pour savoir ce qui va se passer pour eux, car ils sont vraiment inquiets. Ce sont des travailleurs, mais surtout les conjointes qui doivent atteindre un certain niveau de français pour accompagner leurs conjoints dans leur démarche d’immigration, puis se trouver un emploi », indique Wendy Fallas, agente d’accueil en immigration au sein de l’organisme.

Cette dernière ajoute que le fait de devoir cesser ainsi ces cours de francisation devient un enjeu pour elles, car il leur sera plus difficile de s’adapter. Cela sans oublier les problématiques de transport pour se trouver un travail qui ne requiert pas un niveau de français trop élevé, ceux-ci se trouvant en ville principalement.

Selon la directrice générale Sonia Boutin, il y a aussi beaucoup d’inquiétude du fait qu’il y a peu ou pas d’information émanant du ministère de l’Immigration et de l’Intégration (MIFI) ainsi que de Francisation Québec, vers qui les étudiants en francisation sont redirigés depuis le 12 novembre.

« Les personnes sont inquiètes, car elles ne reçoivent pas d’information et sont un peu laissées à elles-mêmes. Est-ce qu’il y a d’autres programmes vers lesquels ils peuvent se tourner, ils ne savent rien du tout », indique-t-elle en convenant aussi qu’au MIFI, il se peut que les gens n’aient pas beaucoup de réponses à donner, la décision s’étant prise rapidement et sans véritable préavis.

« Les gens viennent pour qu’on les accompagne dans leur inscription à Francisation Québec, mais encore là il n’y a pas d’information et on ne sait pas quand les cours vont débuter. Plusieurs étaient sur le point de terminer leur niveau de francisation et tout d’un coup, il n’y a plus rien. Comme organisme, on ne sait rien et on ne reçoit aucune information non plus. Ce faisant, on peut encore moins informer et accompagner notre monde », poursuit-elle en ajoutant qu’au MIFI, on leur dit d’inscrire les gens en ligne, mais qu’il n’y aurait pas encore de date prévue pour amorcer un groupe, car ils manquent d’enseignants.

« C’est un enjeu, car on ne sait plus quoi répondre à nos clients. Ils viennent ici pour avoir des réponses, mais ils repartent bien souvent les mains vides, car on n’en a pas à leur donner. C’est aussi un enjeu pour ces familles qui ont une maison, des enfants qui commencent à faire des études professionnelles et qui ne peuvent pas poursuivre leurs démarches visant à obtenir leur certificat de sélection du Québec, car tout est arrêté. Ces personnes doivent avoir un niveau de français B2, mais comment peuvent-ils l’obtenir s’il n’y a plus de francisation ? », exprime pour sa part Irene Valenzuela, elle aussi agente d’accueil et d’intégration au CJE.

Effets collatéraux

Mme Boutin et ses collègues mentionnent que le fait de ne plus être inscrits en francisation peut amener plusieurs problématiques, en parallèle, pour les personnes concernées, que ce soit l’impossibilité de déposer une demande de renouvellement à la RAMQ, ce qui entraînera d’importants coûts en matière de soins de santé pour eux.

« Ces femmes recevaient bien souvent une allocation mensuelle pour étudier à temps plein et elles la perdent, ce qui aura un impact sur le revenu familial. On a des femmes qui souhaitent intégrer le marcher du travail, car elles n’ont plus accès aux cours de francisation, mais qui ne peuvent pas le faire, car elles ne parlent pas français ou pas assez. C’est une roue qui tourne », de dire également Mme Boutin.

Jacqelin Ortiz Bautista, qui est aussi agente d’accueil et d’intégration auprès de la clientèle immigrante, dit également trouver dommage la fin de ces cours de francisation, ce qui selon elle vient à l’encontre de la volonté du gouvernement de faire la promotion de la langue française, en empêchant les immigrants d’apprendre la langue.

« Cela brime les droits des personnes de s’exprimer. Comment voulez-vous que je m’exprime et me fasse comprendre si je ne peux pas assez bien parler français ? C’est vraiment dommage que le gouvernement coupe ce droit aux gens de s’exprimer en mettant ainsi terme aux cours de francisation », de renchérir sa collègue Wendy Fallas.

Mme Boutin ajoute que si les budgets actuels en francisation ne sont pas haussés en vue de l’an prochain, le même problème reviendra pour les cours de francisation qui ne pourront pas être rendus à terme.

« On perd l’expertise des gens qui offraient les cours de francisation et ont perdu leur poste, car ceux-ci ont été ou seront affectés à d’autres tâches, alors que d’autres se trouveront un emploi ailleurs », précise-t-elle en mentionnant que récemment, le CJE a reçu des demandes pour des cours de francisation en provenance de deux femmes anglophones de l’Ouest canadien qui pourront ne pas y avoir accès non plus, dans ces circonstances.

« Tout va être à recommencer et ce n’est pas tout le monde qui a accès aux cours en ligne, car ils n’ont pas Internet à la maison ou encore accès à un ordinateur portable. Cela ne convient pas à tout le monde et c’est d’autant plus vrai en région. C’est tout un défi d’apprendre en ligne… encore plus qu’en présentiel. »

Jacquelin Bautista souligne que certaines personnes regarderaient pour des cours de francisation privés, mais se demandent si leurs résultats seront reconnus pour la suite de leurs démarches d’immigration et comment elles pourront se les offrir si n’ont pas accès à un emploi.

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 26novembre 2024

28 Nov

Travailleurs étrangers: Rotobec dénonce les nouvelles règles fédérales

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 28 Nov 2024

INDUSTRIE. Les nouvelles règles fédérales en matière de travailleurs étrangers temporaires ainsi que la fin des cours de francisation, pour l’année en cours, représentent des obstacles dont se seraient passées bien des entreprises manufacturières de la région.

Dirigeants et travaillerus étrangers temporaires de Rotobec s’élèvent contre les nouvelles mesures fédérales pour les travailleures étrangers temporaires. Le PDG Julien Veilleux et la responsable des ressources humaines, Cathy Roberge, sont accompagnés de Jairo Jiménez, Andres Garzon et Guatavo Umana. (Photo La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

Avec 79 employés sur 301 issus de l’immigration œuvrant à son usine de Sainte-Justine, l’entreprise Rotobec dit accepter difficilement les nouvelles règles fédérales qui pourraient la priver, à court et très moyen termes, d’une quarantaine de travailleurs qualifiés et formés, ce qui nuira à ses activités et à la reprise de sa croissance qui s’amorcera en 2025.

Selon ces nouvelles règles annoncées le 26 septembre et qui sont en vigueur depuis le 8 novembre, le ratio de travailleurs étrangers dits « à bas salaire » ne devra pas dépasser 10 % de la main-d’œuvre au sein de nombreuses entreprises, incluant les traitements simplifiés. Le renouvellement des permis de travail sera d’une durée d’un an seulement, au lieu de trois, et cette nouvelle règle s’appliquera à tous les employés touchant 32,96 $ de l’heure ou moins.

Trois secteurs, soit ceux de la construction, de la santé et de la transformation agroalimentaire ne seront pas concernés par cette récente décision, le ratio étant maintenu à 20 % à ces endroits.

« Avant le 25 octobre, le plafond salarial pour les employés concernés était de 27,47 $, ce qui était viable pour nous. Puis ils nous ont annoncé celui-ci grimpait à 32,96 $ l’heure à compter du 8 novembre », indique la responsable des ressources humaines chez Rotobec, Cathy Roberge en précisant qu’en 2025, l’entreprise devra renouveler 28 permis de travail fermés venant à échéance, cela pour un an.

Le PDG Julien Veilleux, qui se dit lui aussi très amèrement déçu des nouvelles règles fédérales, souligne que si certains effets se feront sentir en 2025, c’est davantage en 2026 que l’on verra les effets néfastes de ces nouvelles mesures, alors que l’ensemble de ces permis de travail, ou presque, devra être renouvelé.

« J’aurai alors le droit de garder 30 travailleurs sur 79. Qui je choirai ? Ce n’est pas gérable et ça ne le sera pas davantage à ce moment », déplore-t-il en rappelant, tout comme Mme Roberge, que ces travailleurs ont déjà fait d’énormes sacrifices en vendant tout ce qu’ils avaient dans leur pays pour changer de vie et venir s’établir ici, à la demande de l’entreprise et du Canada lui-même.

« C’est tout le secteur manufacturier de la région, pas seulement nous, qui va écoper. La croissance de plusieurs de nos entreprises est menacée. On va assister à une importante baisse de la main-d’œuvre dans la région, c’est certain », mentionne-t-il également.

Fierté et fragilité

Julien Veilleux souligne que 32 pour cent des travailleurs immigrants temporaires qu’ils ont embauchés jusqu’ici avaient réussi leur francisation et ainsi obtenu leur résidence ou citoyenneté canadienne, ce qui est un objet de fierté pour l’entreprise.

« Nos employés ont appris le français, se sont installés dans la région et apporté leur famille ici, ont inscrit leurs enfants à l’école et permis à ceux-ci de s’intégrer. Ils ont tout fait ce qu’on leur a demandé et là, on leur dit que ça ne marche plus, qu’ils devront possiblement partir. Ce n’est pas humain », poursuit M. Veilleux qui dit craindre, dans le futur, bien des drames humains du fait que plusieurs de ces employés pourraient devoir partir, eux qui ont emprunté pour acheter des maisons, du mobilier ou des automobiles, par exemple.

Cathy Roberge dit avoir organisé une rencontre avec toutes les personnes qui n’avaient pas encore leur CSQ (certificat de sélection du Québec) et qui embarqueront, malgré eux, dans le ratio établi par le fédéral.

« On ne peut pas leur promettre, pour le moment, que l’on va sauver tout le monde, car on n’a pas beaucoup d’information à leur donner. On ne comprend pas cette décision radicale et unilatérale du gouvernement. Notre objectif demeure le même, soir de sécuriser les gens ici, car leur avenir nous tient à cœur. »

Cathy Roberge et Julien Veilleux se disent conscients qu’il y a assurément un problème d’immigration au Canada, avec une crise du logement, rappelant que les réalités des grandes villes comme Montréal, Toronto ou Vancouver ne sont pas les mêmes que celles des régions comme la nôtre.

Peur de perdre leur place

Trois des employés concernés par la question, Jairo Jimenez, Gustavo Umana et Andres Garzon, disent eux aussi trouver la situation difficile et inquiétante du fait que plusieurs employés ayant moins d’ancienneté qu’eux, et dont les permis viendront à terme en 2026 ou 2027, pourraient rester alors qu’eux risquent de partir, ce qui les rend très inquiets.

Cathy Roberge précise d’ailleurs qu’une quinzaine de travailleurs costaricains et colombiens, ayant des permis de travails valides jusqu’en 2026 ou 2027, et qui sont toujours dans leur pays, devront attendre avant de venir ici, l’entreprise préférant idéalement garder ceux qui sont déjà sur place.

Discussions politiques et des appuis

Julien Veilleux dit avoir eu des discussions sur le sujet avec la députée fédérale Dominique Vien, mais également avec le député provincial Luc Provençal qui aurait les mains liées dans le dossier de la formation, même s’il leur accorde son appui.

« Les Conservateurs n’ont pas été capables de nous donner de position, car leur chef n’a pas encore pris la parole sur le sujet. Mme Vien m’a dit qu’elle entendait mon point, qu’elle comprenait et qu’elle me reviendrait sur ce sujet. Ils sont conscients qu’il y a un problème d’immigration et qu’il faut le régler, mais ils ne savent pas comment ils vont le faire, qu’ils en discuteront en caucus. Il faut en parler pour que ça bouge. Ce n’est pas logique, autant pour l’entreprise que pour les individus concernés. »

Il se réjouit que divers lobbys soient de leur côté, que ce soit le conseil du patronat du Québec, Manufacturiers exportateurs Québec et autres. « Même le syndicat des Métallos et la FTQ sont de notre côté. Personne ne comprend vraiment ce qui se passe dans ce dossier. Tout le monde est de notre bord, mais le gouvernement est contre nous et c’est déplorable », d’affirmer le dirigeant.

Croissance au sud de la frontière ?

Après une année difficile, Julien Veilleux mentionne que Rotobec retournera peu à peu en mode croissance au cours des deux prochaines années, période au terme de laquelle l’entreprise devrait embaucher entre 400 et 425 personnes. Le PDG craint cependant les effets de la nouvelle règlementation fédérale qui risque de nuire à ce développement en terre etcheminoise.

« Avec les nouveaux ratios, il sera difficile d’atteindre ces objectifs de croissance. Est-ce que cela nous obligera à nous tourner vers les États-Unis où nous avons deux usines et où on pourrait en ajouter une troisième ? Ce n’est pas ce que l’on souhaite », mentionne-t-il en rappelant que Rotobec a à sa disposition, du moins pour le moment, la main-d’œuvre et l’expertise nécessaires pour assurer cette croissance à Sainte-Justine, incluant les travailleurs étrangers temporaires.

Pour Julien Veilleux et Cathy Roberge, les 32 $ l’heure et la limite des 10 % sont les questions les plus importantes, davantage que la francisation qu’ils ont déjà fait à l’interne et sont capables de reprendre sous leur responsabilité. (Photo La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 20 novembre 2024

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