La 23^e édition de l’Expo-sciences Desjardins, qui se tenait les 25 et 26 janvier à la polyvalente des Abénaquis de Saint-Prosper a dévoilé la liste de ses gagnants. 

Prix challenge CSBE primaire
Léa Bolduc et Rose-Marie Poulin
Titre du kiosque : La mémoire et ses rangements
École La Tourterelle de Saint-Benjamin

Premier prix challenge CSBE 1 er cycle du secondaire
Julien Rhéaume
Titre : Électricité
École des Deux-Rives de Saint-Georges

Deuxième prix challenge CSBE 1 er cycle du secondaire
Guillaume Dumas
Titre : Saturn V
École des Deux-Rives de Saint-Georges

Premier prix challenge CSBE 2 e cycle du secondaire
Émile Tremblay-Antoine et Tommy Audet
Titre : Arduino
Polyvalente Benoît-Vachon de Ste-Marie

Deuxième prix du Challenge CSBE 2 e cycle du secondaire
Jordane Guillemette et Naomie Jacques
Titre : La vérité démasquée
Polyvalente Bélanger de Saint-Martin

Premier prix du Challenge Desjardins
Ariane Morin et Lesly Roy
Titre : Anti-BIO- tique topique
Polyvalente Saint-François de Beauceville

Deuxième prix du Challenge Desjardins
Nicolas Bolduc-Lachance et Randy Landry
Titre : Électricité sans limite
Polyvalente Bélanger de Saint-Martin

Prix coup de cœur du public niveau primaire
Coralie Giguère
Titre : Les arbres de cristaux
École des Sommets de Saint-Zacharie

Prix coup de cœur du public niveau secondaire
Gabriel Guay et Marc-Antoine Pouliot
Titre : L’orgasme : allez viens!
Polyvalente des Abénaquis de Saint-Prosper

Source : EnBeauce.com, par Alex Drouin, publié le 29 janvier 2018

HOCKEY. La polyvalente des Abénaquis mettra en place, dès septembre 2018, un nouveau programme de hockey scolaire cadet, réservé aux jeunes nés entre le 1^er octobre 2003 et le 30 septembre 2005.

Selon le directeur de l’établissement scolaire, Pierre Rodrigue, ce projet permettra aux élèves hockeyeurs de pratiquer leur sport préféré pendant les heures scolaires, qu’il s’agisse des pratiques ou encore des rencontres contre les autres équipes du circuit régional cadet du Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ), qui comprend notamment des formations de la Beauce et de la région de Québec.

Une soirée d’information aura lieu le mercredi 31 janvier 19 h à l’auditorium de la polyvalente des Abénaquis. Les parents intéressés par ce nouveau projet recevront tous les renseignements nécessaires et décider dans quel niveau (division 2 ou 3) leur équipe pourra s’inscrire.

Cette invitation est lancée autant aux gars qu’aux filles. L’équipe sera dirigée par Éric Deblois, enseignant en éducation physique à la Polyvalente des Abénaquis, appuyé de Guillaume Couture.

La priorité sera donnée aux élèves du secteur Abénaquis, mais ceux venant d’autres secteurs comme Sainte-Justine ou Saint-Georges pourront être acceptés, en fonction du nombre d’inscriptions et de places disponibles.

Source : La Voix du Sud, par Serge Lamontagne, publié le 25 janvier 2018

Les corps de cadets de St-Zacharie et de la Frontière de Ste-Justine seront représentés ce soir et demain à St-Georges, à l’occasion des 40e Jeux des cadets de Chaudière-Appalaches.

Près de 350 cadets de neuf unités différentes participeront à cette compétition amicale dans cinq disciplines, soit kin-ball, volley-ball, soccer, biathlon en raquette et les 12 travaux d’Astérix.

Les meilleurs de chaque discipline se mériteront les médailles d’or, d’argent et de bronze. De plus, les trophées des jeux et d’esprit d’équipe seront remis aux corps de cadets les plus méritants

Les Jeux des cadets prendront fin avec la remise des médailles samedi en soirée à la Polyvalente de St-Georges, sous la présidence d’honneur de Claude Morin, maire de St-Georges et ancien militaire.

Source : Passion FM, par Normand Poulin, publié le 26 janvier 2018

Marie-Josée Maheux et Philippe Paquet peuvent compter sur le soutien de Simon Giguère, eux qui sont officiellement propriétaires du garage Simon Giguère de Sainte-Aurélie depuis le 1er janvier.

Les nouveaux entrepreneurs estiment qu’il est primordial pour les entreprises d’une municipalité comme Sainte-Aurélie aient une relève. «Les villages doivent garder leurs services le plus possible», mentionne Mme Maheux. «Ce sont les services offerts dans un village qui empêche ce dernier de fermer», ajoute M. Giguère.

La transition entre l’ancien propriétaire et les nouveaux s’est amorcée en novembre dernier. Selon le trio, les choses se déroulent bien jusqu’à présent. «Ça va bien, car nous avons de l’aide. Simon est présent chaque jour. Il nous donne de son temps autant que nous en avons besoin, que ce soit au niveau de la mécanique ou de la gestion», indique-t-elle.

«Nous n’aurions pas pu démarrer une entreprise seuls, nous n’aurions pas été capables. De nos jours, ce n’est pas possible de partir un garage dans une petite municipalité. En prenant la relève, nous ne commençons pas à zéro. Nous gardons la même clientèle et le nom de l’entreprise est déjà fait», affirme M. Paquet, qui travaille au garage Simon Giguère depuis six ans.

Selon Mme Maheux, il est important que les personnes plus âgées qui ont une entreprise aient une relève, mais aussi qu’elles donnent un coup de main aux jeunes qui assureront la pérennité de ce qu’ils ont bâti. «Ils devraient être des mentors comme Simon l’est avec nous. Ça donne un coup de pouce aux jeunes», croit-elle.

Elle cite en exemple M. Giguère qui a pris le temps de la former au niveau de la mécanique et de la carrosserie. «Je travaillais dans la vente avant de travailler au garage. Je n’avais pas toutes les connaissances requises et Philippe n’avait pas le temps de me former, ni les mécaniciens», poursuit-elle.

«Si tout le monde le faisait un peu plus, ça arrêterait l’exode des petites paroisses vers les plus grandes villes. Maintenant, ils sont partis. La vie commence pour eux», renchérit M. Giguère qui, de son propre aveu, n’a plus la santé pour garder le garage. «Mais c’était plate que ça s’en aille. Je me suis donc dédié à la succession», conclut-il.

Source : L’Éclaireur-Progrès, par Sébastien Roy, publié le 24 janvier 2018