SAINTE-JUSTINE. Pour une huitième année, la Fondation de l’école des Appalaches et la direction de l’établissement scolaire honorait un ancien élève s’étant démarqué autant lors de son passage que dans sa vie professionnelle, par la suite.

Samuel Poulin a reçu a plaque honorifique qui sera installée prochainement sur le mur des célébrités de l’école des Appalaches. Il est entouré de Maxime Lessard, directeur adjoint de l’école des Appalaches, du directeur de l’établissement, Luc Lessard, ainsi que de Marika Labrecque et Caroline Rodrigue de la Fondation de l’école des Appalaches. (Photo : La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

C’était au tour de l’actuel député de Beauce-Sud, Samuel Poulin, d’être ainsi honoré et inscrit au mur de la renommée (Mentions de reconnaissance) de l’école au terme d’une cérémonie tenue le vendredi 17 mars dernier.

Finissant à l’école des Appalaches en 2007-2008, du temps où l’établissement s’appelait toujours Polyvalente des Appaches, Samuel Poulin a dit recevoir cet honneur avec beaucoup d’humilité.

« Je sais l’impact que la Polyvalente des Appalaches a eu dans mon parcours. Je n’étais pas le meilleur élève à l’école, car ma priorité était l’implication étudiante, surtout au niveau du conseil des élèves et du journal étudiant, mais il fallait que je réussisse. Comme je l’ai dit aux élèves, on ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie, chacun a son modèle ou sa trajectoire à suivre », a-t-il indiqué en saluant les enseignants qui ont influencé son parcours scolaire.

Seul finissant de l’école des Appalaches à avoir été élu député tant au provincial qu’au fédéral, le député de Beauce-Sud s’est adressé à un groupe d’élèves présents à l’auditorium pour l’occasion. Dans sa conférence, il est revenu sur le déroulement de sa carrière politique qui, a-t-il rappelé, a été marquée de hauts et de bas, comme tout le monde.

« J’ai perdu lors de ma première élection, puis j’ai été élu avec une des plus grosses majorités au Québec. On a cependant dû gérer l’une ces pires crises de l’histoire du Québec, soit la pandémie, et j’ai failli perdre la dernière élection, même si j’ai récolté 44 % des voix. J’ai fait face à une forte opposition, localisée à un seul endroit, sans oublier le taux de participation qui était le 5e plus élevé au Québec. Il est certain que la pandémie a joué un rôle dans le vote aussi », a-t-il ajouté.

Autant devant les jeunes que lors d’un entretien avec le journal, il a rappelé que s’il avait eu des mandats difficiles, il se réjouit de voir les nombreux projets qui ont vu le jour en Beauce-Sud au cours des dernières années et ceux à venir.

« Les gens constatent nos réalisations. Je suis heureux dans ce que je fais, les défis sont nombreux, surtout que le gouvernement du Québec s’occupe de tellement de choses. Devenir député, c’était mon objectif de carrière et j’avais Dominique Vien comme modèle. C’était ma députée quand j’étais jeune et elle avait une grande proximité avec ses citoyens et ses intervenants. Je voulais faire de la politique comme elle. »

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 21 mars 2023

PUBLIREPORTAGE. Organisme solidement implanté dans le milieu etcheminois, Parentaime Maison de la famille des Etchemins célèbre ses 25 années d’existence en 2023.

Josée Panneton, directrice générale, ainsi que Marie-Ève Veilleux-Venables, présidente de Parentaine Maison de la famille des Etchemins (Photo : gracieuseté)

Que de chemin parcouru depuis 1998 alors qu’un petit groupe de personnes, ayant pour objectif d’améliorer la qualité de vie des familles etcheminoises, fondait l’organisme qui avait d’abord pignon au 201, rue Claude-Bilodeau à Lac-Etchemin, soit l’ancien CLSC.

C’est en 2015 que la direction de Parentaime prenait la décision de déménager dans ses locaux actuels, au 319, rue du Sanatorium, voisin du Centre de santé des Etchemins.

« Nos anciens locaux étaient devenus trop exigus et ne nous permettaient pas d’accueillir les familles de façon adéquate. On a travaillé avec des gens du centre de santé pour louer le local actuel auquel nous avons apporté des modifications, ce qui permettait aux mamans avec leurs poussettes de venir chez nous. On a créé plein de services, à commencer par la halte-garderie », précise la directrice générale Josée Panneton en ajoutant que celui-ci est maintenant offert de 3 à 5 jours par semaine dans les deux points de service (Lac-Etchemin et Saint-Prosper), tellement la demande est grande !

Soulignons que depuis sa création en 1998, Parentaime, Maison de la famille des Etchemins, a pour mission d’accompagner les parents et de les soutenir dans leur rôle parental, en plus de voir au bon développement des enfants 0-5 ans. Cette mission s’est développée au fil des ans pour atteindre l’ensemble des 0-17 ans, l’organisme ayant notamment ajouté une clinique pédiatrique à ses services.

Les artisanes du départ

Parentaime a vu le jour grâce à un petit groupe d’artisanes pour qui la famille, surtout les enfants, était primordiale. Parmi celles-ci, notons Claudette Morin, Odette Bouchard, Lorraine de Champlain, Brigitte Larochelle, Linda Leblond et Suzie Lamontagne, requérantes, ainsi que Gina Gagné qui a joint Linda Leblond, Claudette Morin et Odette Bouchard sur le conseil d’administration provisoire. C’est aussi le cas de la première équipe composée de Germaine Lessard, coordonnatrice puis directrice générale de 1998 à 2013, Claude Quirion, adjoint administratif.

Équipe stable

Si Parentaime est solidement implanté dans la MRC des Etchemins depuis 25 ans, c’est notamment en raison de la stabilité de son personnel et de ses équipes de bénévoles, croit Josée Panneton qui est directrice générale depuis 10 ans. « Nos bénévoles demeurent souvent pendant deux, quatre ou même six ans sur le conseil d’administration. Il en va de même pour bénévoles à la friperie, par exemple. Il y a souvent des gens qui organisent des activités en plus que celles qui sont déjà à l’horaire », indique Mme Panneton.

Parentaime emploie actuellement 14 personnes, dont quatre sont à temps plein. En tout, ce sont près d’une cinquantaine d’employées qui ont œuvré à la Maison de la famille etcheminoise depuis sa fondation il y a 25 ans. « On a des employées qui sont ici depuis 22, 24 et même 25 ans. Ce sont des gens de cœur qui travaillent pour l’organisme et les familles, qui croient en sa mission et en ses valeurs », fait également valoir Mme Panneton en rappelant que les deux employées avec le plus d’ancienneté sont Louise Gilbert (1999) et Linda Henri (2002).

Point de service de Saint-Prosper

Après le déménagement dans les locaux de la rue du Sanatorium, en 2015, Parentaime ouvrait un point de service sur la 20^e Avenue à Saint-Prosper en 2017. « Chaque fois qu’on tenait des activités dans ce secteur de la MRC, il y avait toujours une grande réponse. On louait l’ancien aréna, à raison d’une fois par semaine, puis peu avant l’incendie, on a ouvert le point de service où l’on retrouve une halte-garderie et une salle de rencontres pour les parents », précise Mme Panneton.

« Dès qu’une situation concernant la famille se pointe, on se réfère à nous. Lors de notre dernière planification stratégique en 2015, on se projetait dans le temps et ce qu’on voulait, c’était de devenir la référence en matière de questions familiales dans Les Etchemins. »

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 16 mars 2023

C’est la semaine prochaine, plus précisément du 19 au 25 mars, que se tiendra la 18e édition de la Semaine québécoise des popotes roulantes sous le thème «Un maillon vital en maintien à domicile». 

De gauche à droite: Clermont Brochu, William Maillé et Claude Mathieu. (Crédit photos: Gracieuseté)

La popote roulante est un service qui offre la livraison de repas sains et nutritifs à des personnes âgées ou en perte d’autonomie, de façon régulière et à coûts abordables.

Les organismes, dont font partie Nouvel Essor et Entraide Solidarité Bellechasse, assurent aussi un rôle de sentinelle pour les personnes seules afin de briser leur isolement et de leur permettre de rester à la maison le plus longtemps possible, ce qui fait que si les livreurs constatent des cas inquiétants, ils doivent les signaler afin que des actions soient prises pour la sécurité des usagers.

Pour souligner cette semaine, Nouvel Essor mettra de l’avant-plan les visages derrière la mise en place du service dans la MRC etcheminoise, en affichant sur les réseaux sociaux des portraits intitulés «L’humain derrière la popote», qui seront disponibles sur la page Facebook ainsi que sur le site web de l’organisme.

La population pourra donc en apprendre davantage sur Clermont Brochu qui dessert, à partir de son domicile, les municipalités de Saint-Cyprien, Sainte-Justine, Sainte-Sabine et Saint-Magloire, Claude Mathieu, propriétaire du Marché Ami et Buffet Carole, qui cuisine pour les municipalités de Saint-Benjamin, Sainte-Rose, Saint-Louis et de Saint-Prosper ainsi que William Maillé, qui a repris le restaurant Le Camillois et la popote de Saint-Camille.

 

Source : Jasmin Blanchette, Passion FM, 17mars 2023

Eliot Grondin a terminé 5e à la Coupe du monde Sierre Nevada, en Espagne, samedi. 

Eliot Grondin (en rouge) a terminé 5e en fin de semaine. (Crédit photo: Instagram – sennaleith)

Il a ainsi remporté la «petite finale», n’ayant pu se classer pour la grande finale après les demies.

Il s’agissait de la première fois que Grondin passait la ronde des quarts d’une Coupe du monde depuis sa troisième place obtenue à l’étape des Deux Alpes, en France, en décembre; il reste actuellement quatre Coupes du monde à la saison du beauceron produit du Mont-Orignal.

 

Source : Jasmin Blanchette, Passion FM, 13 mars 2023