Marie-Josée Maheux et Philippe Paquet peuvent compter sur le soutien de Simon Giguère, eux qui sont officiellement propriétaires du garage Simon Giguère de Sainte-Aurélie depuis le 1er janvier.

Les nouveaux entrepreneurs estiment qu’il est primordial pour les entreprises d’une municipalité comme Sainte-Aurélie aient une relève. «Les villages doivent garder leurs services le plus possible», mentionne Mme Maheux. «Ce sont les services offerts dans un village qui empêche ce dernier de fermer», ajoute M. Giguère.

La transition entre l’ancien propriétaire et les nouveaux s’est amorcée en novembre dernier. Selon le trio, les choses se déroulent bien jusqu’à présent. «Ça va bien, car nous avons de l’aide. Simon est présent chaque jour. Il nous donne de son temps autant que nous en avons besoin, que ce soit au niveau de la mécanique ou de la gestion», indique-t-elle.

«Nous n’aurions pas pu démarrer une entreprise seuls, nous n’aurions pas été capables. De nos jours, ce n’est pas possible de partir un garage dans une petite municipalité. En prenant la relève, nous ne commençons pas à zéro. Nous gardons la même clientèle et le nom de l’entreprise est déjà fait», affirme M. Paquet, qui travaille au garage Simon Giguère depuis six ans.

Selon Mme Maheux, il est important que les personnes plus âgées qui ont une entreprise aient une relève, mais aussi qu’elles donnent un coup de main aux jeunes qui assureront la pérennité de ce qu’ils ont bâti. «Ils devraient être des mentors comme Simon l’est avec nous. Ça donne un coup de pouce aux jeunes», croit-elle.

Elle cite en exemple M. Giguère qui a pris le temps de la former au niveau de la mécanique et de la carrosserie. «Je travaillais dans la vente avant de travailler au garage. Je n’avais pas toutes les connaissances requises et Philippe n’avait pas le temps de me former, ni les mécaniciens», poursuit-elle.

«Si tout le monde le faisait un peu plus, ça arrêterait l’exode des petites paroisses vers les plus grandes villes. Maintenant, ils sont partis. La vie commence pour eux», renchérit M. Giguère qui, de son propre aveu, n’a plus la santé pour garder le garage. «Mais c’était plate que ça s’en aille. Je me suis donc dédié à la succession», conclut-il.

Source : L’Éclaireur-Progrès, par Sébastien Roy, publié le 24 janvier 2018

Les MRC de Bellechasse et des Etchemins ont été ajoutées par l’Agence canadienne d’inspection des aliments à la zone réglementée en lien avec l’agrile du frêne, dans le but de freiner la propagation de l’insecte.

Ce changement fait suite à la détection de nouveaux cas d’infestation par l’agrile du frêne en 2017, notamment dans le sud du Québec.

En vigueur immédiatement, il est donc interdit de déplacer tout produit du frêne, comme les billes, les branches et les copeaux de bois, ainsi que toutes les essences de bois de chauffage provenant des deux MRC.

Pour les personnes qui doivent déplacer à l’extérieur des zones réglementées  des articles comme des billes ou branches de frêne ou du bois de chauffage de n’importe quelle essence, elles sont invitées à communiquer avec le bureau régional de Québec de l’Agence pour demander une autorisation écrite.

Même si l’agrile du frêne ne pose aucun risque pour la santé humaine, cet insecte ravageur très destructeur pour les frênes en a déjà tué des millions en Ontario, au Québec et aux États-Unis. Il présente une menace économique et environnementale importante pour les régions urbaines et boisées de l’Amérique du Nord.

Source : Passion FM, par Normand Poulin, publié le 25 janvier 2018

L’homme d’affaires Dany Bonneville, co-président des Industries Bonneville, sera le conférencier de prestige de la 10e édition de l’Événement Inspirant de la SADC Bellechasse-Etchemins. Le souper-conférence aura lieu le mardi 27 février à compter de 17 h 30 à la salle du Complexe culturel et sportif de Ste-Claire.

M. Bonneville représente la 4e génération de l’entreprise familiale qui offre des concepts d’habitation uniques qui défient les nouvelles tendances, grâce à des techniques de construction avant-gardistes.

Au cours de sa conférence, l’entrepreneur expliquera le processus de transfert d’une entreprise à quatre générations successives, tout en assurant sa prospérité à long terme.

Dany Bonneville est également un philanthrope engagé et un athlète qui adore les défis extrêmes, lui qui a participé à plusieurs compétitions de triathlon de type « Iron man ».

Les personnes qui désirent assister à ce 10e Événement Inspirant peuvent s’inscrire en ligne sur le site sadcbe.qc.ca. Pour plus d’information, il suffit de composer le 418 642-2844.

Source : Passion FM, par Normand Poulin, publié le 24 janvier 2018

Une adolescente de 16 ans de St-Camille-de-Lellis, Lesly Bisson, est finaliste pour le prestigieux concours Miss Teen Canada qui aura lieu en août prochain à Toronto. L’événement, qui regroupera 30 participantes de partout au pays, vise à mettre en évidence le talent de jeunes filles âgées de 14 à 17 ans ayant un intérêt pour le mannequinat.

C’est en voulant postuler dans une agence de mannequins que Lesly a décidé de s’inscrire au concours. Elle a dû passer par un processus de quatre entrevues, toutes en anglais, avant d’être finalement sélectionnée en juillet dernier.

Depuis ce temps, la Camilloise se prépare activement pour le concours, comme elle le raconte ici (extrait sonore sur le site de Passion FM)

Déjà, Lesly peut compter sur le soutien financier de quelques partenaires pour réaliser son rêve, tels que l’entreprise Créations MJ, propriété de Marie-Josée Poulin, qui a créé deux bijoux dont les profits de la vente lui seront remis. Des frais importants sont justement nécessaires pour participer à l’événement, comme le souligne sa mère Mélanie Bolduc (2e extrait)

Les individus et entreprises qui désirent appuyer Lesly Bisson peuvent communiquer avec elle via sa page Facebook.

Source : Passion FM, par Normand Poulin, 24 janvier 2018