LAC-ETCHEMIN. La situation financière de la station radiophonique Passion-FM ne cesse de s’améliorer, elle qui a enregistré un surplus de 45 000 $, comparativement à 31 000 $ l’année précédente.

Le conseil d’administration de Passion-FM demeure inchangé à l’issue de l’assemblée générale annuelle tenue lundi soir. (Photo : Normand Poulin – Passion-FM)

Les administrateurs de la radio communautaire ont profité de l’assemblée générale tenue lundi soir à Lac-Etchemin pour brosser un bilan plus que positif de l’année financière se terminant le 31 août dernier.

Malgré l’absence d’un représentant à temps plein, les revenus (616 469 $) se sont maintenus, principalement en raison de la hausse des ventes de cartes de bingo qui ont compensé la diminution des ventes publicitaires. Les dépenses (571 455 $), ont quant diminué de 12 000 $.

Président du conseil d’administration de la radio régionale, Marcel Rancourt se réjouit de ces excellents résultats financiers. Il souligne que l’élimination de la dette à long terme et le fait que la marge de crédit soit presque à zéro permettent à la radio de profiter d’une marge de manœuvre des plus intéressantes.

Décision d’ici décembre

Avec l’annonce de la fermeture de l’édifice des Résidences et centre communautaire des Etchemins, pour décembre 2020, le déménagement du studio principal de Lac-Etchemin sera la priorité de la prochaine année, rappelle M. Rancourt qui ajoute que les administrateurs ont déjà rencontré les propriétaires de cinq locaux ayant des espaces à offrir à la station.

«Nous avons aussi discuté avec deux propriétaires d’immeubles qui seraient intéressés à vendre. Nous regardons autant la possibilité de louer que de devenir propriétaires», indique le président qui ajoute que les administrateurs prendront les prochaines semaines pour étudier la question. Idéalement, une décision devrait être rendue d’ici le mois de décembre.

Comme ce déménagement entraînera d’importants déboursés, soit près de 50 000 $ pour le déménagement et l’aménagement des lieux et 35 000 $ pour les détails techniques, la radio régionale sera à l’affût de toutes les possibilités de financement. Une rencontre a déjà eu lieu avec des représentants du ministère de la Culture et des Communications afin de s’enquérir des programmes disponibles.

L’appui financier du milieu sera également essentiel, selon M. Rancourt. «Comme nous sommes dans l’obligation de sortir d’ici le 31 décembre 2020, on va mobiliser le milieu et l’ensemble des élus. On va demander à la communauté de nous appuyer dans nos démarches», indique le président qui ajoute que la bonne santé financière de la radio l’aidera dans ces démarches.

«Si on regarde où nous étions il y a cinq ans comparativement à aujourd’hui, il y a une fichue de différence. Il y a cinq ans, un tel déménagement aurait été impossible», poursuit M. Rancourt qui ajoute que le déménagement du bureau de Saint-Raphaël est une autre priorité, mais que celui-ci se fera après la relocalisation à Lac-Etchemin.

Dans les deux cas, une volonté d’augmenter la visibilité de la station anime les administrateurs qui, du côté de Lac-Etchemin, souhaitent relocaliser le siège social sur la 2^e Avenue ou la route 277.

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le 29 octobre 2019

L’édition 2019 du concours de photographie Clin d’œil sur la Beauce a permis à un total de 72 participants d’exprimer leur créativité, cette fois-ci en lien avec la thématique Jaune. Parmi les 135 clichés soumis au jury au cours des derniers mois, 30 ont été sélectionnés afin d’être exposés et neuf d’entre eux ont été primés.

Suzie Larivière, de Sainte-Aurélie, a remporté le premier prix en photographiant son petit-fils, Éliot. (Photo : Suzie Larivière)

 

C’est à la chapelle du centre culturel Marie-Fitzbach de Saint-Georges, le mercredi 23 octobre en soirée, que l’identité des huit lauréats a été dévoilée. Pour l’occasion, la faune, la flore et la nature y étaient particulièrement représentées.

Agissant à titre de juges, Liette Gilbert, professionnelle de la photo, Geneviève St-André, représentante des Artistes et artisans de Beauce, et Daniel Veilleux, membre du Club de photographie Chaudière-Appalaches, ont non seulement choisi de décerner trois prix aux meilleures photos, mais également deux mentions spéciales et trois coups de cœur spontanés cette année.

L’originalité, la technique utilisée et la pertinence au thème, ainsi que la composition et l’impact des différentes images qui leur ont été envoyées, faisaient notamment partie des critères de sélection sur lesquels ceux-ci devaient se baser afin de prendre leurs décisions.

Grandes gagnantes

En photographiant son petit-fils, Éliot, en train de peinturer un tricycle au cœur d’un champ de fleurs, Suzie Larivière, de Sainte-Aurélie, a obtenu la première position dans le cadre de ce concours.

S’étant démarquée grâce à sa photo intitulée Moi, je le voulais jaune!, celle-ci partage le podium avec Émilie Dussault‐Chouinard, de Saint‐Honoré, de même que Claire Bouchard, de Saint-Georges.

Ce sont leurs œuvres Butinage matinal et Petit rayon de soleil, mettant en vedette une abeille et un petit oiseau jaune, qui ont respectivement permis à ces dernières d’accéder aux deuxième et troisième rangs de cette compétition.

Deuxième à partir de la droite, la conseillère municipale de la Ville de Saint-Georges Solange Thibodeau est entourée des trois grandes gagnantes.

Autres récipiendaires

Invités à récompenser leurs coups de cœur personnels, Mesdames Gilbert et St-André ont arrêté leurs choix sur les réalisations de Carole Gilbert (Douceur d’été), de Saint-Joseph-de-Beauce, et d’Yves Couture (Ombres et lumières), de Saint-Georges, tandis que M. Veilleux a démontré une préférence pour la création de Nathalie Lapierre (Petite beauté), de Saint-Victor.

«Butinage matinal» d’Émilie Dussault-Chouinard a remporté le deuxième prix.

L’événement organisé dans le but de reconnaître les photographes de la région a aussi mis en lumière le travail d’Aurélie Desbiens-Roy et d’Yves Couture, de Saint-Georges, qui ont reçu des mentions spéciales du jury pour leurs clichés La lumière jaune et Réflexion, trouver l’erreur.

Pour sa part, Daniel Vachon (Seul dans le silence…), de Saint-Benjamin, s’est vu attribuer le prix coup de cœur du public.

Le cliché intitulé «Seul dans le silence…» du photographe Daniel Vachon, de Saint-Benjamin, a été choisi comme étant celui que les visiteurs ont préféré.

 

Notons d’ailleurs que la prochaine édition de ce concours, dont l’ensemble des détails seront publiés sur le site Web de la Ville de Saint-Georges en février 2020, se déroulera quant à elle sous le thème Festif.

 

Source: Amélie Carrier, L’Éclaireur Progrès, le 28 octobre 2019

Un nouveau stratagème de fraude sévit dans la région de Québec et des alentours.

Selon la Sûreté du Québec (SQ), le fraudeur se fait passer pour un policier s’exprimant en anglais. Il demande à son interlocuteur de confirmer son identité et son numéro d’assurance sociale.

Si la personne refuse de communiquer ses informations, il la menace en affirmant que d’autres policiers viendront sous peu pour l’arrêter.

Dans certains cas, le fraudeur affirme à sa victime qu’elle a été victime d’une fraude. Il lui demande de communiquer ses informations bancaires et de faire un virement dans un compte précis pour protéger son argent.

Il arrive aussi que celui-ci demande le numéro de téléphone du corps de police local en affirmant qu’un agent de ce poste rappellera la personne. Peu de temps après, un nouvel appel est logé à la personne et l’afficheur indique le numéro du poste en question.

«Ces appels sont frauduleux, dénonce la SQ par voie de communiqué. Les policiers ne communiquent pas avec les citoyens dans l’objectif de leur soutirer ou d’exiger des renseignements personnels ou financiers. Vous devez faire preuve de prudence lorsque quelqu’un prétend travailler pour un service public.»

Pour éviter d’être victime d’une fraude, la SQ conseille de toujours demander le nom de son interlocuteur et de l’entreprise qu’il représente et de vérifier le numéro de téléphone officiel de l’entreprise en question.

Elle mentionne également de ne jamais supposer que le numéro indiqué sur l’afficheur est exact et de ne jamais donner de renseignements personnels ou vos informations bancaires à moins que ce ne soit vous qui appeliez et que le numéro provient d’une source sûre.

De plus, ne divulguez jamais votre numéro d’assurance sociale. Seuls les organismes gouvernementaux, votre employeur au moment de l’embauche ou votre institution financière peuvent l’exiger.

En terminant, méfiez-vous si quelqu’un vous demande de payer des frais par courriel, par téléphone ou par message texte et n’envoyer jamais d’argent à quelqu’un que vous ne connaissez pas.

 

Source: Sébastien Roy, L’Éclaireur Progrès, le 28 octobre 2019

À l’approche de l’Halloween, la Sûreté du Québec rappelle quelques règles de sécurité pour les enfants et leurs parents qui partiront ramasser des bonbons.

Elle conseille donc aux jeunes de porter des vêtements courts, pour éviter de trébucher, de couleurs claires avec des bandes réfléchissantes. Elle suggère de préconiser le maquillage au port d’un masque, qui peut nuire à la vision, d’emporter une lampe de poche et d’avertir les parents du trajet et de l’heure prévue pour le retour.

Aussi, la SQ recommande de sonner aux portes en groupe ou en présence d’un adulte, de toujours attendre à l’extérieur d’une résidence et de parcourir un seul côté de la rue à la fois. Il ne faut pas non plus monter à bord du véhicule d’un inconnu ou de suivre une personne que vous ne connaissez pas, qu’elle soit à pied ou en voiture.

Finalement, elle recommande d’examiner les friandises avec les parents.

Pour les automobilistes, la SQ leur demande de collaborer et de redoubler de vigilance le 31 octobre, ainsi que de réduire leur vitesse et d’accorder la priorité aux enfants dans les rues.

La Sûreté du Québec propose également un jeu interactif en ligne sur la sécurité le soir de l’Halloween. Celui-ci est disponible sur le site Internet de la Société de l’assurance automobile du Québec. Pour y accéder, cliquez ici.

 

Source: Sébastien Roy, L’Éclaireur Progrès, le 28 octobre 2019