La 13e édition de Nashville en Beauce n’a pas eu lieu en 2020, à cause de la pandémie. Le comité organisateur de ce festival, basé à Saint-Prosper, a confirmé le 10 mai que l’événement est aussi annulé cette année.

Suzanne Lantagne, présidente de Nashville en Beauce, justifie ce report par la situation sanitaire toujours fragile en Chaudière-Appalaches et dans le reste du Québec. Avec ses activités et concerts westerns, ce festival attire des milliers de visiteurs pendant huit jours en juillet et août.

« Nous aurions préféré faire autrement et annoncer quelque chose de plus agréable. Nous n’avons malheureusement pas le choix. Il nous est impossible de prévoir et présenter des activités et événements de grande qualité en présentiel, selon les règles sanitaires en place », dit-elle.

L’édition 2021 aurait inclus une bonne partie de la programmation prévue l’année précédente. « Quand la pandémie était officielle (mars 2020), nous avions déjà monté la majeure partie de notre programmation. Nous espérons pouvoir en récupérer une partie en 2022 », mentionne Mme Lantagne.

En effet, une 13e édition de Nashville en Beauce est toujours prévue en juillet et août 2022. Selon Suzanne Lantagne, le festival avait beaucoup de succès avant la pandémie.

« Nos finances sont bonnes et les gens étaient au rendez-vous. La plupart des bénévoles et membres du conseil d’administration veulent revenir en 2022. On espère annoncer nos spectacles majeurs en décembre prochain et que les gens viendront fêter avec nous », indique celle-ci.

Nashville en Beauce recherche toujours des bénévoles intéressés à s’associer au festival. Pour plus de renseignements, visitez le site web de Nashville en Beauce ou composez le 418 313-3850.

Source: Frederic Desjardins, L’Éclaireur Progrès, le 10 mai 2021

ÉDUCATION. > Le conseil d’administration du Centre de services scolaire de la Beauce-Etchemin (CSSBE) a nommé Fabien Giguère, l’actuel directeur général adjoint, pour succéder à Normand Lessard comme directeur général à compter du mois d’août prochain.

« M. Giguère détient une grande connaissance du milieu scolaire et présente les compétences tout indiquées pour exercer sa nouvelle fonction », a souligné Miguel Morissette, président du conseil d’administration.

«Je suis heureux et honoré qu’on me fasse confiance pour relever ce nouveau défi. J’espère poursuivre le travail de M. Lessard et continuer de maintenir les hauts standards de qualité du CSSBE», a indiqué M. Giguère quelques minutes après sa nomination.

Normand Lessard, directeur général actuel, est heureux de ce choix et assure toute sa collaboration dans la transition : « J’ai une grande confiance en M. Giguère et je sais que l’organisation est entre bonnes mains ».

M. Giguère détient un baccalauréat et une maîtrise en sciences de l’orientation, un diplôme d’études supérieures spécialisées en administration publique et complète présentement une maîtrise en administration scolaire.

Après avoir travaillé au ministère de l’Éducation, il a fait son entrée au CSSBE en 2004 comme coordonnateur puis directeur du Service des ressources humaines. Il a accédé au poste de directeur général adjoint en 2011.

Source: André Boutin, L’Éclaireur Progrès, le 21 avril 2021

Le président de l’UPA Chaudière-Appalaches James Allen voit d’un bon œil le projet de loi C-216 visant à protéger intégralement la gestion de l’offre dans les accords commerciaux, qui ferait en sorte que les producteurs n’auraient plus besoin de céder des parts de marché à leurs homologues internationaux.

Proposé à Ottawa par le Bloc québécois, ce projet de loi retirerait au ministre des Affaires étrangères le droit de conclure tout traité commercial dans lequel le Canada concède des parts de marchés sous gestion de l’offre, incluant ici les produits laitiers, la volaille et les œufs. Il a été adopté à l’étape de la deuxième lecture la semaine dernière, malgré l’opposition d’un bon nombre de députés conservateurs, dont leur chef, Erin O’Toole.

Monsieur Allen croit d’ailleurs que tout le monde est gagnant si le lait canadien est plus consommé ici, puisqu’il est habituellement de meilleure qualité que celui de l’extérieur, qui n’ont pas les mêmes normes de qualité à respecter.

Le fédéral a promis des indemnisations financières aux producteurs et aux transformateurs sous gestion de l’offre pour couvrir toutes leurs pertes. Toutefois, si Ottawa est arrivé à une entente avec les producteurs laitiers couvrant les deux premiers accords, les autres producteurs et l’ensemble du secteur de la transformation attendent toujours. De plus, aucune entente n’existe à ce jour pour le plus préjudiciable, l’accord commercial du Canada – États-Unis – Mexique.

Source: Jasmin Blanchette, Passion FM, le 17 mars 2021

Le participant de l’Amour est dans le pré natif de Saint-Magloire Samuel Larochelle s’est entretenu avec notre animateur Dario Roy dans l’émission Le Retour hier à propos de son expérience à la populaire émission de télévision, une expérience qu’il a qualifié de très enrichissante.

Le jeune homme s’est dit bien fier d’avoir fait partie de la première «cohorte» issue de la diversité sexuelle, et il est touché par l’accueil qu’il a reçu.

Samuel a raconté qu’il s’était inscrit à l’émission suite à la recommandation de certains de ses proches, après avoir vu le profil d’Alex, de Saint-Elzéar.

L’aventure pour l’etcheminois s’est terminé récemment pour Samuel, qui s’est finalement rendu dans le «top 3» des choix du beauceron. Il a mentionné que même s’il a senti une belle complicité avec Alex, il n’a pas été surpris de sa décision.

Samuel n’est toutefois pas trop déçu: il affirme que les deux s’apprécient très bien en tant qu’amis, et que ça lui convenait très bien. Pour l’anecdote: les prétendants d’Alex s’entendaient tous très bien, et se sont même revus dernièrement.

Les épisodes de l’émission «L’amour est dans le pré» sont tous disponibles sur le site de Noovo.

Source: Jasmin Blanchette, Passion FM, le 18 mars 2021