Six personnes de Bellechasse-Etchemins prendront part au cours des prochaines semaines à la 11e édition de l’Ultra-Trail Harricana du Canada, qui est considérée comme l’une des courses les plus exigeantes de l’Est du Canada. 

C’est un parcours parsemé de telles montagnes que tenteront de battre les six bellechasso-etcheminois au cours des prochaines semaines. (Crédit photo: Espaces)

Michèle Boutin (Beaumont – 20 kilomètres), Maxime Fleury (Saint-Henri – 28 kms classique), Philippe Goulet-Deblois (Lac-Etchemin – 42 kms St-Simeon), Marianne Parent (Saint-Raphaël – 10 kms), Isabelle Brisson (Saint-Michel – 1 km jeunesse) et Caroline Gallant (Saint-Michel – 10 kms) sont ceux qui tenteront de se qualifier pour l’Ultra-Trail du Mont-Blanc et la Western States 100.

Créée en 2011, l’Ultra-Trail Harricana du Canada est une course en sentier qui a lieu au mont Grand-Fonds, plus précisément au centre de ski situé à 15 km de la ville de La Malbaie.

Les parcours empruntent les sentiers du centre de ski du Mont Grand-Fonds, ceux de la Traversée de Charlevoix et du Parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie.

 

Source : Jasmin Blanchette, Passion FM, 4 août 2022

Âgée de 86 ans, Yvette Boutin-Caron a lancé un livre en lien avec les festivités du 150e anniversaire de Saint-Magloire appelé «Ça s’passait de même», et elle est venue en faire la présentation sur les ondes de Passion FM.

Madame Boutin-Caron est ici encerclée des gens qui l’ont aidé dans le développement de son projet au cours des derniers mois.

(Crédit photo: Jocelyne Alexandre)

Ce roman permet ainsi aux générations plus jeunes d’avoir un bon ressenti de comment «on vivait dans le temps», en remontant jusqu’à une époque sans électricité.

Madame Boutin-Caron a expliqué avoir été motivée de lancer ce roman lorsque ses petits-enfants lui posaient toutes sortes de questions sur la façon dont la société se vivait à l’époque (surtout à 20 enfants comme l’a vécu madame Boutin-Caron!), et sa petite-fille prénommée Audrey l’a convaincu de faire ce geste en 2019.

Bonne nouvelle d’ailleurs pour l’auteur: tous les romans sont partis comme de petits pains chauds dans les derniers jours, notamment en lien avec le gros des festivités du 150e qui se tenaient en fin de semaine dernière, et ce-dernier sera en réimpression dans les prochaines semaines.

Vous pouvez réécouter madame Boutin-Caron raconter quelques souvenirs en lien avec l’écriture de son roman sur notre site web, le passion-fm.com.

 

Source : Jasmin Blanchette, Passion FM, 5 août 2022

Après deux années de pause, la formule des portes ouvertes sur les fermes du Québec, organisées par l’Union des producteurs agricoles, a été revisitée: elles se tiennent désormais durant la saison estivale, directement sur une trentaine de fermes au Québec, et trois d’entre elles se tiendront dans Bellechasse-Etchemins, soit à la Ferme No-Chan, à la Bleuetière Lapointe et à la Distillerie Sainte-Sabine.

 

Les familles des trois fermes (No-Chan en haut à gauche, Distillerie Sainte-Sabine en haut à droite et Bleuetière Lapointe en bas) accueilleront les visiteurs.

(Crédit photo: Anne-Marie Poulin, La voix du sud et Facebook – Bleuetière Lapointe)

 

Les premières à être organisées à Saint-Gervais se tiendront le 14 août, alors que la Distillerie accueillera les visiteurs dans ses installations le 11 septembre.

Au cours de ces trois journées, les producteurs hôtes pourront faire visiter leurs fermes en tenant compte de la saisonnalité de leurs récoltes; des visites animées, des dégustations, de la découverte des animaux, des ateliers et de l’autocueillette sont notamment au cœur des activités offertes.

Soulignons-le, les Portes ouvertes Mangeons local nécessiteront toutefois une inscription gratuite en ligne, afin d’aider à l’organisation de chacune d’entre-elles.

Pour le président directeur général de l’UPA Martin Caron, ce calendrier, que l’on peut retrouver sur le site web de l’UPA, mise sur cet engouement pour l’achat local et les produits d’ici qui s’est développé dans les deux dernières années, et cela représente une occasion idéale d’encourager celles et ceux qui nous nourrissent chaque jour.

 

Source : Jasmin Blanchette, Passion FM, 4 août 2022

FESTIVAL. C’est sous un soleil éclatant que s’est clôturée la 13^e édition de Nashville en Beauce. Une panoplie d’activités pour petits et grands s’est déroulée, du 28 juillet au 7 août, à Saint-Prosper. Malgré deux ans d’absence, le festival a attiré de nombreux participants tout au long de l’événement.

Un char allégorique à Nashville en Beauce. (Photo : L’Éclaireur Progrès – Danny Lizotte)

 

La programmation de la dernière journée des festivités a débuté, de 8 h à 12 h, avec le brunch, organisé par les Chevaliers de Colomb, au Centre récréatif Desjardins. À 9 h 30, la messe country gospel a été célébrée à l’église de Nashville.

La très attendue parade de chevaux et chars allégoriques a commencé à 12 h 30. De nombreux curieux longeaient le trajet à travers le centre de Saint-Prosper. À 13 h, au Ranch Beauceron, avait lieu le Gala amateur de musique et chant accompagné. Pour les amoureux de la danse, de 13 h 30 à 17 h 30, ils pouvaient se déhancher au Chapiteau Desjardins avec Walking the Country.

Finalement, à 17 h 30, toujours sous le Chapiteau Desjardins, les gens pouvaient poursuivre la danse avec Sylvie Roy. Pendant l’après-midi, les plus jeunes pouvaient se faire maquiller et s’amuser dans les jeux gonflables à l’Espace Desjardins. Même si la plupart des activités étaient gratuites, certaines étaient payantes, comme les spectacles en soirée.

Des participants satisfaits

Parmi la foule, une dame de Sainte-Justine, Diane Pouliot, assistait à la parade pour la première fois. « C’était très bien organisé. Nous sommes venus vers la fin si on avait su que c’était comme ça on serait venu dès le début ». Elle a trouvé les gens sympathiques et les activités intéressantes. Cette amatrice de musique country espère revenir pour les prochaines éditions.

Bilan provisoire

Selon la présidente du comité organisateur de Nashville en Beauce, Suzanne Lantagne, le festival se termine sur une bonne note. « Au niveau des bénévoles cela a été plus ardu, mais finalement on en a trouvé ». Malgré deux ans de pandémie, les gens étaient au rendez-vous. Ils étaient nombreux aux diverses activités pendant les festivités. « On n’a eu aucun problème à avoir des commanditaires. On les appelait et ils répondaient oui », a-t-elle conclu.

 

Source : Danny Lizotte, L’Éclaireur Progrès, 8 août 2022