Le sentier écologique de la Haute-Etchemin a été rénové au cours des dernières semaines par l’entreprise Aménagement des Appalaches, si bien que le lieu est de nouveau accessible, tout juste avant l’hiver, pour les gens qui voudraient se promener dans le secteur de la décharge du lac Etchemin.

Ce sentier de trois kilomètres, dont les 700 premiers mètres sont adaptés pour les fauteuils roulants, est également préparé sur un plat considérable, permettant à tout le monde de se déplacer en toute sécurité.

Des photos des rénovations ont été glissées sur notre site web:

 

Source : Jasmin Blanchette, Passion FM, 25 octobre 2022

COMMUNAUTÉ. Un peu plus de 8 900 $ ont été amassés au terme de la campagne de financement 2022 de l’Épicerie POP de Lac-Etchemin. Cette somme servira au maintien des services offerts par l’épicerie économique qui a ouvert ses portes en avril 2021. 

Prestation de Mariann Rodrigue, accompagnée de Gab Boutin à la guitare, lors du récent souper-spectacle-bénéfice de l’Épicerie POP de Lac-Etchemin. (Photo : gracieuseté)

Soulignons que 4 000 $ ont été récoltés lors d’un souper-spectacle-bénéfice tenu le 30 septembre dernier au Centre culturel de Lac-Etchemin. Un peu plus de 125 personnes ont d’ailleurs pris part à cette activité qui a débuté par un souper-méchoui préparé par Traiteur Bolduc, suivi d’un spectacle mettant en vedette différents artistes etcheminois tels de Mariann Rodrigue, Mya Lafontaine, Charles-Étienne Gourde, Matt Deblois, Mark Béland, Audrey Fortin et Zac Provençal, sous la direction musicale du chansonnier Gab Boutin.

Avant cette soirée, 4 900 $ avaient également été amassés par le biais de partenariats et de dons individuels.

Les responsables de l’Épicerie POP tiennent à remercier les personnes présentes lors de cette soirée-bénéfice, ainsi que tous les partenaires pour leur soutien financier.

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 22 octobre 2022

MUNICIPAL. En mai 2021, la municipalité de Lac-Etchemin envisageait la possibilité d’agrandir son parc industriel pour aller rejoindre une éventuelle 4^e Avenue qui serait aménagée à l’extrémité des rues Gagnon et Bisson, qui devraient elles aussi être prolongées.

Le maire Camil Turmel et le directeur général Patrick Lachance entourent Marc Jacques, propriétaire du terrain acquis par la municipalité de Lac-Etchemin pour l’agrandissement de son parc industriel. (Photo : gracieuseté)

Un an et demi plus tard, de nouveaux développements pointent dans ce dossier alors que la municipalité de Lac-Etchemin est toujours en attente d’une réponse à une demande d’agrandissement de son périmètre urbain logée en son nom par la MRC des Etchemins auprès du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation.

À cet égard, la municipalité a fait l’acquisition, le 6 octobre dernier, d’un terrain zoné blanc de 23 hectares, contigu à son parc industriel, qui sera développé bien avant celui initialement prévu, qui est situé à l’extrémité de la rue du Parc Industriel, en raison de coûts plus élevés qu’imaginés au départ, précise le maire Camil Turmel.

Ce terrain, acquis de Marc Jacques de Lac-Etchemin, est zoné blanc, mais se trouve en dehors du périmètre urbain actuel. Dans la transaction, évaluée à 150 000 $, la municipalité cède à M. Jacques un autre terrain zoné vert dans le même secteur, d’une superficie de 6 hectares et contigu à un autre terrain que ce dernier possède déjà, ainsi qu’une somme de 117 000 $ à titre de compensation pour la valeur réelle entre les deux terrains.

Dans son projet d’agrandissement du parc industriel, offrant un potentiel de 24 terrains desservis par les services municipaux et qui sera réalisé par phases, la municipalité aménagera de nouvelles voies de circulation dont une artère principale, qui devrait normalement s’appeler rue Adrien-Jacques, qui rejoindra la future 4e Avenue.

« Quand on a vu les coûts élevés associés au projet initial (terrain au bout de la rue du Parc industriel), nous sommes partis à la recherche d’un plan B. On a approché M. Jacques et les négociations, bien que longues, ont débouché sur une entente d’où les deux parties sortent gagnantes », soutient le maire Turmel qui ajoute que la municipalité n’exclut pas, dans le futur, de réaliser une éventuelle phase de développement de son parc industriel sur le terrain situé au bout de la rue du Parc industriel.

La municipalité espère recevoir une réponse positive à sa demande d’agrandissement de périmètre urbain au printemps prochain. Si tel devait être le cas, des consultations publiques seront lancées et la phase 1 du projet d’agrandissement du parc industriel, comprenant huit terrains desservis et évalué à 600 000 $, pourrait être lancée au cours de l’été.

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 21 octobre 2022

ENVIRONNEMENT. Une plantation d’arbres réunissant les 22 élèves de l’école Arc-en-Ciel a eu lieu la semaine dernière à Saint-Camille.

Les élèves de l’école Arc-en-Ciel de Saint-Camille ont participé à une plantation d’arbres, en plus d’en recevoir un chacun en cadeau au terme de l’activité de plantation. (Photo : gracieuseté – Jocelyne Alexandre)

Cette activité organisée conjointement par le Comité Cœur Villageois et la municipalité de Saint-Camille s’inscrivait dans le cadre du plan d’action du comité qui est d’ajouter des arbres au cœur de la localité, notamment pour remplacer ceux qui ont dû être coupés au fil des ans.

Accompagnés de trois professeurs et de trois représentants de la municipalité, les élèves ont d’abord été sensibilisés à l’importance de planter des arbres par Alyssa Berris, nouvelle membre du comité, puis Jocelyne Alexandre leur a offert une démonstration sur l’art de planter des arbres et s’assurer leur survie.

En petits groupes, ceux-ci ont planté trois arbres sur le terrain de l’entreprise Sogetel, qui s’ajoutaient à ceux déjà plantés à cet endroit par la municipalité. Fait à noter, les arbres plantés venaient de la Pépinière Couture, située dans le rang St-Joseph à Saint-Camille.

À la fin de l’activité, la directrice générale de la municipalité, Nicole Mathieu, a offert des petites épinettes de Norvège aux participants (les 22 élèves et leurs enseignantes), une gracieuseté du Groupement forestier Bellechasse-Lévis de Saint-Magloire.

Mme Mathieu a ajouté que des lilas japonais avaient été plantés sur les terrains du Casse-croûte chez Hilda et que d’autres arbres seront plantés, ultérieurement, sur le territoire de la municipalité.

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 25 octobre 2022