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Auteur/autrice : CJE Etchemins

12 Fév

La SPA Beauce-Etchemin pourrait fermer ses portes

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 12 Fév 2020

ANIMAUX. Ça ne va pas bien à la SPA Beauce- Etchemin. Depuis ses débuts, elle prend soin de nombreux animaux sans jamais avoir le soutien financier nécessaire à la poursuite de sa mission. Les coûts des services professionnels, incluant les frais de vétérinaires, sont plus élevés que l’ensemble des revenus.

La SPA doit trouver des solutions afin de pouvoir continuer sa mission. (Photo : Archives)

Pour l’instant, la SPA soutient qu’elle honorera ses contrats et engagements jusqu’en décembre 2020. Par la suite, une fermeture est possible, précise l’organisation.

L’équipe de la SPA, autant les employés, que les bénévoles et le conseil d’administration ne peuvent se résigner à euthanasier des animaux en santé. Cependant, les frais pour prendre soin de ces animaux sont trop élevés et ne peuvent plus être assumés par la SPA seule.

Dans un communiqué envoyé aux médias, la SPA indique que «les responsabilités d’un refuge éthique qui accueille plus de 1500 animaux par an à soigner, stériliser et micropucer», sont trop élevées.

La SPA Beauce-Etchemin ne reçoit aucune subvention. Selon ses responsables, un grand coup de barre est nécessaire afin d’éviter la fermeture définitive de ses portes. «Pour continuer nos opérations, la SPA devrait faire des euthanasies de masse… unanimement, employés et bénévoles s’y opposent fermement, car ils savent que d’autres solutions existent», soutiennent les dirigeants. La SPA est l’un des seuls refuges au Québec à ne pratiquer aucune euthanasie.

Un problème qui perdure

Dans les dix dernières années, la SPA a travaillé à sensibiliser la population, entre autres sur la stérilisation des animaux. «Nous avons cru qu’il était possible de changer les mentalités par le biais de la bonne volonté de la population. Bien vite, nous avons réalisé que la seule façon d’y arriver était de passer par l’application de règlements municipaux», indique l’organisme.

La SPA a la collaboration d’une quinzaine de municipalités de la Beauce, mais d’autres n’ont mandaté aucun organisme pour voir au contrôle animalier sur leur territoire. Les animaux trouvés par les policiers ou par les citoyens se retrouvent quand même à la SPA, mais sans le financement qui vient avec, ajoute l’organisation.

La SPA Beauce-Etchemin a présenté un règlement harmonisé pour les soins aux animaux à plusieurs municipalités, affirme l’organisme. «Ce règlement est élaboré en tenant compte de notre expérience et de celle d’autres refuges et services de contrôle animalier. […] Bien que tous ces gens aient démontré une grande ouverture, bien peu ont donné un suivi. Une seule municipalité a accepté notre règlement sans hésiter, d’autres en voyant l’urgence veulent s’y conformer alors que d’autres attendent».

Pistes de solution

La population doit considérer la SPA Beauce-Etchemin pour l’achat d’un animal de compagnie. Les municipalités doivent également modifier leur règlement sur le contrôle animalier, car selon la SPA, cela peut faire la différence. Quant au ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), il manque de ressources pour faire respecter les règlements et enrayer les problèmes tels que les usines à chiots.

 

Source: Andréanne Huot, La Voix du Sud, le 10 février 2020

12 Fév

Élections partielles à Sainte-Justine et Saint-Malachie

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 12 Fév 2020

MUNICIPAL. Des élections partielles auront lieu le 23 février prochain à Sainte-Justine et le 8 mars prochain à Saint-Malachie. De plus, un processus électoral sera lancé afin de combler un poste de conseiller du côté d’Armagh.

Les élections municipales se multiplient dans nos communautés. (Photo : Archives)

À Sainte-Justine, trois candidats avaient signifié leur intérêt à occuper le poste laissé vacant depuis le départ de la conseillère Audrey Bédard, pour des raisons professionnelles. L’un deux ayant déjà retiré sa candidature, il ne reste que deux personnes sur les rangs, soit Doris Gilbert et Jean-Guy Labbé.

Les citoyens seront ainsi invités aux urnes le 23 février prochain de 10 h à 20 h. Le vote par anticipation aura lieu la semaine précédente, soit le 16 février, de 12 h à 20 h.

À Saint-Malachie, la période de mise en candidature visant à combler les sièges du conseiller Richard Côté et de la conseillère Lyse Ferland, qui avaient annoncé leur départ il y a quelques semaines déjà, s’est conclue le vendredi 7 février.

 

Il est déjà assuré que Mélanie Dumas, seule candidate au siège #5, a été élue par acclamation. Deux candidats sont officiellement en lice au poste de conseiller au siège #4, soit Geneviève Pelletier et Larry Quigley. Le scrutin visant à élire l’un d’eux aura lieu le 8 mars prochain de 10 h à 20 h, précédé d’un vote par anticipation le 1er mars de 12 h à 20 h.

Autre élection possible à Armagh

Par ailleurs, une période de mise en candidature sera requise à Armagh à la suite de la démission récente du conseiller Benoit Gagnon. Celle-ci devrait avoir lieu du 13 au 27 mars prochain avec une élection possible le 26 avril prochain. Il s’agit du deuxième processus du genre dans cette localité depuis la dernière élection municipale.

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le 10 février 2020

12 Fév

Partage de main-d’œuvre: un projet unique dans Les Etchemins

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 12 Fév 2020

EMPLOI. Depuis près d’un an, une dizaine d’entreprises de la MRC des Etchemins sont partie prenante d’un projet innovateur qui vise à remédier aux problèmes de main-d’œuvre auxquels ils doivent faire face au quotidien.

Nicole Lamontagne est responsable du programme de partage de main-d’œuvre au CJE des Etchemins. (Photo : gracieuseté)

Financé principalement par une contribution de 125 000 $ sur trois ans du Plan de relance économique de la MRC des Etchemins, le «Projet de partage de la main-d’œuvre» est sous la responsabilité du Carrefour jeunesse-emploi des Etchemins et de Nicole Lamontagne, intervenante spécialisée en ressources humaines qui a reçu le mandat de piloter ce projet et d’assurer sa mise en place.

La SADC, Emploi-Québec et le CJE sont aussi partenaires financiers pour la première année et un comité de gestion formé de représentants de neuf entreprises ou organismes publics soutient la responsable dans la gestion de ce programme.

«Ce projet visait d’abord à répondre aux besoins des entreprises récréotouristiques qui avaient de la difficulté à recruter et retenir du personnel du fait qu’il s’agit d’entreprises saisonnières», indique Mme Lamontagne qui souligne qu’une quinzaine d’entreprises avaient signé des lettres d’appui lors du lancement officiel du projet en mars 2019.

«Au fil des discussions, je me suis aperçue que ces entreprises avaient non seulement besoin de monde, mais que plusieurs d’entre elles n’avaient personne dédié à la gestion des ressources humaines et qu’elles avaient également besoin d’aide à ce niveau», poursuit-elle en rappelant que le partage d’employés entre entreprises a permis la création de plusieurs emplois permanents jusqu’ici, notamment chez les employés saisonniers qui peuvent cumuler des postes chez deux employeurs différents, selon la saison.

Le CJE a été mandaté pour gérer ce projet du fait qu’il aidait déjà les candidats de moins de 35 ans dans leurs démarches, que ce soit pour la rédaction ou la mise à jour de leurs CV, en plus de s’occuper de la publication des offres d’emploi. Mme Lamontagne dit également travailler en étroite collaboration avec d’autres partenaires dont Focus Emploi (anciennement le SAEMO), à qui elle réfère les travailleurs de 35 ans et plus.

Accueil et intégration

Rapidement, Mme Lamontagne et l’équipe du CJE ont créé une première banque de candidats qui étaient invités à s’inscrire à ce programme. Si certains employeurs partageaient déjà du personnel de façon informelle, le fait de joindre le nouveau projet a facilité l’accueil et l’intégration de ce nouveau personnel en entreprise, tâche qui est sous la responsabilité de Mme Lamontagne qui a aussi travaillé avec les employeurs concernés à l’établissement d’une définition de tâches claire pour chacun et d’un «panier privilège d’avantages sociaux», ce qui a eu pour effet de rassurer les travailleurs et de réduire le taux de roulement dans les entreprises qui voient également leurs frais fixes et de formation diminuer.

La création d’une liste de retraités souhaitant retourner sur le marché du travail à temps partiel fait également partie du mandat de la responsable qui rappelle que le CJE a aussi pour mandat d’aider les conjointes des travailleurs étrangers à se trouver un emploi dès qu’elles sont minimalement francisées.

Soulignons que les responsables du programme de partage de main-d’œuvre tiendront deux «samedis de l’emploi» le 4 avril prochain au Club de golf de Lac-Etchemin, puis le 2 mai chez Services à domicile des Etchemins. Une activité similaire, tenue en novembre dernier au Mont-Orignal, avait été couronnée de succès et permis de combler tous les postes disponibles.

Un comité de gestion soutient Mme Lamontagne dans la réalisation de son mandat.

Autres avantages

Comme on le mentionnait précédemment, les entreprises associées au CJE dans le programme de partage de main-d’œuvre ont souscrit à l’établissement d’un «panier privilège d’avantages sociaux» par lequel l’employé choisit des récompenses (certificats-cadeaux) d’une valeur de 75 $, offertes par l’entreprise, qui sont bonifiées par le programme qui ajoutera l’équivalent. «C’est certain que si une entreprise a 80 employés comme le Mont-Orignal, par exemple, on va ajuster ou plafonner le montant offert en retour, car nous avons des règles établies pour ça.»

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le 10 février 2020

12 Fév

Réforme de la taxe foncière agricole: les municipalités dénoncent un empiétement dans leur fiscalité

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 12 Fév 2020

Le gouvernement du Québec a présenté la semaine dernière un projet de loi afin d’instaurer un plafond à la taxation foncière agricole et à simplifier l’accès au crédit de taxes foncières agricoles.

De passage en commission parlementaire, tant l’Union des municipalités du Québec (UMQ) que la Fédération québécoise des municipalités (FQM) se sont opposées au projet de loi dans sa forme actuelle, dénonçant un empiètement dans la fiscalité des municipalités.

Ce projet de loi, s’il était adopté tel quel, plafonnerait l’évaluation foncière des terres agricoles à 32 100 $ par hectare. Ce point n’affectera pas les municipalités de Chaudière-Appalaches, du moins à court terme, puisque l’évaluation se situe bien en-dessous de ce montant selon le préfet de la MRC Beauce-Sartigan et administrateur de la FQM, Normand Roy

De plus, le projet de loi prévoit que les 10 % des terres agricoles dont la valeur est la plus élevée seraient excluent du calcul des inspecteurs lorsque viendrait le temps d’établir la valeur des terres agricoles pour le prochain rôle d’évaluation.

C’est à ce dernier point que M. Roy, s’oppose. «Il va y avoir un manque à gagner pour les municipalités. Si ce n’est pas eux ce sera le milieu urbain qui va payer la différence. Cela va créer une sorte d’injustice», indique-t-il, donnant en exemple Saint-Hilaire-de-Dorset où il y a peu de résidences, mais beaucoup de terres agricoles et forestières.

Il estime que si le gouvernement veut subventionner le milieu agricole de cette façon, il faudrait que l’ensemble du Québec devrait payer au lieu que ce soit uniquement la municipalité concernée.

De son côté, le maire de Saint-Georges, Claude Morin, dit comprendre que le gouvernement veut aider les producteurs, mais il ne croit pas que ce soit la bonne façon de le faire.

Comme M. Roy, M. Morin craint que ces mesures entraînent une hausse de taxes dans les autres secteurs comme le résidentiel, le commercial ou l’industriel. «Il faut aller davantage en profondeur au niveau des études pour considérer les impacts financiers au niveau de la taxation», mentionne-t-il.

Le maire de Saint-Georges préférerait que l’on revoie l’ensemble du système d’impôts fonciers plutôt que seulement celui pour les terres agricoles. «Cela fait longtemps qu’on en parle. Le gouvernement était fermé à cette idée, mais il ouvre une porte avec cette réforme, peut-être que l’on pourrait s’asseoir et regarder cette option», dit-il.

Un pas dans la bonne direction selon l’UPA

Pour la Fédération de l’Union des producteurs agricoles (UPA) de Chaudière-Appalaches, le projet de loi 48 sur le plafonnement de la taxation foncière agricole est un pas dans la bonne direction.

«C’est une amélioration pour les producteurs agricoles, bien qu’il ne soit pas parfait», estime le président de l’UPA de Chaudière-Appalaches, James Allen.

Certains points demandés par l’UPA n’y figurent pas présentement, notamment au niveau de l’évaluation.

Seules les ventes entre personnes non apparentées sont considérées lorsqu’est définie la valeur d’une terre agricole ou d’une résidence pour le rôle d’évaluation. La différence est que la grande majorité des ventes de terres agricoles ont lieu entre personnes apparentées, alors que cela représente une minorité pour la vente résidentielle. «On ne se fie qu’à 10 ou 20 % des ventes pour définir la valeur des terres agricoles», explique M. Allen.

De plus, le Québec est l’un des seuls endroits qui rembourse actuellement une partie des taxes aux producteurs agricoles, alors que les autres ont des taux de taxations moins élevés à la base ou même aucune taxe. «Cela allégerait les tâches au niveau administratif», indique-t-il.

Aussi, il fait part de la différence entre les entreprises et les producteurs agricoles. «Une entreprise ne paie pas de taxes à la municipalité pour ses équipements, alors que l’équipement des producteurs, c’est leur terre», ajoute-t-il.

Le président de l’UPA ne croit pas que les mesures plafonnant le niveau de taxation à 32 100 $ par hectare auront un impact sur les municipalités. «Je ne crois pas que le taux par hectare en Chaudière-Appalaches ne dépasse 15 000 $», estime-t-il.

 

Source: Sébastien Roy, L’Éclaireur Progrès, le 11 février 2020

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