La ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et responsable de la Régie du bâtiment du Québec, Andrée Laforest, a rappelé aux propriétaires de bâtiment l’importance d’être prévoyants lorsque vient le moment de déneiger les toitures.

Le cocktail météo des dernières semaines, où de la neige, de la pluie, du grésil et du verglas se sont entremêlés, s’avère un avertissement de ce qui risque de tomber au cours des prochaines semaines en Bellechasse-Etchemins.

Madame Laforest rappelle que chaque propriétaire est responsable de la sécurité des personnes qui habitent ou fréquentent son bâtiment.

La ministre en profite également pour sensibiliser les gens au déneigement d’une toiture, qui peut s’avérer être une opération risquée. Elle conseille aux gens de confier cette tâche à des entreprises spécialisées qui disposent des équipements appropriés et qui connaissent les méthodes de travail adéquates afin de ne pas endommager la membrane d’étanchéité du toit.

 

Source: Jasmin Blanchette, Passion FM, le 22 janvier 2020

L’école primaire Petite-Abeille de Saint-Cyprien fermerait ses portes à la fin de l’année scolaire 2020-2021, selon ce qu’a appris La Voix du Sud.

En fait, cette fermeture pourrait survenir encore plus rapidement si une entente se fait prochainement entre la Commission scolaire de la Beauce-Etchemins et la municipalité, qui souhaite faire un centre multifonctionnel dans le bâtiment de l’école actuelle.

Les élèves d’âge maternelle fréquentent déjà l’école Fleur-de-Soleil de Sainte-Justine, alors que 21 élèves répartis en deux groupes fréquentent actuellement la Petite-Abeille.

Le président de la Commission scolaire Beauce-Etchemins Charles-Henri Lecours affirme qu’il y a assez de place dans les deux écoles de Sainte-Justine pour accueillir les 18 élèves de Saint-Cyprien inscrits pour l’an prochain.

Le maire de Saint-Cyprien Réjean Bédard a l’intention d’installer dans les locaux de l’école, qui contient quand même une capacité d’une centaine d’élèves, un centre multifonctionnel, dont un dépanneur autogéré. Il ajoute également que cela fera sauver de l’argent aux contribuables de la municipalité, alors que d’installer ce centre sur le site actuel du chalet des loisirs aurait coûté près de 800 000 $.

 

Source: Jasmin Blanchette, Passion FM, le 22 janvier 2020

SPORTS. Le dernier week-end n’a pas été productif en terme de résultats pour la skieuse Marie-Michèle Gagnon qui dirige sa concentration sur les épreuves de vitesse où elle espère connaitre plus de succès d’ici la fin de sa saison.

Marie-Michèle Gagnon ne connait pas la saison qu’elle espérait au départ. (Photo : Alpine Canada)

L’athlète de Lac-Etchemin a signé un temps de 1 min 13,59 s lors de la première manche du slalom géant disputé samedi, ce qui n’a pas été suffisant pour se tailler une place parmi les 30 premières qui ont ensuite participé à la descente ultime. Dimanche, elle n’a pu compléter sa deuxième descente de qualification et a du même coup été éliminée.

Gagnon a pris le 44^e rang des qualifications samedi, à Sestrières, en Italie, dans ce qu’elle considère comme l’une de ses dernières épreuves techniques de la saison. «Cette épreuve n’a jamais été ma force. En plus, c’est toujours très glacé à Sestrières et, en faisant le ski libre sur la piste vendredi, je savais déjà à quoi m’attendre», a concédé Gagnon à l’agence Sportcom après l’épreuve. L’Italienne Federica Brignone et la Slovaque Petra Vlhova ont  terminé la compétition avec un cumulatif de 2 min 21,15 s pour terminer à égalité au premier rang.

Cette participation au slalom géant marque la fin d’une étape pour Gagnon qui, pour le reste de la saison, mettra l’accent sur ses épreuves de prédilection, soit la descente, le super-géant et le combiné. «C’était probablement ma dernière chance de faire du slalom géant cette année. Ça me prendrait beaucoup d’entraînement sur la glace pour obtenir de meilleures performances et je préfère me concentrer sur les épreuves de vitesse où je suis plus à l’aise», a-t-elle indiqué.

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le 19 janvier 2020

EXPLOIT. Quatre coureurs dont trois sont originaires de Beauce-Etchemins ont maintenant leurs noms inscrits dans le célèbre livre des records Guinness.

Guillaume Lefebvre, Jean-François Labonté, Kevin Parent et Yôme Lebel ont reçu une médaille confirmant leur participation à l’épreuve du 21 km, qui allait se transformer en record Guinness. (Photo : gracieuseté)

Jean-François Labonté, originaire de Sainte-Justine et résident de Laval, Yôme Lebel de Sainte-Marie, Kevin Parent de Saint-Bernard et Guillaume Lefebvre de Laval se sont distingués le 2 juin dernier alors qu’ils ont complété un demi-marathon, dans le cadre de la Course des pompiers de Laval, en étant menottés l’un à l’autre. Ceux-ci devaient courir l’un à côté de l’autre et franchir la ligne d’arrivée ensemble.

Menottés l’un à l’autre, les quatre coureurs ne passaient pas inaperçus!

«C’est Guillaume qui est arrivé avec l’idée en rigolant après le Marathon de Toronto où plusieurs records Guinness sont battus chaque année, car il y a un représentant Guinness qui est sur place pour officialiser les records. On s’est dit «pourquoi pas», c’est sûr qu’on va bien s’amuser, et qu’on pourrait bien faire ça en une heure 30 minutes», indique Jean-François qui ajoute l’ancien record était de deux heures et que leur temps officiel était d’une heure 31 minutes et 33 secondes.

Le quatuor a reçu, au cours des derniers jours, le certificat attestant qu’ils avaient réalisé ce nouveau record Guinness et que celui-ci avait été officiellement homologué.

Certificat confirmant l’homologation du record Guinness.

«Les règlements de Guinness sont assez stricts. Il y a beaucoup de paperasse à signer et ça leur prenait des photos et vidéos pour suivre notre épreuve. Ils nous demandaient des photos à tous les deux kilomètres, ce qui n’est pas toujours facile sur un parcours linéaire», explique Jean-François qui ajoute que deux personnes se relayaient pour la  prise de photos et de vidéos. Ils ont également dû s’arrêter à quatre reprises, le long du parcours, pour prendre eux-mêmes des «selfies».

Jean-François ajoute que lui et ses coéquipiers avaient calculé, selon leur heure de départ, qu’ils termineraient l’épreuve en même temps que ceux qui complétaient celle du 10 km. «Ça faisait beaucoup de gens à dépasser, car le départ du 10 km était au milieu de notre parcours. À quatre coureurs un à côté de l’autre, nous devions chaque fois nous préparer un trou d’environ quatre mètres de largeur pour dépasser les coureurs devant nous. Ce n’était vraiment pas évident, d’autant plus qu’il y avait plusieurs centaines de personnes sur notre trajet. Ça n’a pas été facile, mais on s’est amusés comme des petits fous», conclut-il.

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le 21 janvier 2020