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Auteur/autrice : CJE Etchemins

16 Oct

Possibilité de trois nouveaux médecins dans Bellechasse Etchemins

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 16 Oct 2020

SANTÉ. Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) Chaudière-Appalaches pourra compter sur 21 nouveaux médecins au cours de la prochaine année, dont 13 à titre de nouveaux facturants. La période initiale afin de postuler au PREM 2021 se déroulera du 15 octobre au 31 octobre 2020.

L’accès à un médecin de famille est toujours périlleux dans la région. (Photo : Archives)

Selon le Plan régional d’effectifs médicaux (PREM) 2021 qui sera en vigueur du 1er décembre 2020 au 30 novembre 2021, le territoire de la MRC de Bellechasse aura droit à un nouveau facturant, de même qu’à un médecin déjà en pratique qui souhaiterait se relocaliser. Dans le cas de la MRC des Etchemins, elle obtient le droit de recruter un médecin déjà en pratique.

Pour le CISSS de Chaudière-Appalaches, Daniel Paré, cette vingtaine de médecins ne comblera pas tous les besoins, mais servira la cause de l’organisation. « On est bien content, mais le besoin est bien plus élevé que ça. Heureusement, nous sommes une région attractive, puisque nous obtenons généralement un 100 % pour les médecins qui sortent de l’école. Souvent, ce sont sur les retours en région où nous attendons à la dernière minute pour pouvoir combler. »

Il ajoute que l’étape de la retraite pour plusieurs médecins est généralement ce qui dicte la répartition qui sera faite par le CISSS. « Nous en avons eu plusieurs en Beauce au cours des dernières années notamment et ceux-ci avaient de grosses pratiques. Dans Bellechasse, nous avons fait de gros gains pour ça dans le passé et maintenant, c’est en Beauce qu’il faut aller supporter davantage.»

Il arrive aussi que des secteurs soient moins attrayants que d’autres pour les nouveaux médecins et que certains d’entre eux se fassent tirer l’oreille pour se rendre pratiquer dans une région plutôt qu’une autre. «Nous avons fait de beaux gains dans certains secteurs ruraux dans les dernières années. Des médecins se sont pris en main et ont développé des cliniques médicales, Saint-Anselme et Saint-Charles sont de bons exemples. On cible des secteurs, sauf que si le poste n’est pas comblé en octobre, nous le perdons. C’est pourquoi nous le transférons à une autre portion du territoire.»

Ayant justement un projet de clinique médicale à Saint-Raphaël, une partie des besoins pour les localités de la route 281 pourraient bientôt être comblés, explique M. Paré. « On travaille avec eux et il y a déjà du potentiel pour avoir des médecins qui iraient travailler dans le secteur. Les médecins demeurent des travailleurs autonomes. On ne peut pas les obliger à aller travailler à un endroit, sauf que notre rôle est de vendre le territoire. C’est pourquoi on travaille avec le milieu. La municipalité travaille très fort avec le promoteur dans ce cas-ci. »

C’est au cours des prochaines semaines que l’on en saura davantage, particulièrement sur l’intérêt qu’auront les nouveaux médecins envers la région. « Les étudiants finissants en médecine ont jusqu’au 30 décembre pour appliquer. Pour les médecins déjà en pratique, le processus est en continu. Les postes sont affichés et il arrive régulièrement que des médecins déjà actifs communiquent avec nous.  Habituellement, les nouveaux facturants terminent l’école en juin. Ils vont prendre un mois de vacances et juillet ou août, ils peuvent entrer en fonction sur le territoire.»

Places disponibles par sous-territoire
Territoire Nouveaux facturants Médecins déjà en pratique

CLSC Lotbinière                                                       1                                             1

CLSC Chutes-de-la-Chaudière et Desjardins     3                                             3

CLSC Bellechasse                                                     1                                             1

CLSC La Nouvelle-Beauce                                      2                                             1

Région de Thetford                                                  2                                             0

Région de Beauce                                                     3                                             0

Région des Etchemins                                             0                                             1

Région de Montmagny-L’Islet                               1                                             1

Total Chaudière-Appalaches                      13                                           8

 

L’an dernier, le CISSS de Chaudière-Appalaches souhaitait l’arrivée de 20 nouveaux médecins sur son territoire, plan qui a été comblé presque en totalité. La MRC des Etchemins ne devait pas de nouveaux médecins alors que Lévis et la Beauce s’étaient vu attribuer cinq médecins chacune.

Notons qu’un médecin détenteur d’un permis de pratique au Collège des médecins du Québec s’engage à consacrer au moins 55 % de ses jours de facturation, sur base annuelle, dans la région ou le territoire où il détient son avis de conformité au PREM. Ce sont 436 nouveaux médecins de famille qui seront mis en disponibilité à travers le Québec cette année.

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le 14 octobre 2020

16 Oct

Denis Bédard défie le temps et partage sa passion

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 16 Oct 2020

SOCIÉTÉ. Alors qu’une majorité de travailleurs attendent de prendre leur retraite à l’âge de 65 ans, d’autres défient le temps et poursuivent leur carrière. C’est le cas de Denis Bédard de Sainte-Justine qui, à 80 ans, est plus actif que jamais.

 

Avec l’aide de son petit-fils Mathieu Lantagne, Denis Bédard fabrique 400 livres de la populaire saucisse Racine, chaque semaine. (Photo : La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

Boucher accompli et reconnu dans sa profession, M. Bédard a amorcé sa carrière le 16 septembre 1960, alors qu’il n’avait que 20 ans. Premier de sa promotion à l’Institut Fortier de Montréal, à l’époque, le Justinien s’était inscrit un peu « à reculons », décision qu’il est loin de regretter six décennies plus tard.

« Je travaillais dans chantiers comme bûcheron et après avoir eu un accident d’automobile, mon frère m’avait invité à le joindre dans l’usine de fabrication de moteurs où il travaillait à Montréal. J’y ai passé près d’un an, mais je me suis aperçu que je n’étais pas fait pour cela », mentionne-t-il en ajoutant qu’après être revenu à Sainte-Justine, sa copine de l’époque l’avait convaincu de revenir dans la métropole et suivre son cours de boucher.

« Nous étions 16 inscrits et le responsable du programme nous a dit que les deux étudiants qui auraient les meilleures notes après la formation, qui durait huit semaines, auraient un emploi assuré en sortant de l’école », se remémore M. Bédard qui terminé premier du programme avec une impressionnante note de 95,3 %.

Le cours finissait le jeudi et le lendemain, il commençait à travailler au Marché Richelieu de ville Saint-Laurent. « Le commerce embauchait quatre bouchers, ce qui était beaucoup à l’époque. On m’a bien accueilli et montré plein de choses. Le gérant m’avait dit, un moment donné, que j’allais servir au comptoir et que ça irait bien. »

Servir son idole

Comme la plupart des Québécois à l’époque, M. Audet aimait le hockey et le Canadien de Montréal. Il idolâtrait des joueurs comme Maurice et Henri Richard et Jean Béliveau, mais surtout Bernard Geoffrion. « Après deux mois à la boucherie, j’ai eu le plaisir de servir Bernard Geoffrion pour la première fois. Il venait chaque jour et quand le gérant m’a demandé de le servir, j’étais aux anges. Il savait que j’étais le petit nouveau et je l’ai croisé régulièrement par la suite », affirme-t-il.

Couteau à la main, Denis Bédard poursuit son travail sur une base quotidienne au Resto-Pub El Toro de Sainte-Justine.

Nouveau défi

Après un an chez son premier employeur, Denis Bédard se retrouve au « Marché Alberto », sur « recommandation » de son patron qui souhaitait qu’il puisse progresser dans la profession, ce qu’il était incapable de lui offrir. Il est resté là un an et demi avant de venir s’établir à Québec, lui qui désirait s’approcher de la nouvelle élue de son cœur, Pauline Arsenault, femme qu’il a épousée et qui est toujours à ses côtés aujourd’hui.

Après avoir travaillé un an et demi dans une importante boucherie du chemin Ste-Foy, il entre chez Steinberg pour une aventure qui duré un peu plus de six ans et qui l’a mené à différents endroits dans l’Est-du-Québec.

« Je suis entré chez Steinberg en 1966, l’année de mon mariage. Il y avait un nouveau magasin à Sainte-Foy et c’est là que tout a commencé. Trois mois plus tard, ils m’ont offert de travailler comme gérant de viandes à Baie-Comeau. Avec la bénédiction de Pauline, j’ai passé trois premiers mois là-bas avant mon mariage. Pendant 90 jours, j’ai lui écrit 89 lettres elle a fait de même », souligne-t-il avec amusement.

Après trois ans à Baie-Comeau, il deviendra responsable du département des viandes d’un nouveau magasin à Rimouski. Il y passera une année avant d’être transféré à Sept-Îles où il aidera à redresser le département des viandes du magasin situé à cet endroit. Il quittera Steinberg en 1972 et reviendra à Québec afin de soutenir un ancien collègue qui avait ouvert une cafétéria qui n’était pas rentable et était, par conséquent, menacée de fermeture.

                                                               Denis Bédard n’a que de bons mots pour son épouse Pauline Arseneault qui l’a toujours appuyé dans ses décisions, souligne-t-il.

 

« Au départ, je n’étais pas certain de me lancer là-dedans, mais on a viré cela en cafétéria et restaurant, ce qui me permettait de poursuivre mon métier de boucher en même temps. Les ventes étaient de 2 500 $ par semaine quand je suis arrivé et oscillaient entre 7 000 $ et 8 000 $ par semaine à mon départ », précise-t-il.

Retour aux sources

M. Bédard et son épouse, qui travaille avec lui depuis 50 ans maintenant, prendront la route de Sainte-Justine en 1976 lorsque son beau-frère, Marcel Racine, lui offrait la possibilité de venir travailler dans sa boucherie de la rue Principale. Allait débuter une belle aventure qui se poursuit, 44 ans plus tard.

« Nous sommes arrivés ici le 26 mai 1976 et le lendemain, j’étais en poste. Marcel et moi, on a travaillé ensemble jusqu’en 1995, année où ma fille Annie a acheté la boucherie avec son conjoint de l’époque », mentionne M. Bédard qui rappelle qu’en plus de la boucherie, le commerce abritait un abattoir.

Au fil des ans, le bâtiment a été transformé en restaurant (Resto-Pub El Toro), mais la boucherie demeurait opérationnelle. Le commerce a fermé complètement en décembre 2010, mais a rouvert ses portes 18 mois plus tard, en 2012.

« Lors de la réouverture, Annie m’a demandé si je pouvais faire cinq autres années avec elle, pour l’aider à relancer le tout sur des bases solides et je suis toujours là, huit ans plus tard. Cela fait plus de 25 ans qu’on travaille ensemble et j’aime toujours cela », indique M. Bédard qui reconnaît qu’il n’est pas toujours facile de marier famille et travail du fait que les sujets de conversations tournent toujours autour du travail.

« C’est un métier que j’adore. Je ne pensais pas faire 60 ans dans le domaine, mais pour moi c’était important de me rendre là. Ma santé est bonne. J’arrive à 5 h chaque matin, je prends mon temps et je prépare les choses dont Annie a besoin. Je retourne déjeuner puis je reviens faire la saucisse avec mon petit-fils. J’ai toujours fait cela, partout où j’ai travaillé », précise-t-il en ajoutant qu’il n’entend pas s’arrêter, pour le moment.

1,3 millions de livres en 44 ans

Depuis son arrivée à la Boucherie Racine en 1976, puis avec sa fille Annie depuis 25 ans, la viande préparée par Denis Bédard est recherchée par les consommateurs de la région. Cela sans oublier la populaire « saucisse Racine », dont il perpétue la tradition 44 ans plus tard.

« Actuellement, on vend 400 livres de saucisses par semaine, même si on n’est ouverts que quatre jours par semaine. En 1995-1996, on tournait autour de 800 livres par semaine. La concurrence est plus présente aujourd’hui, mais il faut noter que la clientèle a changé et que les familles sont beaucoup moins nombreuses qu’avant », indique M. Bédard qui ajoute que depuis son arrivée en 1976, ce sont plus de 1,3 million de livres de saucisses qui ont été fabriquées sur place.

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le 15 octobre 2020

 

 

16 Oct

Le Pavillon du cœur mise encore sur les exercices à la maison

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 16 Oct 2020

Pour une deuxième fois en 2020, le Pavillon du cœur Beauce-Etchemin doit fermer ses installations physiques à Saint-Georges et Beauceville.

Les employés offrent des cours virtuels liés à différents exercices. (Photo : Gracieuseté – Pavillon du cœur Beauce-Etchemin)

L’organisme avait déjà vécu cette situation le printemps dernier, en raison de la pandémie. Depuis le 8 octobre, les centres d’exercices et de conditionnement physique en zone rouge sont fermés. Ils rouvriront au plus tôt le 28 octobre, selon les prochaines directives de la Santé publique.

« Nous sommes mieux préparés pour faire face à la deuxième vague de la COVID-19. Tous nos employés restent en poste. Notre clientèle est plus à risque, car les gens sont atteints d’une maladie chronique ou en voie de l’être », mentionne la directrice générale, Chantal Quirion.

En ce moment, les clients ne peuvent pas utiliser les appareils des centres d’exercices et de réadaptation, ni suivre les cours d’activités physiques sur place. Ces mêmes cours sont offerts virtuellement, ainsi que certains suivis en santé (kinésiologie, nutrition, etc.).

« Tous ceux qui avaient un programme personnalisé d’exercices sont suivis à distance. Au besoin, nous prêtons des accessoires aux usagers, comme des tapis de sol, haltères et élastiques. Nous serons toujours là pour aider les gens à rester en santé. Notre équipe prend la situation très au sérieux », dit Mme Quirion.

Statut spécial

Il n’est pas exclu que le Pavillon du cœur Beauce-Etchemin demande l’obtention d’un statut spécial auprès de la Santé publique. Selon Chantal Quirion, l’organisme ne doit pas être considéré comme un centre d’exercices standard, parce qu’il exerce des rôles de prévention et réadaptation.

« À cause d’une restriction de notre capacité d’accueil, il a fallu prioriser notre clientèle avec des maladies chroniques. Partout, des opérations de désinfection avaient lieu régulièrement. Nous ne sommes pas un gym ordinaire, mais une institution de santé », conclut Mme Quirion.

Pour connaître les programmes et activités du Pavillon du cœur Beauce-Etchemin, visitez cœur.ca ou composez le 418 227-1843.

 

Source: Frederic Desjardins, L’Éclaireur Progrès, le 8 octobre 2020

16 Oct

Enlèvement : Un dixième roman pour Daniel Lessard

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 16 Oct 2020

L’auteur Daniel Lessard, originaire de Saint-Benjamin, a lancé un dixième roman en carrière au cours des derniers jours.

Daniel Lessard a publié, au cours des derniers jours, son 10e roman en autant d’années intitulé Enlèvement, qui s’attarde entre autres à la maltraitance contre les enfants. (Photo : gracieuseté)

Avec Enlèvement, une fois de plus publié aux Éditions Pierre Tisseyre, le journaliste à la retraite de Radio-Canada s’attarde cette fois-ci au dossier de la maltraitance des enfants.

« Après la sortie de la Dalle des morts, l’an passé, je cherchais un autre sujet historique. J’avais une couple d’idées, mais rien de précis ou d’intéressant. Mon éditrice m’a alors suggéré de faire un deuxième volet de La louve aux abois. Au départ, je ne savais pas trop par quel bout commencer », relate l’auteur de 73 ans qui, comme la majorité de la population, s’est dit bouleversé par les tristes événements de Granby où une fillette est décédée l’an dernier.

« J’ai rencontré une intervenante que je connaissais depuis longtemps et qui a longuement œuvré auprès des enfants en difficultés. Elle m’a raconté divers événements auxquels elle a été confrontée au cours de sa carrière et cela m’a donné l’inspiration nécessaire », poursuit-il.

En journaliste d’expérience, il rappelle que dans le domaine de la maltraitance des enfants, il y a des incompétents à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) comme il y en a chez les journalistes et les enseignants ou ailleurs. « Il y en a qui travaillent très fort pour sauver ces enfants-là », tient-il à rappeler.

L’enlèvement raconte donc l’histoire d’une fillette portée disparue sans qu’on l’ait vue quitter l’école. Ce cas s’ajoute à celui d’un autre enfant de la même école porté disparu dans les mêmes circonstances, quelques mois auparavant.

Pour ce nouveau roman policier, dont l’histoire de déroule en Outaouais, M. Lessard ramène deux personnages principaux de La louve aux abois, soit la journaliste Marie-Luce Beaupré et la sergente-enquêtrice Sophie Comtois, qui se voit confier l’enquête.

Grippe espagnole

Si son dixième roman n’est en librairie que depuis quelques jours, Daniel Lessard est déjà en préparation de son 11e ouvrage dont la publication est prévue pour l’automne 2021, si tout va bien.

L’actuelle pandémie l’a incité à revenir 100 ans en arrière, soit au moment où la grippe espagnole a fait des millions de morts partout dans le monde.

« Il y a eu beaucoup de livre et d’articles intéressants qui relataient comment ça se passait dans des villes comme Québec ou Montréal. Je souhaite raconter comment ça se passait dans un petit village de la Beauce à l’époque », indique l’auteur qui ajoute qu’un article publié dans la revue « Au fil du temps » de la Société historique de Bellechasse lui avait donné l’inspiration nécessaire.

« Cela parlait de l’histoire d’un médecin de campagne qui, dans une même journée, pouvait rencontrer jusqu’à 40 personnes par jour. Certains patients qu’il avait vus le matin étaient décédés en soirée », ajoute l’auteur qui dit vouloir raconter ce qui se passait à l’époque, tout en respectant les mœurs du temps. »

 

Source: Serge Lamontagne, L’Éclaireur Progrès, le 12 octobre 2020

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