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Auteur/autrice : CJE Etchemins

25 Oct

Daniel Lessard raconte la grippe espagnole au cœur de la Beauce

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 25 Oct 2021

LIVRES. L’actuelle pandémie de la COVID-19 a été une source d’inspiration pour Daniel Lessard. Avec son 11e roman en carrière, intitulé « Le p’tit docteur de Saint-François-de-Beauce », il renoue avec le style historique mélangeant faits réels et histoires romancées.

Daniel Lessard a compté notamment sur le soutien d’Andrée Roy, de Patrimoine Beauceville, dans l’écriture de son 11e roman. (Photo : (Photo L’Éclaireur Progrès – Frédéric Desjardins))

En septembre 1918, le jeune docteur Laurent Cliche s’installe dans le village de Saint-François-de-Beauce (aujourd’hui annexé à Beauceville). Lui et son épouse Rose, infirmière qu’il a connue à l’Hôtel-Dieu de Québec, pensent que cet endroit sera idéal pour fonder un foyer.

« Laurent vient d’une famille aisée et n’a pas connu trop de problèmes dans sa vie. Il est idéaliste, ambitieux et veut sauver le monde. Il se rend compte rapidement que la médecine en campagne est différente. Ce sera dur de changer les mentalités », dit Daniel Lessard.

Peuple insoumis

Il y a plus de cent ans, prendre soin de sa santé était très différent des mentalités actuelles. « Ça se limitait à de l’aspirine et du camphre. Avoir les services d’un médecin coûtait cher. Des gens faisaient souvent appel à des charlatans et faiseurs d’anges (avortement) », explique M. Lessard.

Lorsque frappera la grippe espagnole, plusieurs Beaucerons montreront leur caractère de peuple insoumis.

« Des gens ne portaient pas le masque et faisaient des regroupements en grand nombre. Ils disaient qu’en campagne, l’air est pur et la nourriture est saine. On ne pouvait pas tomber malade. L’Église croyait que, pour s’en sortir, ça passait par la prière et les indulgences », mentionne l’auteur natif de Saint-Benjamin.

Recherches et langage beauceron

Daniel Lessard effectue toujours de nombreuses recherches avant d’écrire un roman historique. Cette fois-ci, il comptait notamment sur le soutien d’Andrée Roy, de l’organisme Patrimoine Beauceville.

« En 1918, 27 personnes sont décédées dans la première vague de grippe espagnole à Saint-François-de-Beauce. Cette maladie a été documentée dans les grandes villes. Je voulais savoir comment ça se passait dans un petit village », indique M. Lessard.

Comme dans ses publications précédentes, il utilise un langage beauceron dans l’écriture. Un lexique précède le premier chapitre, avec des termes comme chédévrer (construire), défuntiser (mourir), éclanches (gens faibles, maladifs) et faire tourner les sangs (rendre malade).

« J’ai pris un risque en écrivant ce livre sur une pandémie, au moment où les gens sont tannés (de la COVID-19). Nous voyons que l’histoire se répète et qu’on n’apprend pas toujours des erreurs du passé. Je ne veux toutefois pas faire la leçon à personne », précise Daniel Lessard.

Ce dernier pense déjà à son 12e roman, mais ne souhaite pas trop s’avancer sur le sujet. « Je retournerai au genre policier », dit-il simplement.

 

Source: Frederic Desjarins, La Voix du Sud, le 3 octobre 2021

25 Oct

Saint-Luc: une élection avec des visions communes

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 25 Oct 2021

L’élection à la mairie de Saint-Luc ne donnera possiblement pas lieu à un grand choc des idées, puisque les deux candidats en présence, l’actuelle conseillère Louise Carrier et l’homme d’affaires à la retraite Claude Nadeau ayant des idées plutôt similaires, mis-à-part l’avenir de l’église.

Ce sera une lutte à deux pour la mairie à Saint-Luc. (Photo : La Voix du Sud – Éric Gourde)

Autant M. Nadeau et Mme Carrier parlent du potentiel de Saint-Luc grâce au tourisme, même si elle n’est pas située sur une route principale. Les deux évoquent également une plus grande place aux citoyens dans les décisions.

À Saint-Luc depuis deux ans seulement, Claude Nadeau n’a jamais été un élu, mais estime que son expérience dans le milieu des affaires peut servir la communauté. Il observe tout de même que plusieurs ont soif de renouveau. « Il faut que les gens dépassent leurs craintes par rapport au changement. Ça prend du nouveau et je suis à la retraite et j’ai du temps. Je suis un homme d’affaires. J’ai eu des compagnies de transport pendant 25 ans. J’ai aussi eu une épicerie, un bar laitier, une auberge et un restaurant. Je voulais m’installer à un endroit et j’ai choisi Saint-Luc. Des gens m’en parlent depuis un certain temps et je prenais ça à la blague au début, mais j’ai décidé d’y aller et pour accomplir quelque chose. »

Louise Carrier a fait part de ses intentions dès le début et présenté sa candidature rapidement. « J’ai affiché mes couleurs tôt, c’était pensé depuis longtemps. Je suis née ici, je suis allée ailleurs, mais j’ai choisi de revenir et ça fait maintenant 13 ans que je suis propriétaire. J’ai un petit parcours déjà à la municipalité, ayant été présidente de l’OTJ et conseillère municipale. Les citoyens payeurs de taxes doivent vraiment avoir davantage de place. »

La différence, l’église

Là où les deux candidats semblent se distinguer, c’est sur l’avenir de l’église dans la communauté. Pour M. Nadeau, le bâtiment doit être cédé à d’autres propriétaires. « Je ne sais pas pourquoi ce n’est pas encore vendu. Des projets ont été présentés, mais on ne connait pas la suite. On a besoin de quelque chose qui attirera le touriste et l’église pourrait en être le fer de lance. Nous sommes au cœur des montagnes et aux abords du Massif du Sud. Le potentiel est énorme. »

Louise Carrier aimerait que son église demeure une église et écarte une mise en vente rapide du bâtiment. « Il faudra mettre la Covid derrière nous un jour et ramener des activités pour la faire vivre et ramener un semblant de vie sociale. On peut y arriver, j’en suis convaincue. »

Claude Nadeau estime, en toute modestie, avoir eu du succès avec ses entreprises et du flair pour mesurer quelles étaient les bonnes occasions, notamment à Saint-François, Île-d’Orléans, avec une épicerie qu’il a rouverte. « Tout le monde pensait que j’allais me planter, mais au contraire, ce fut un succès. C’est ce que je veux faire ici. Là où nous sommes situés, il ne faut pas penser avoir un parc industriel ici. On le voit avec les VTT et la motoneige, le tourisme est là où on peut aller chercher des revenus. Il faut aller le chercher. »

Là aussi, Louise Carrier semble partager son point de vue. « C’est évident que nous n’aurons pas chez nous une industrie de 300 employés. Les gens viennent pour la motoneige, le VTT, les paysages, l’espace et la tranquillité. Plusieurs veulent acheter des résidences parce qu’il y a des choses à faire à proximité. Saint-Luc n’est pas située sur une route principale, mais beaucoup de monde sont déjà passé chez nous, que ce soit pour la chasse, la pêche, la motoneige, le VTT, le parc éolien ou autre et tout ça est un avantage. »

M. Nadeau estime toutefois que certaines mentalités doivent changer pour assurer l’essor du village. « Les maisons se vendent à Saint-Luc parce qu’elles ne sont pas chères. La devise du village est c’est bon y vivre. Ce n’est pas en raison du prix des maisons, mais des gens qui y habitent, les paysages, l’air est pur, c’est là où il faut aller. Il faut que les gens viennent pour y demeurer. On a une population vieillissante, mais les gens qui viennent maintenant sont plus jeunes. C’est intéressant pour tout le monde. On ne pourra pas tout faire du jour au lendemain, mais il faut déjà jeter les bonnes bases et dépenser aux bons endroits. »

Louise Carrier souhaite, de son côté, ramener l’esprit d’entraide au sein de la communauté, tout en jugeant elle aussi nécessaire de revoir la façon de dépenser à la municipalité. « Avant la Covid, on organisait des activités et les gens participaient. Il faudra mettre les dénonciations et les chicanes de côté pour mieux s’arrimer et faire des choses. Je veux laisser une place aux citoyens pour s’exprimer et participer aux décisions courantes et travailler en collaboration avec le parc du Massif du Sud pour les futurs projets. L’incendie qui a détruit le garage municipal l’hiver dernier a laissé un manque à gagner qu’il faudra combler. Une diminution globale des coûts à la municipalité pour mieux la réinvestir. »

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le 20 octobre 2021

25 Oct

Une carrière dédiée aux Forces armées canadiennes

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 25 Oct 2021

SOCIÉTÉ. Plusieurs anciens membres du Corps de cadets de Sainte-Justine, comme c’est le cas pour d’autres corps de cadets de la région, occupent aujourd’hui des postes névralgiques dans différentes sphères de la société, que ce soit dans l’armée ou chez les civils.

Membres du Corps de cadets de Sainte-Justine pendant leur jeunesse, Patrick Chabot et Dave Gosselin ont consacré les 25 dernières années de leur vie aux Forces armées canadiennes.
(Photo : gracieuseté)

Natifs de Sainte-Justine et Saint-Cyprien respectivement, Patrick Chabot et Dave Gosselin soulignent que leur passage dans le mouvement des cadets a eu un effet direct sur leur avenir, eux qui font carrière dans l’armée canadienne depuis 25 ans et occupent des postes névralgiques au sein des Forces.

Lieutenant-colonel, Patrick Chabot est responsable de l’organisation administrative des soins de santé offerts dans les différentes bases du pays, ainsi que lors du déploiement des équipes en exercice partout au -Canada ou ailleurs dans le monde. Il mentionne que l’armée dispose de son propre réseau de santé et qu’à part certaines exceptions, les militaires ne sont pas censés se faire soigner dans les cliniques civiles.

« Notre département joue un rôle similaire à celui d’un ministère de la santé, mais au sein de l’armée », précise-t-il.

Pour sa part, Dave Gosselin est adjudant-chef au sein du 25e dépôt d’approvisionnement des Forces basé à Longue-Pointe, dans la région de Montréal, établissement dont l’existence remonte aussi loin qu’à la Deuxième Guerre mondiale.

« On est un peu comme l’Amazone de l’armée. Les gestionnaires de matériel sont à Ottawa et de notre côté, on fait l’entreposage des équipements et on gère tout cela en fonction de leurs directives », signale-t-il.

Tous deux âgés de 44 ans, les deux hommes sont entrés dans l’armée en même temps, mais ont eu un cheminement un peu différent.

« Nous avons passé sept ou huit ans dans les cadets et après, comme on n’avait plus l’âge, nous sommes partis pour les études collégiales. On s’est perdus de vue un certain temps et on s’est croisé à nouveau quelques années plus tard. Ça adonne qu’aujourd’hui, on travaille dans le même édifice et que nos bureaux sont presque voisins », raconte Patrick.

Ce dernier mentionne qu’il a commencé par la réserve, à temps partiel puis à temps plein, avant de joindre les forces régulières, ce qui l’a amené à voyager partout au Canada. Il est établi à Montréal depuis deux ans, après un séjour dans la région de Toronto.

Après avoir suivi une formation en dessin industriel, Dave souligne qu’il est entré dans l’armée régulière directement en 1997. « C’est devenu mon principal gagne-pain. J’étais technicien en approvisionnement puis c’est devenu technicien en gestion de matériel. De par mon grade, j’ai changé de métier récemment, mais je demeure un technicien en gestion de matériel », mentionne-t-il.

Au cours des dernières années, il a été promu au poste d’adjudant-chef, le plus haut niveau accessible pour les sous-officiers comme lui. On compte entre 400 et 500 adjudants-chefs dans l’ensemble des Forces canadiennes, précise-t-il.

                                                                                                     Patrick Chabot à son bureau, sur la base militaire de Longue-Pointe, près de Montréal.

 

La gestion de la pandémie

Au cours des 18 derniers mois, les deux Etcheminois ont eu à s’impliquer, directement ou indirectement, dans les efforts en lien avec la lutte à la COVID-19.

D’une part, Patrick Chabot dit avoir œuvré de façon directe dans la gestion de la pandémie lorsque le gouvernement du Québec a fait appel à l’armée pour obtenir des renforts des militaires dans le réseau de la santé.

« J’ai travaillé là-dedans 7 jours sur 7 pendant trois mois pour établir un plan complet de déploiement de nos militaires. Au début, nous étions seulement censés prêter du personnel médical qui travaillait déjà pour nous. Quand l’armée a décidé d’envoyer des soldats sans formation médicale, il fallait leur montrer comment les protocoles marchaient, car ils n’étaient pas habitués à traiter avec le virus. C’était une grosse tâche », indique-t-il en rappelant que les 200 ou 300 premiers militaires affectés à la lutte contre la COVID-19 étaient principalement des médecins, infirmiers ou infirmières.

Pour sa part, Dave souligne que s’il n’a pas été impliqué directement dans la gestion de la pandémie, son département a eu un certain rôle de soutien à jouer en ce sens qu’une partie importante du matériel de protection utilisé par l’armée (gants, masques de procédure et autres) pour la lutte à la COVID transitait par leurs installations.

« La gestion de ce matériel est normalement du ressort de l’équipe de santé et comme ça en prenait davantage et qu’ils n’avaient pas la capacité d’emmagasiner tout cela, nous avons été mis à contribution. »

                                         Dave Gosselin de Saint-Cyprien est adjudant-chef rattaché au 25e dépôt d’approvisionnement des Forces basé à Longue-Pointe, dans la région de Montréal.

 

25 ans de carrière

Patrick Chabot souligne que son but était de se rendre à 25 ans de carrière, car à ce moment la personne peut quitter les forces avec une pension immédiate. De son côté, Dave mentionne qu’il aurait pu quitter l’armée après 20 ans de services, mais qu’il souhaitait se rendre à 25 ans, ce qu’il fera en janvier prochain. C’était un objectif personnel qu’il souhaitait atteindre.

Les deux hommes sont fiers de leur cheminement. « Je ne changerais pas ma carrière pour rien au monde. Il y a peut-être certaines opportunités que j’ai manquées que je reprendrais aujourd’hui, mais c’est tout, » mentionne Dave.

« Moi, j’ai fait ce que je voulais. L’armée m’a permis d’apprendre l’anglais, d’avoir des études universitaires et de voyager partout au Canada. Je suis très satisfait de ce que j’ai fait », conclut Patrick.

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le 20 octbore 2021

25 Oct

Trois anciens maires dans la course à Saint-Zacharie

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 25 Oct 2021

POLITIQUE. Trois citoyens natifs de Saint-Zacharie, ayant déjà occupé le poste de maire dans cette municipalité, veulent obtenir la confiance des électeurs pour les quatre prochaines années. Dans tous les cas, ils ne possèdent aucune liste de longues promesses à proposer aux résidents.

Richard Lachance, Jean Paradis et Camil Cloutier miseraient sur la consultation citoyenne pour faire avancer des projets. (Photo : gracieuseté)

Élu en novembre 2017 comme conseiller municipal, Richard Lachance est devenu maire en février dernier à la suite du départ de Joey Cloutier. La construction du centre de loisirs a été le projet majeur de son mandat.

« Un important tronçon du rang 6 sera refait en 2022. On regarde également pour avoir notre propre système de déneigement, car les coûts ont explosé chez les déneigeurs privés. Aucun projet majeur ne sera mis de l’avant sans avoir consulté les citoyens », dit M. Lachance.

Maire de 2009 à 2017, Jean Paradis souhaite revenir à la mairie. Nullement amer de sa défaite au scrutin précédent, il a assisté à quelques réunions du conseil municipal par la suite.

« J’ai posé quelques questions, sans jouer à la belle-mère politique. Je suis à la fois content et déçu de ce qui se passe. Il reste beaucoup de projets qu’il faut mener à bon port. J’ai des idées, mais ça se décidera avec les autres conseillers et en prenant le pouls de la population », indique M. Paradis.

Camil Cloutier a été maire de Saint-Zacharie de 1998 à 2002. Ayant transféré ses acquis agricoles à son fils (Ferme BCA) en 2019, il est plus disponible pour s’acquitter des tâches liées à la politique municipale.

« À mon arrivée (1998), la municipalité était sous tutelle. Nous avions une bonne équipe pour passer au travers de cette crise. Cette fois-ci, il faut penser à l’après COVID-19 et s’inspirer de ce qui se fait dans les autres paroisses », mentionne M. Cloutier.

 

Source: Frederic Desjardins, La Voix du Sud, le 21 octobre 2021

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