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Auteur/autrice : CJE Etchemins

01 Sep

Le Rendez-vous de l’entrepreneuriat : La date est maintenant connue

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 01 Sep 2022

C’est via leur page Facebook que la Société d’aide au développement des collectivités (SADC) Bellechasse-Etchemins a dévoilé la date du 6e Rendez-vous de l’entrepreneuriat. L’activité aura lieu au Mont-Orignal de Lac-Etchemin, le mardi 5 octobre prochain.

La SADC a confirmé d’un même élan que la coprésidence d’honneur sera assurée par Natacha Lagarde de la Ferme des cents acres de Lac-Etchemin et de Laurent Morin de Phytimpact de Saint-Anselme.

Le cofondateur de LOOP Mission, David Côté tiendra une conférence en plus des nombreuses activités proposées.

 

Source : Jonathan Defoy, Passion FM, 24 août 2022

 

01 Sep

Premiers réfugiés ukrainiens dans Les Etchemins: Amine et Maryna en quête de sécurité

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 01 Sep 2022

LAC-ETCHEMIN. L’invasion russe en Ukraine ne laisse personne indifférent, encore moins la crise humanitaire qui en découle et qui a forcé des centaines de milliers d’entre eux à fuir et tout laisser derrière eux pour trouver refuge dans les pays voisins, ou encore en Amérique du Nord.

Mohamed Amine Boudlablij et son épouse Maryna Chernopolska, ainsi que leur chienne Emma, sont installés depuis peu à Lac-Etchemin, étant en quête de tranquillité, de sécurité et d’une vie meilleure. (Photo : La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

Le Québec est aussi devenu une terre d’asile pour plusieurs et des régions comme la Beauce, notamment, ont déjà levé la main pour accueillir des réfugiés ukrainiens. Ajoutez maintenant à cette liste la MRC des Etchemins.

Depuis près de trois semaines, Maryna Chernopolska et son époux, Mohamed Amine Boudlablij, sont installés à Lac-Etchemin, ceux-ci étant en quête de tranquillité, de sécurité et d’une vie meilleure. « Nous avions entendu parler du Québec et notre amie Stéphanie Lamontagne nous a invités à venir ici. Elle s’occupe bien de nous et fait tout pour nous aider », mentionnait Amine Boudlablij, lors d’une rencontre avec le couple la semaine dernière.

Cette dernière précise que c’est par le biais du site Canada – Host Ukianians/Hébergeons les Ukrainiens qu’elle est entrée en contact avec eux. « Je commentais leurs messages et je leur donnais des conseils, sans penser que ça déboucherait sur une rencontre. J’ai ensuite répondu à un message de Maryna et on a connecté tout de suite. On a continué à s’écrire en privé et je suis allée voir sa page Facebook. Une citation a attiré mon attention. Cela disait « Impossible ne fait pas partie de mon vocabulaire » et je me suis dit, voilà des gens déterminés qui sont dans l’action et qui vont aller de l’avant. Cela m’intéressait de m’investir auprès d’eux », souligne la résidante de Lac-Etchemin qui est devenue, du jour au lendemain, la marraine du couple et d’autres familles qui viendront s’établir dans la région au cours des prochaines semaines.

Résidents de -Potlova, dans l’Est de l’Ukraine, Amine et Maryna sont âgés de 27 et 31 ans respectivement (Amine aura 28 ans en octobre) et sont mariés depuis trois ans. Potlova est à mi-chemin entre Dnipro, d’où Maryna est originaire, et Kharkiv, deux villes durement touchées par les bombardements russes.

Le couple est arrivé au Canada avec un visa de 10 ans et un permis de travail de trois ans, renouvelable. Ils pourront faire leur demande de résidence permanente sans avoir à sortir du pays avant la fin de cette période de trois ans.

« C’est ce qu’on vise et peut-être la citoyenneté, dans le futur, si on se sent chez nous ici. Le fait de vivre dans un pays sécuritaire est important pour nous, ce n’est plus le cas en Ukraine. Avoir des enfants dans un pays où tu ne sais pas de quoi demain sera fait, c’est un peu délicat. La guerre ne se terminera pas demain, on sait que ça va traîner. Pour que notre pays redevienne vivable, cela prendre des décennies », convient Amine avec tristesse.

Amine Boudlablij et Maryna Chernopolska ne tarrissent pas d’éloges envers Sréphanie Lamontagne (au centre), qui est devenue leur marraine dans Les Etchemins et travaille activement, à titre personnel, à la venue d’autres familles ukrainiennes dans la région.

Laisser famille et amis derrière

Dentiste de formation, Amine parle russe et ukrainien, en plus du français et de l’arabe. Comme il a la citoyenneté marocaine, lui et Maryna ont pu quitter le pays avant le début du conflit armé.

« On entendait parler de la possibilité d’une attaque russe et en même temps j’avais un engagement au Maroc, alors on a eu beaucoup de chance, surtout que les frontières ont été fermées par la suite. »

Les parents de Maryna sont toujours à -Dnipro qui, comme Donesk et Louhansk, qui sont sous contrôle russe. Maryna parle avec eux chaque jour. « Le père de Maryna a un handicap, même s’il travaille. Il ne peut pas sortir du pays et son épouse a décidé de rester avec lui et de ne pas l’abandonner », mentionne Amine qui dit beaucoup apprécier la famille de son épouse qui l’a rapidement accepté et l’a toujours traité comme s’il était leur fils.

« On essaie de les convaincre de nous rejoindre, surtout en sachant que s’ils sont là aujourd’hui, peut-être qu’ils ne le seront plus dans le futur. Avec les bombardements, tu ne sais pas si tu vivras encore le lendemain, c’est l’insécurité complète », affirme-t-il en mentionnant que le peuple ukrainien, ni personne d’autre, ne méritait la guerre.

Un emploi dans la région

Avant même son arrivée en terre etcheminoise, Amine Boudlablij savait qu’un emploi l’attendait à la clinique dentaire du docteur Bruno Ferland de Sainte-Justine. S’il était chirurgien-dentiste en Ukraine, Amine ne pourra cependant pas exercer son métier officiellement ici, devant se contenter, pour le moment, d’un rôle d’assistant dentaire du fait que sa formation ukrainienne n’est pas reconnue au Québec. S’il avait obtenu son diplôme en France, la situation serait différente et il pourrait exercer son métier dès à présent, en vertu d’une entente entre les deux gouvernements.

Le couple lors de jours plus heureux en Ukraine.

M. Boudlablij déplore cette non-reconnaissance des acquis, ajoutant que plusieurs de ses amis qui sont médecins ou dentistes, comme lui, devraient bientôt arriver au Canada et choisiront possiblement de s’établir dans une province où ils pourront rapidement commencer la pratique officielle de leur métier.

« La reconnaissance des acquis demeure un problème et on a informé la députée qui nous a dit que la question était sur le bureau du ministre Dubé. C’est un peu dommage quand on sait qu’on a une pénurie de médecins et autres spécialistes de la santé, qu’on a un beau bassin de professionnels qui se pointe à l’horizon et que celui-ci ne peut exercer chez nous à cause de cela », renchérit Mme Lamontagne.

Le fait qu’il parle déjà français va aider Amine Boudlablij dans son intégration au Québec, mais il est conscient que ce sera plus difficile, au départ, pour son épouse qui devra suivre des cours de francisation. Il en sera de même pour tous ceux s’en viendront au cours des prochaines semaines.

Si la plupart des cours de francisation à temps plein sont actuellement offerts à Saint-Georges, Stéphanie Lamontagne a lancé des démarches visant à offrir une telle formation dans Les Etchemins, ce qui faciliterait la tâche de tous ces réfugiés qui n’auront pas de voiture à leur arrivée dans la région.

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 31 août 2022
01 Sep

Avec Pernicieux: Martine Côté se tourne vers l’horreur

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 01 Sep 2022

ROMAN. Après avoir publié deux romans à saveur historique, soit Histoires obscures en 2019 et L’affaire Emma Drouin en 2021, l’auteure Martine Côté de Saint-Cyprien se tourne vers l’horreur avec Pernicieux Tome 1, premier d’une série de volumes que l’on retrouvera en librairie à compter de ce samedi 20 août.

Originaire de Québec et résidente de Saint-Cyprien depuis 2019, Martine Côté fait un virage vers le domaine de l’horreur avec la publication de Pernicieux Tome 1, le premier d’une série de romans explorant le domaine des tueurs en série. (Photo : gracieuseté)

Pour cette nouvelle série de volume qui alliera horreur et affaires policières, dans les tomes subséquents, Mme Côté s’inspire de l’histoire du croquemitaine et d’un tueur en série ayant sévi au Québec à la fin des années 50 en nous transportant dans l’univers sombre d’un meurtrier d’enfants.

En plus de découvrir la psychologie du tueur et de le suivre pendant ses différents carnages, l’auteure présente les répercussions de ses actes sur la famille de sa première victime, Eugène Lemire.

« C’est le type d’écriture vers lequel m’en allais. Je suis une grande lectrice de ce type de romans, c’est un style qui m’attire beaucoup », explique la romancière qui précise que l’histoire du Tome 1 se passe en 1959. Le second, qui est déjà en écriture, se passera au début des années 2000.

« Dans ce premier tome, on essaie de voir ce qui se passe dans la tête du croquemitaine. Il essaie de vivre une vie ordinaire comme tout le monde, mais il en est incapable pour toutes sortes de raisons. On explore son passé pour découvrir ce qu’il est devenu. On suit aussi la famille de la première victime, en deuxième volet, pour reprendre notre souffle », explique Mme Côté qui ajoute que les tomes suivants auront davantage une approche plus policière avec les moyens mis à la disposition des équipes d’enquête comme les tests d’ADN et autres.

« On aura un nouveau meurtrier en série à chaque tome. En 1959, on les appelait meurtriers récidivistes, car le terme meurtrier en série n’existait pas encore à ce moment. Certains personnages du Tome 1 vont évoluer et se retrouver dans le Tome 2, mais ça ne sera pas le meurtrier. Ceux-ci auront eu connaissance de ce qui s’était passé à l’époque du croquemitaine », mentionne-t-elle en invitant les lecteurs à découvrir le tome 1, ce qui devrait faciliter la compréhension de ce qui se passera dans le tome 2 et ceux qui suivront.

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 20 août 2022

26 Août

Jeux du Canada: une sixième place inattendue pour Émilie Poulin

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 26 Août 2022

ATHLÉTISME. Native de Lac-Etchemin, Émilie Poulin a fait belle figure lors des Jeux du Canada qui ont pris fin le week-end dernier. Spécialiste du saut à la perche, la lacetcheminoise a pris le 6e rang avec un saut de 3,10 m, un résultat qui la satisfait pleinement.

Émilie Poulin de Lac-Etchemin a pris la 6e place à l’épreuve du saut à la perche présentée dans le cadre des récents Jeux du Canada. (Photo : gracieuseté)

« Cette sixième place est un peu une surprise pour moi en ce sens où je m’étais fixé comme objectif de faire un top-10, ce que je trouvais semi-réaliste. Mes attentes étaient élevées, même si cela ne fait pas longtemps que je pratique l’athlétisme, et encore moins de la perche. De plus, notre entraîneur habituel n’était pas avec nous à Niagara Falls », mentionne-t-elle en ajoutant que les conditions climatiques étaient difficiles lors de la compétition.

« On ne peut pas contrôler la température et c’est encore plus vrai à la perche. Notre concours continue même s’il ne fait pas beau. Cela m’a un peu déstabilisée, mais j’ai reprise le dessus, j’ai gardé le focus tout au long de la compétition et je vivais plus le moment présent, me concentrant sur ce que j’avais à faire et moins sur résultat », précise Émilie qui rappelle toutefois que si les conditions climatiques qui n’étaient pas idéales pour elles, elles ne l’étaient pour personne.

« Les filles qui m’ont devancé étaient loin devant sans trop l’être. Celle qui a gagné (une Ontarienne) et bien d’autres avaient beaucoup plus d’expérience que moi », d’affirme celle qui en était à sa première saison extérieure complète et n’avait pas le même bagage que plusieurs de ses adversaires, ne se spécialisant au saut à la perche que depuis un an à peine.

Elle devait également participer au tir du javelot, car un poste s’était ouvert en vue de la compétition nationale. « J’avais lancé du javelot en 2000 et les résultats étaient intéressants, assez pour que l’équipe du Québec décide de m’inscrire en pensant que je pourrais aussi performer dans cette épreuve aux Jeux du Canada et même si ça faisait deux ans que je n’avais pas touché à un javelot. Ils ont pris cette sans vraiment m’avertir, j’ai repris peu à peu l’entraînement avant que l’équipe ne décide de me remplacer par une autre lanceuse qui pouvait lancer plus loin que moi. C’était une bonne chose, car l’épreuve de la perche se déroulait en même temps que celle du javelot et j’aurais dû courir d’un bord et de l’autre pour faire les deux épreuves », indique-t-elle.

De la gymnastique à l’athlétisme

Ancienne gymnaste dans sa jeunesse, l’athlète de 22 ans a fait le saut vers l’athlétisme en 2018, avant de joindre le programme du Rouge & Or de l’Université Laval lors de l’année scolaire 2019-2020.

« À ma première année universitaire, je faisais du pentathlon (5 épreuves) et si j’avais de bons résultats, je ne retrouvais pas l’adrénaline que l’on avait en gymnastique. Je cherchais une épreuve qui me donnerait les mêmes sensations que la gymnastique et le saut à la perche répondait à cela, car il offrait la vision spatiotemporelle et le côté gymnique de la gymnastique », affirme Émilie.

Si la pandémie est venue retarder sa progression en 2020-2021, la dernière année (2021-2022) a été des plus productives pour l’athlète de Lac-Etchemin qui a remporté toutes les épreuves civiles auxquelles elle était inscrite, en plus de terminer en deuxième position au championnat provincial extérieur et première aux qualifications en vue des Jeux du Canada.

Maintenant que sa saison extérieure est terminée, l’étudiante à la maîtrise en relations industrielles à l’Université Laval se concentrera sur la saison intérieure 2022-2023 qui s’amorcera sous peu. Une participation aux Championnats canadiens universitaires (USports), qui seront présentés cet hiver, est notamment dans sa mire.

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 23 août 2022
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