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Mois : juillet 2023

03 Juil

Plus de 150 ans d’histoire répertoriée à l’intérieur du Vieux Moulin de Metgermette-Nord

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 03 Juil 2023

ACTUALITÉ. Le Vieux Moulin de Metgermette-Nord, situé au cœur de la municipalité de Sainte-Aurélie, renferme entre ses murs des milliers d’histoires plus intéressantes les unes que les autres. D’ici la fin de l’année, l’organisme Histoire et Patrimoine de Sainte-Aurélie a prévu plusieurs activités afin de célébrer le 150e anniversaire du bâtiment.

Les différents outils de la scierie sont mis de l’avant au première étage du Vieux Moulin. (Photo L’Éclaireur Progrès – Mathieu Fournier)

Érigé en 1873 sous la direction de Victor Vannier, l’objectif de cette construction était de coloniser les cantons de l’arrière-pays. Selon un contrat de 1872, 220 familles devaient s’établir sur les 44 000 acres de terrain de Metgermette-Nord accordés par le gouvernement du Québec. Au printemps 1874, le moulin et les équipements ont été mis en action afin d’y construire de nombreuses maisons dans le secteur.

Au fil des ans, plusieurs propriétaires se sont succédé. Le premier propriétaire a été Louis-Napoléon Larochelle. Puis, Isidore Giguère et sa femme Philomène Poulin, ont mené le moulin durant une période aujourd’hui surnommée l’âge d’or du moulin. Élie Giguère et Anney Allen ont ensuite pris les rênes de l’entreprise. Ces derniers ont dû fermer les portes du moulin en 1957 alors que les équipements n’étaient plus compétitifs dans le domaine.

Conserver l’histoire

Pendant près de 50 ans, le Vieux Moulin de Metgermette-Nord a été abandonné. En 2003, l’organisme Histoire et Patrimoine de Sainte-Aurélie a décidé de remettre en ordre le bâtiment tout en conservant son aspect d’origine. Depuis 2005, il est devenu une attraction touristique importante pour la région. Notons que le Vieux Moulin est le bâtiment industriel le plus âgé dans Les Etchemins et en Beauce-Sartigan, selon le Patrimoine bâti des deux MRC.

Lors des visites, les gens ont entre autres l’occasion d’en apprendre davantage sur les outils de la scierie et de la meunerie en plus d’y découvrir l’exposition de constructions miniatures du Beauceron Pierre Gilbert. « On fait tout ce travail, car on aime ça. Pour certains, c’en est une maladie. On aime l’histoire derrière le Vieux Moulin. C’est pourquoi on ajoute du nouveau chaque année », mentionne Michel Bélanger, à la direction de l’organisme. Le plus récent ajout a été le réaménagement du loyer du meunier Jean Giguère en 2022.

Programmation du 150e 

Le lancement de la programmation des 150 ans d’histoire de l’entrepreneurship forestier à Metgermette-Nord aura lieu le 1er juillet avec une visite bonifiée du Vieux Moulin et la présentation de la brochure « Des bâtisseurs d’avenir ». Parmi les autres animations au programme, on y retrouve une messe historique le 16 juillet, la présentation de la pièce de théâtre « Le joyau de l’arrière-pays, l’histoire unique du Moulin Metgermette » d’Harold Gilbert à la mi-septembre et une activité ludique pour célébrer Noël comme autrefois à la fin de l’année.

Le Vieux Moulin de Metgermette-Nord a été construit en 1873. (Photo L’Éclaireur Progrès – Mathieu Fournier)
L’intérieur comprend notamment uen exposition de constructions miniatures de Pierre Gilbert. (Photo L’Éclaireur Progrès – Mathieu Fournier)
Vieux Moulin de Metgermette-Nord (Photo L’Éclaireur Progrès – Mathieu Fournier)
Exposition de constructions miniatures de Pierre Gilbert. (Photo L’Éclaireur Progrès – Mathieu Fournier)
Vieux Moulin de Metgermette-Nord (Photo L’Éclaireur Progrès – Mathieu Fournier)
Vieux Moulin de Metgermette-Nord (Photo L’Éclaireur Progrès – Mathieu Fournier)

 

Source : Mathieu Fournier, L’Éclaireur Progrès, 28 juin 2023

03 Juil

L’heure du bilan a sonné au CSSBE

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 03 Juil 2023

ÉDUCATION. La dernière séance de conseil d’administration du Centre de services scolaire de la Beauce-Etchemins (CSSBE) s’est tenue le 27 juin dernier et le directeur général Fabien Giguère a profité de l’occasion pour dresser un bilan de cette année scolaire 2022-2023.

Damien Giguère et Miguel Morissette ont paticipé à leur dernière séance du conseil d’administration le 27 juin dernier. (Photo L’Éclaireur Progrès – Mathieu Fournier)

Pour la première fois depuis le début de son mandat, M. Giguère a vécu une année scolaire sans contrainte pandémique. L’année a commencé en force avec l’ouverture attendue de l’école primaire l’Accueil à Scott et pour se terminer avec l’inauguration d’un des projets les plus importants de la région, celui du complexe multisport à Saint-Georges.

« Il s’agit d’une très belle année pour le CSSBE, autant pour ses projets que par notre taux de diplomation et qualification en constante augmentation. On est au-dessus de la moyenne provinciale avec une moyenne de 84,4 %. On est très fier de cette réalisation », mentionne le directeur général.

Quelques chantiers verront le jour ou seront complétés d’ici la fin de l’été pour le CSSBE. C’est entre le cas du début des travaux de la nouvelle piste d’athlétisme près de la Polyvalente Saint-Georges et de la finition de la cure de jeunesse à l’école la Tourterelle à Saint-Benjamin. Les étudiants ont été relocalisés à l’école Notre-Dame de Lac-Etchemin l’année dernière.

Départs

En fin de séance, le conseil d’administration a souligné le départ de quelques membres du CSSBE. Le mandat de trois ans à titre de président du conseil d’administration de Miguel Morissette a pris fin. Le nouveau président sera nommé le 23 août lors de la première séance de l’année scolaire 2023-2024.

« Il a été notre premier président et c’est tout un job à faire, il faut tout structurer. J’ai adoré travailler avec toi, préparer nos rencontres et nos discussions sur différents enjeux. Je pense que tu as réussi tout un défi », mentionne M. Giguère. Ses collègues ont aussi souligné son humour, son sens de l’écoute et du devoir ainsi que son respect envers tous les membres du conseil d’administration.

Parmi les autres départs soulignés, mentionnons celui de Damien Giguère pour la retraite après cinq ans en tant que directeur du Service des ressources matérielles.

Traitement des plaintes

À la suite des nominations de Jean-François Bernier et Caroline Audette à titre de protecteur national et régional de l’élève en mai dernier, le CSSBE devait à son tour désigner un responsable des traitements des plaintes. La personne choisie est la directrice générale adjointe Isabelle Gilbert. Elle occupait déjà ce rôle dans l’ancienne formule depuis déjà plusieurs années et continuera d’être appuyée par Karina Roy, directrice générale adjointe, dans ses fonctions.

Plan d’engagement vers la réussite 2023-2027

Durant la séance, le CSSBE a également adopté le dépôt du Plan d’engagement vers la réussite 2023-2027. Cet outil de planification vise à définir le rôle, la mission, la vision, les valeurs, les enjeux et les orientations que souhaite prendre le CSSBE dans les prochaines années. Ce document d’une vingtaine de pages sera publié et présenté au public en septembre prochain lors d’une conférence de presse.

Fabien Giguère a complété sa deuxième année en tant que directeur général du CSSBE.. (Photo gracieuseté)

Source : Mathieu Fournier, L’Éclaireur Progrès, 28 juin 2023

03 Juil

De l’aide financière fédérale pour trois projets touristiques de Bellechasse-Etchemins

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 03 Juil 2023

L’organisme Développement économique Canada a annoncé de l’aide financière pour trois sites touristiques du comté de Bellechasse, soit la Corporation d’aménagement et de développement du Massif du Sud, le Restaurant Motel au Parasol de Saint-Malachie, ainsi que les Dômes Bellechasse, à Saint-Luc.

Les premiers dômes sont présentement en installation à Saint-Luc selon une récente vidéo publiée sur Facebook par le promoteur Alain Pelletier. (Crédit photo: Alain Pelletier – Facebook)

Du côté du Massif, la somme de 225 000 $ servira à bonifier l’expérience au parc du Massif du Sud par la modernisation de ses infrastructures, avec notamment la construction d’un nouveau stationnement et l’installation de bornes de recharge électriques, en plus de l’augmentation de la capacité électrique du site, l’aménagement de nouveaux sentiers et l’acquisition de vélos de montagne.

Pour ce qui est du Parasol, 100 000 $ aideront à moderniser et à bonifier l’offre d’hébergement de l’entreprise, afin «d’établir Bellechasse comme microdestination touristique»; l’argent servira à la modernisation du motel et l’ajout d’une chambre, l’aménagement d’unités de location à court terme, d’une terrasse, d’une buanderie communautaire, d’un parc de jeux pour enfants et d’un lieu d’entreposage à l’usage des motoneigistes.

Enfin, pour les Dômes Bellechasse, 80 000 $ iront dans l’achat et l’installation de mobilier pour trois dômes quatre saisons, incluant leur bloc sanitaire respectif, qui sont présentement en cours d’installation.

 

Source : Jasmin Blanchette, Passion FM, 30 juin 2023

03 Juil

Autobus scolaires électriques: un défi pour les transporteurs en région

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 03 Juil 2023

SAINTE-JUSTINE. Tout récemment, la députée de Bellechasse Stéphanie Lachance annonçait que le gouvernement du Québec versait des subventions totalisant 375 000 $ à deux transporteurs scolaires de la région pour l’achat de trois autobus scolaires électriques. Deux de ceux-ci devaient être acquis par Autobus Jules Paré & Fils de Honfleur et l’autre par Autobus Lapointe de Sainte-Justine.

Janic Goudreau, Catherine et Normand Lapointe devant le premier autobus scolaire électrique acquis par Autobus Lapointe de Sainte-Justine. (Photo La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

Rencontré récemment à son garage de Sainte-Justine, Normand Lapointe mentionnait que, de fait, c’est une somme de 150 000 $ que son entreprise recevra pour l’acquisition de ce premier autobus électrique qui a été commandé, en début d’année 2022, auprès de la compagnie Lion Électrique de Saint-Jérôme. Celui-ci a été livré au cours du printemps et a officiellement pris la route dans la première semaine de mai.

Deux autres autobus devraient s’ajouter au cours de la prochaine année, le programme gouvernemental prévoyant toutefois que pour ceux-ci, la subvention passera de 150 à 125 000 $ par autobus.

Une obligation

Propriétaire d’une vingtaine d’autobus scolaires, M. Lapointe rappelle que les transporteurs scolaires comme lui n’ont plus le droit, depuis le 1er novembre 2021, d’immatriculer des autobus scolaires neufs à combustion. « Pour le commercial, on a toujours le droit, mais si on veut immatriculer un nouvel autobus scolaire fonctionnant au diesel, il doit être usagé et avoir déjà été immatriculé au Québec, pas dans une autre province », mentionne-t-il.

Le programme gouvernemental actuel, qui s’inscrit dans une volonté d’électrification des transports, est d’une durée de trois ans et prévoit des subventions régressives de 150 000 $, 125 000 $ et 100 000 $ par année pour chaque autobus électrique neuf.

« C’est la même chose qu’avec les automobiles électriques. Ils baissent la subvention graduellement, mais le prix du véhicule continue d’augmenter. Ça va devenir un enjeu pour nous », indique Catherine Lapointe, fille du fondateur et coactionnaire de l’entreprise.

Conjoint de cette dernière et actionnaire, lui aussi, de l’entreprise familiale, Janic Goudreau précise que la durée de vie d’un autobus scolaire au diesel est de 12 ans et qu’en ce sens, ceux-ci disparaîtront complètement des routes québécoises en 2035, année à partir de laquelle l’achat de véhicules neufs à essence sera interdit au Québec.

Beaucoup d’adaptation

Le clan Lapointe mentionne que toutes ces nouvelles règles nécessitent des adaptations de la part des transporteurs scolaires. En plus de se familiariser avec le fonctionnement de tels véhicules, l’installation d’une station complète de recharge électrique derrière le garage actuel sera nécessaire, avec suffisamment de bornes pour charger plusieurs véhicules en même temps dans le futur.

« Actuellement, nous avons une borne portative et on aura éventuellement besoin de 13 bornes juste ici à Sainte-Justine et ça ne comprend pas Saint-Fabien, Sainte-Lucie, Lac-Frontière et Saint-Zacharie, des territoires que nous desservons également. Comment on va s’organiser là-bas quand nous serons rendus là, je ne sais pas », poursuit M. Lapointe en précisant que pour Sainte-Justine seulement, l’aménagement d’un tel système nécessitera des investissements totalisant 600 000 $, somme qui ne comprend pas l’achat d’une parcelle de terrain de 150 pieds de profondeur, derrière le garage actuel, pour la réalisation de ce projet.

« Avec le premier bus et toute cette installation, on frise le million de dollars en investissements. L’installation électrique est subventionnée à 75 %, heureusement, mais en fin de compte y a toujours quelqu’un qui paie pour cela », poursuit le transporteur.

Catherine ajoute que le premier véhicule coûtait 320 000 $. En enlevant la subvention de 150 000 $, ça laisse un investissement de 170 000 $ pour l’entreprise, ce qui est beaucoup plus cher qu’un véhicule fonctionnant au diesel, même une fois la subvention appliquée.

« Un autobus électrique coûte trois fois plus cher qu’un autobus au diesel. On passe de 120 000 $ à 320 000 $ et même 345 000 $ pour le dernier qu’on vient de commander », précise-t-elle.

Impact sur les sorties scolaires dans le futur ?

Avec des batteries n’offrant qu’une autonomie de 140 km pour le moment, Normand et Catherine Lapointe précisent qu’un autre problème pourrait se pointer, à moyen et long termes, si la technologie ne s’améliore pas à ce niveau.

« D’ici les cinq prochaines années, on n’aura pas trop de problèmes, mais par la suite, toutes les sorties parascolaires risquent d’être difficiles ou impossibles à réaliser, notamment à Québec, car c’est à 100 km et plus pour un aller seulement, que ça prend six heures pour charger la batterie d’un autobus et qu’on ne passe jamais six heures au même endroit. Si on va au Village des sports, par exemple, et qu’il y a 30 autobus, y aura-t-il 30 bornes de recharge ? Si celles qui sont sur place sont prises, comment fait-on pour recharger notre autobus ? », s’interroge M. Lapointe qui mentionne donc que toute sortie scolaire qui excèdera l’autonomie du véhicule, ou tout près, sera impossible pour cette raison.

Des véhicules de réserve

Soulignons que l’entreprise possède actuellement quatre véhicules de réserve pour les sorties scolaires qui sont disponibles en dehors des circuits réguliers. « Au prix que seront rendus les véhicules électriques, on ne pourra possiblement pas avoir quatre véhicules comme cela, à 320 000 $ l’unité, pour quelques sorties par année. Ce seront les jeunes qui seront brimés », déplore Catherine Lapointe.

« Sans le savoir, le gouvernement a possiblement tué cette industrie en électrifiant des transports. Dans les grosses villes comme Québec, Montréal, Sherbrooke, Trois-Rivières et autres, il y a 80 pour cent du parc d’autobus qui peut être électrifié sans problème, car tout se trouve dans un rayon assez limité. Ici, ce n’est pas la même chose. Faire deux voyages aller-retour par jour entre Saint-Magloire et Sainte-Justine avec un autobus électrique, ce n’est pas évident. J’ai des autobus qui parcourent 300 km par jour ici et avec 140 km d’autonomie, ça ne sera pas évident non plus », précise M. Lapointe.

Bris de services potentiel

Normand et Catherine Lapointe croient par ailleurs que le jour où le parc d’autobus scolaire sera entièrement électrique, des bris de service pourraient également survenir en cas de panne de courant, surtout la nuit, car les batteries des autobus pourraient ne pas être suffisamment rechargées pour effectuer leur service.

« Ils auraient pu exiger un 25 % du parc d’autobus scolaires fonctionnant à l’électricité au lieu de 100 %. Les élus qui prennent les décisions sont déconnectés de la réalité sur le terrain. Nous sommes un peu déçus de la situation, en général, car on avait un système qui était performant jusqu’ici », poursuit M. Lapointe.

« Ils n’ont pas pensé à construire des autobus hybrides, cela aurait aussi pu être une solution. On a investi 30 000 $ de plus pour ajouter 50 km d’autonomie au troisième autobus qui est en commande. Il y a des gens qui vont devoir payer pour tout cela en fin de compte, car nous demeurons des entreprises privées », rappelle enfin Catherine Lapointe.

 

Normand Lapointe mentionne que la venue des autobus scolaires électriques comporte son lot de défis. (Photo La Voix du Sud – Serge Lamontagne)

 

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 27 juin 2023

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