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Mois : octobre 2019

23 Oct

Un premier roman en carrière pour Audrey Chevalier

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 23 Oct 2019

ÉDITION. Originaire de Québec et résidente de Saint-Magloire depuis six ans, Audrey Chevalier lançait, le dimanche 20 octobre dernier à la Maison du patrimoine de cette localité, son premier roman en carrière.

C’est en présence des membres de sa famille ainsi que de nombreux parents et amis qu’Audrey Chevalier a lancé son premier roman le 20 octobre dernier à la Maison du patrimoine de Saint-Magloire. (Photo : gracieuseté)

Intitulé Anna, la clef de la lumière, il s’agit d’un roman de type fantastique destiné aux jeunes adultes, mais aussi accessible à tous, souligne la mère de trois enfants qui a embrassé la vie d’auteure il y a quatre ans.

Publié aux Éditions GML de Saint-Anselme, Anna, la clef de la lumière raconte l’histoire d’une jeune fille de 17 ans qui connaît peu de choses de la vie, mais dont le désir d’aventures la guidera vers une voie insoupçonnée.

«Anna va avoir un pouvoir qui aura un effet sur son destin. Le tout sera entremêlé d’une malédiction et de créatures qui vont en vouloir à sa vie. Elle devra apprendre à croire en elle et à trouver la vérité parmi les mensonges qui se dresseront devant elle», souligne l’auteure qui prépare déjà une suite à ce roman.

Audrey Chevalier en compagnie de Gisèle Marcoux des Éditions GML.

Désireuse d’explorer d’autres styles littéraires, Audrey Chevaliers souligne qu’elle caresse divers projets dont l’écriture de romans psychologiques, jeunesse et autobiographiques, ainsi que d’un roman policier auquel elle entend s’attaquer en parallèle au tome 2 de son récit fantastique.

Soulignons que 500 exemplaires d’Anna, la clef de la lumière, sont présentement en vente. On peut se le procurer sur les plateformes web d’Archambault et Renaud Bray, sur le site web des Éditions GML. Des librairies indépendantes devraient l’offrir sous peu et Mme Chevalier entend également dénicher, à court terme, quelques points de vente dans la région.

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le 21 octobre 2019

23 Oct

La CSBE dégage un surplus d’un peu plus de 1 M$

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 23 Oct 2019

La Commission scolaire de la Beauce-Etchemin (CSBE) dévoilait le 22 octobre ses états financiers pour l’année 2018-2019. Elle a terminé son année avec un surplus de 1 023 016 $.  

Normand Lessard, le directeur général de la CSBE, est en compagnie du président, Charles-Henri Lecours et de Patrick Beaudoin, directeur du Service des finances. (Photo : L’Éclaireur Progrès – Andréanne Huot)

En date du 30 juin dernier, les revenus de l’année ont été de 230 347 337 $ et les dépenses de 229 324 321 $. L’augmentation du budget par rapport à l’an dernier est de 10,2 M$, soit 4,6 %. Cette hausse est principalement due à l’augmentation de la clientèle étudiante d’environ 200 élèves, de l’indexation des salaires qui découle des conventions collectives provinciales ainsi que des mesures de réinvestissements en éducation.

Du côté des revenus, la principale augmentation vient des subventions de fonctionnement du ministère de l’Éducation. Du côté des charges, on note des hausses du côté de l’enseignement et de la formation et du soutien à l’enseignement et à la formation, soit l’ajout de professionnels comme des orthophonistes ou des psychologues.

Le surplus d’un peu plus de 1 M$ représente 0,44 % du budget annuel de la CSBE. Ce dernier a été ajouté au surplus accumulé de la commission scolaire qui est maintenant de 18 999 654 $. Si l’on enlève la valeur des terrains et celle des provisions pour les avantages sociaux futurs des employés, il ne reste que 2 798 837 $, soit 1,22 % du budget. Par ailleurs, la CSBE ne peut utiliser que 15 % de ce montant selon les règles ministérielles. «Comme vous pouvez le voir, on n’a pas beaucoup de jeu», souligne le directeur du Service des finances, Patrick Beaudoin.

Comme lors du dévoilement du budget en juin dernier, le président de la CSBE, Charles-Henri Lecours, a de nouveau salué le réinvestissement gouvernemental en éducation. Il ajoute que la CSBE a un taux de diplomation de 81,99 % ce qui lui permet de prendre le premier rang des commissions scolaires francophones à ce chapitre.

Finalement, M. Lecours a ajouté que la CSBE fait un usage responsable des deniers publics puisque les frais administratifs ne représentent que 3,7 % sur l’ensemble du budget.

Investissements dans les immeubles

Lors du dernier été, la CSBE a investi 12 756 532 $ dans ses bâtiments pour un total de 110 projets. Parmi ceux-ci, notons la réfection de la toiture de la Polyvalente de Saint-Georges pour près de 250 000 $, le remplacement de la fenestration et des blocs sanitaires à l’école Jouvence de Sainte-Aurélie (près de 1,1 M$) et à l’école le Tremplin de Saint-Victor (près de 2 M$) et la réfection du stationnement de la Polyvalente Benoît-Vachon pour près de 500 000 $.

L’an prochain seront refaits, les stationnements de la polyvalente Bélanger de Saint-Martin (1,75 M$), le remplacement de la fenestration et des blocs sanitaires de l’école Saints-Anges (1,36 M$) et le remplacement des systèmes de réchauffe de la polyvalente des Abénaquis de Saint-Prosper (1,5 M$). Au total, les projets prévus pour la prochaine année représentent 15,8 M$.

 

Source: Andréanne Huot, L’Éclaireur Progrès, le 22 octobre 2019

23 Oct

Une 7e position pour Simon Leblanc au Championnat du monde d’Ironman

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 23 Oct 2019

L’athlète de Saint-Prosper, Simon Leblanc, a terminé au septième rang de sa catégorie lors du Championnat du monde d’Ironman, qui a eu lieu à Kailua-Kona, à Hawaï, le 12 octobre dernier.

Simon Leblanc a terminé au septième rang chez les 25 à 29 ans au Championnat du monde d’Ironman.

Il a complété le parcours en 9h10:02. Ce temps lui permet également de figurer au deuxième rang chez les Canadiens, toutes catégories confondues et en première place chez les représentants de l’Unifolié âgés de 25 à 29 ans.

Son chronomètre lui permet également de figurer parmi les 100 premiers du classement général, alors que l’on retrouve son nom au 99e échelon sur les 2267 participants à avoir complété l’épreuve.

«C’est une expérience inoubliable, une véritable semaine de rêve. J’avais le sentiment du devoir accompli», s’exclame-t-il.

Le Prospérien se sentait beaucoup plus léger lorsqu’il a traversé le fil d’arrivée. «C’est comme si on m’avait enlevé un sac de 200 livres sur mes épaules. Je me disais: “C’est fait. J’ai réussi la plus dure compétition au monde et j’ai bien performé”», mentionne celui qui a déjà hâte de recommencer.

Des conditions extrêmes

«C’était toute une expérience. C’est l’une des compétitions les plus difficiles, tant mentalement que physiquement. Ce n’est pas pour rien que ce sont le Championnat du monde. On retrouve les meilleurs et les conditions sont extrêmes», commente-t-il.

Celui-ci explique que le climat d’Hawaï est très humide et qu’il faisait environ 35°C le jour de la compétition. Il devait redoubler de vigilance pour ne pas se déshydrater.

«La température de l’eau était très chaude, environ 80°F, et il fallait composer avec les coups que l’on recevait des autres compétiteurs. Il y avait des vents de 50 à 60 km/h lors de l’épreuve de vélo, tant latéraux que de face. La portion la plus difficile était toutefois la course à pied. Je me sentais comme dans un four pendant que je traversais les champs de lave. C’était brutal», décrit-il.

Chez les professionnels ?

Simon Leblanc ne sait pas encore s’il fera le saut chez les professionnels dès l’an prochain. Il faut dire qu’il devra évoluer chez les 30 à 34 ans lors de la saison 2020, une catégorie très relevée selon lui. Il envisage de faire une autre année chez les amateurs pour s’habituer à ce changement.

 

Source: Sébastien Roy, L’Éclaireur Progrès, le 20 octobre 2019

17 Oct

La famille la plus forte du monde ou l’histoire oubliée des frères Baillargeon

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 17 Oct 2019

Tirer un autobus avec ses dents, soulever un cheval ou un poids de 145 kg (320 lb) à un doigt… Leur force a frappé l’imaginaire et les a menés aux quatre coins du globe. Retour dans le temps dans l’univers des frères Baillargeon, jadis la famille la plus forte du monde.

À 350 kilomètres de Montréal se niche le petit village de Saint-Magloire, dans la région de Chaudière-Appalaches. Un havre de paix de 725 habitants. En face de l’église, la fenêtre d’une vieille maison ancestrale est recouverte d’une affiche où l’on voit six hommes forts qui posent fièrement. Il s’agit des frères Baillargeon : Jean, Charles, Adrien, Lionel, Paul et Antonio.

Réjean Lévesque nous invite à entrer pour découvrir ce musée. Ses premiers mots sont sans équivoque : « Jusqu’à preuve du contraire, c’est la famille la plus forte du monde. »

Dans les années 1900, ces frères dotés d’une force herculéenne vont frapper l’imaginaire. Ancien policier à la Ville de Québec, Réjean Lévesque les a bien connus et a décidé d’écrire un livre, Hommage aux célèbres frères Baillargeon, pour qu’ils ne tombent pas dans l’oubli.

C’est une famille vraiment spéciale. Six frères qui sont forts et qui ont accepté de faire des tours de force ensemble un peu partout en Amérique avant d’aller dans le domaine de la lutte. Quand ils faisaient des démonstrations dans les paroisses, les six frères étaient là, en rangée, comme des soldats. Pis là, ils invitaient le monde à essayer leurs poids pour montrer que ce n’était pas du marshmallow. Quand ils mettaient 400 livres, c’était vraiment 400 livres. Ils n’ont jamais été battus.

Réjean Lévesque, auteur d’Hommage aux célèbres frères Baillargeon

La porte du Musée des Frères Baillargeon s’ouvre et un petit colosse s’avance vers nous le sourire aux lèvres. En lui serrant la main, on découvre immédiatement un air de famille. C’est Guy, le fils de Lionel.

« La particularité de mon père, c’était son agilité, explique-t-il. Il était moins gros que les autres, mais plus élancé. Il sautait sur les câbles. Il pouvait prendre un ciseau de tête même si le gars mesurait 6 pieds 2. Il sautait assez haut pour le virer à l’envers juste avec le bout de ses pieds. Mon oncle Adrien, lui, sa spécialité, c’était une planche avec 18 personnes dessus […] Mon oncle Jean, il soulevait 320 livres avec son petit doigt. La force énorme qu’il avait! Pis il y avait mon oncle Charles. Lui, c’était le tirage de l’autobus avec ses dents. Mon oncle Paul, lui, soulevait un cheval dans les poteaux. »

Pour soulever le cheval, Paul Baillargeon devait grimper tout en haut d’un poteau de téléphone. Il plaçait le cheval de plus de 400 kg (880 lb) dans une caisse de bois et il soulevait le tout.

Une homme soulève avec son dos des gens installés sur une planche

Adrien Baillargeon soulève 18 personnes avec une plance

PHOTO : RADIO-CANADA

 

À 98 ans, Lionel Laverdière se souvient très bien de ce tour de force, car c’était son cheval qui était soulevé. Tiré à quatre épingles, le nonagénaire se souvient des exploits des six frères comme si c’était hier. Il a été témoin de leur force spectaculaire.

J’étais avec eux dans le bois et j’ai vu des choses extraordinaires, se souvient-il. À l’époque, il n’y avait pas de machinerie comme aujourd’hui. Les machines, c’étaient eux! Il fallait les voir transporter à mains nues les billots de bois comme si c’était des allumettes.

Lionel Laverdière

L’héritage d’une mère

Dans la petite maison qui renferme les plus beaux objets des Baillargeon, il y a une photo d’une femme au physique imposant. C’est Maria, la maman. Réjean Lévesque confirme que la génétique des six frères venait de cette femme.

« Leur mère, c’est quelqu’un qui pesait pas loin de 300 livres, elle était vraiment forte », raconte-t-il.

Pendant que le biographe nous parle des exploits des six frères, comme l’épisode de 1961 où Jean, l’aîné, a déchiré le bottin téléphonique de la ville de New York, une petite femme d’au moins 70 ans entre à son tour dans la pièce. C’est Aurore Guillemette-Ménard, l’amie de Maria, la mère Baillargeon.

C’était une grosse madame, pis elle était imposante, dit-elle. Elle devait avoir de l’autorité à part de ça. Elle enseignait. Et quand il y avait des classes difficiles, on allait chercher Mme Baillargeon pour mettre de l’ordre dans la classe.

Aurore Guillemette-Ménard
Sept femmes dans une photo en noir et blanc

Maria Baillargeon (en bas, deuxième à partir de la gauche)

Des Globe-trotteurs

Aurore Guillemette-Ménard a vu grandir les frères Baillargeon. Selon elle, ils n’étaient pas destinés à faire le tour du monde.

« C’était avec leur force qu’ils travaillaient, eux autres. Mais ils ne savaient pas qu’ils étaient forts. Ce sont les autres qui leur disaient qu’ils étaient extraordinaires. Jean, il a levé un char et il l’a tassé parce qu’il avait fait un flat. Pendant qu’il soulevait le char, un autre frère changeait le pneu. Ils aidaient les gens avec leur force, mais personne ne savait qu’ils allaient devenir des hommes forts. »

« Eux autres, ils n’avaient pas besoin de s’entraîner dans les gymnases, ajoute Réjean Lévesque […] Pourquoi c’est la famille la plus forte du monde? Il y a sûrement des personnes dans le monde qui sont fortes. Mais six frères d’une même famille avec toute une musculature et qui ont accepté ensemble de faire des tours de force, je n’ai jamais vu ça.

« Il faut dire que leurs tours de force et leur aptitude à la lutte vont emmener les six frères aux quatre coins de la planète. Imaginez, il y en a même un qui va devenir champion du Japon. Quand ils sont arrivés là-bas, tout le monde voulait les toucher, car avec leur grandeur et leur imposante musculature, ils avaient l’air d’extra-terrestres. »

Nous aurions pu rester plusieurs jours à écouter les exploits de cette incroyable famille, car tout ce beau monde était intarissable. Au fur et à mesure qu’un souvenir remontait à la surface, c’était comme une surenchère entre les témoins. Une sorte d’encan de l’histoire Baillargeon.

La maison ancestrale renferme tous les souvenirs de cette famille exceptionnelle. Un héritage inestimable réuni par un groupe de bénévoles qui ne veulent surtout pas qu’on oublie les frères Baillargeon.

 

Source: Robert Frosi, Radio-Canada, le 16 octobre 2019

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