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Mois : décembre 2018

19 Déc

Publicités sur Facebook: des consommateurs de la région floués

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 19 Déc 2018

FRAUDE. L’Association des coopératives d’économie familiale (ACEF) Appalaches-Beauce-Etchemins invite la population à faire preuve de prudence devant certaines entreprises de rénovation qui mènent des campagnes de sollicitations frauduleuses sur les réseaux sociaux.

L’ACEF Appalaches-Beauce-Etchemins invite la population à faire preuve de prudence devant des publicités de ce type.

Au cours des dernières semaines, plusieurs consommateurs des Etchemins et de la Nouvelle-Beauce auraient été floués par des entreprises malveillantes après avoir vu des publicités en ligne.

Ces consommateurs auraient reçu la visite d’entrepreneurs qui, à des prix exagérés, proposaient l’isolation de leur entretoit. Tous avaient été attirés par une annonce sur Facebook.

Ces annonces proposaient une inspection de votre entretoit gratuitement, ou encore des concours vous permettant de «gagner votre isolation avant l’hiver». Les fraudeurs ne se gênent pas, dans leurs publicités, pour faire référence au crédit d’impôt RÉNOVERT du gouvernement du Québec et certaines entreprises vont même jusqu’à s’en approprier le nom !

Tout comme pour les publicités de thermopompes dans le passé, le vendeur ou inspecteur prétend que le niveau de contamination de l’entretoit est si important que cela met en péril la santé des occupants ou met à risque toute la charpente de la maison. Il répète ensuite, de façon insistante, que les consommateurs doivent agir au plus vite et surtout signer un contrat. Les travaux sont souvent effectués le lendemain.

Directeur à l’ACEF Appalaches-Beauce-Etchemins, François Décary souligne que Facebook ne fait aucune vérification quant à l’honnêteté des entreprises qui publient sur leur populaire site et qu’en cas de doute, la population est invitée à communiquer avec l’ACEF de sa région pour s’informer sur les éventuels recours.

M. Décary rappelle aux consommateurs qu’ils peuvent annuler une vente faite en porte à porte dans un délai de 10 jours, sans conséquence, même si les travaux sont déjà effectués. Au-delà de ce délai, d’autres recours existent pour lesquels ils peuvent être accompagnés.

Quelques conseils avant de signer un contrat

– Commencez par vérifier si le vendeur détient un permis délivré par l’Office de la protection du consommateur valide et vérifiez si ce commerçant a des plaintes à son dossier

– Assurez-vous que le commerçant a aussi un numéro RBQ

– Demandez des références de clients satisfaits dans le quartier et allez les visiter

– Privilégiez des entreprises locales qui ont pignon sur rue depuis plus de 5 ans

– Méfiez-vous des promesses d’économie importantes, elles risquent d’être fausses

– Faites preuve de jugement et prenez le temps de réfléchir avant de vous engager dans un contrat

– Méfiez-vous des tactiques de vente et n’hésitez pas à comparer les prix

– N’hésitez pas à porter plainte à l’Office de la protection du consommateur

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le mardi 18 décembre 2018

19 Déc

Dix-neuf projets touristiques soutenus en Chaudière-Appalaches

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 19 Déc 2018

TOURISME. Tourisme Chaudière-Appalaches indique que 19 projets bénéficieront d’une aide financière et permettront un investissement global de plus de 19 M $ dans la région.

L’Éco-Parc des Etchemins fait partie des projets retenus

Du nombre, l’Éco-Parc des Etchemins de même que Cassis et Mélisse de Saint-Damien recevront leur part tout comme Chalet et Pourvoirie Daaquam à Saint-Just, ainsi que Frampton Brasse et le Miller Zoo à Frampton pour ne nommer que ceux-là.

Le but et les objectifs du programme sont de soutenir et stimuler le développement, le renouvellement et la structuration de l’offre touristique de la région Chaudière-Appalaches. Les projets soutenus doivent favoriser le développement d’une offre touristique originale, complémentaire, respectueuse du développement durable, tout comme stimuler la création d’emplois, l’augmentation du nombre de visiteurs et l’accroissement des recettes touristiques.

Dans la première vague de projets de 2018, on dénombre ainsi 14 dépôts de festivals et événements, 31 dépôts d’attraits, activités et équipements et 4 dépôts d’études pour un total de 49 demandes d’aide financière. La deuxième vague d’appel de projet est en cours jusqu’au 7 janvier 2019.

Tableau des projets retenus

  Entreprise Secteur Projet Coût du projet Aide accordée
Grand Prix Cycliste de Beauce Beauce-Sartigan Édition 2018 de l’événement ou festival 255 000 $ 5 000  $
Corporation Éco-Parc des Etchemins Les Etchemins Aménagement d’une structure de jeux aquatiques avec thématique 997 500 $ 35 000 $
Miller zoo Nouvelle-Beauce Construction d’infrastructures pour abriter les animaux exotiques et pour améliorer les services offerts 997 877 $ 35 000  $
Cassis et Mélisse Bellechasse Projet d’implantation d’un Économusée de la Fromagerie Fermière chez Cassis et Mélisse 138 230 $ 23 500  $
Chalet, Villégiature et Pourvoirie Daaquam Montmagny Ajout de produit équestre, amélioration de l’expérience touristique 50 000 $ 10 000 $
Frampton Brasse Nouvelle-Beauce Implantation d’un économusée sur la fabrication de la bière et sur les différentes méthodes de brassage 149 750 $ 10 000 $

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le mardi 18 décembre 2018

19 Déc

Les efforts pour retrouver Claude Bégin toujours présents

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 19 Déc 2018

RECHERCHÉ. Même si cela fait 23 ans qu’il est porté disparu, la famille de Claude Bégin de Lac-Etchemin espère toujours retrouver son corps, afin de lui offrir une sépulture décente et de pouvoir, enfin, faire son deuil de façon convenable.

Élaine et Sylvie Bégin entourées de Stéphane Luce, fondateur de l’organisme Meurtres et Disparitions Irrésolus du Québec devant l’affiche de Claude Bégin. À leur gauche, celle d’Alexandre Fortin de Saint-Georges.

Pour ce faire, la famille de Claude, ses sœurs Élaine et Sylvie en tête, comptent sur l’appui d’un nouvel allié, l’organisme Meurtres et Disparitions Irrésolus du Québec (MDIQ). Fondé en mars 2017, cet organisme a pour objectif de donner une voix et, surtout, une visibilité aux victimes.

Le lundi 17 décembre, MDIQ lançait une nouvelle campagne d’affichage chez Transport Gilmyr de Montmagny. Avec l’accord du transporteur, des affiches géantes de plusieurs victimes, dont Claude Bégin, ont été apposées sur les portes arrière de plusieurs semi-remorques qui circulent sur différentes routes du Québec.

Déjà membre de l’Association des familles de personnes assassinées ou disparues fondée du Sénateur Pierre-Hugues Boisvenu, Élaine Bégin souligne que ce nouveau développement, avec MDIQ, est très positif pour la famille. «Stéphane Luce (le fondateur de MDIQ) m’a invitée à aimer sa page Facebook et quand j’ai vu ce qu’il faisait, je lui envoyé une photo de Claude, qu’il a publicisée pendant un bon bout de temps», mentionne-t-elle d’emblée.

Quant au projet d’affichage, Élaine Bégin le voit de façon très positive. «Cette initiative est la bienvenue. On s’entend qu’il ne se passe plus rien dans l’enquête policière, 23 ans plus tard. Ce qu’on veut, c’est retrouver Claude. Savoir qui a fait quoi et dans quel contexte, cela ne nous intéresse pas, même si on ne sait pas vraiment ce qui est arrivé. Ce qu’on veut, c’est de retrouver son corps et faire notre deuil. Aller au cimetière et voir une pierre tombale avec son nom dessus, tout en sachant qu’il n’est pas là, ce n’est pas évident.»

La nouvelle avait également fait les manchettes lors du 20e anniversaire de sa disparition. https://www.lavoixdusud.com/faits-divers/20-ans-dincertitude-pour-une-famille/

Élaine et Sylvie Bégin devant l’affiche de leur frère, apposée sur la porte arrière d’un camion semi-remorque de l’entreprise Transport Gilmyr de Montmagny.

Mouvement provincial

C’est en février 2018 que le programme d’affichage de MDIQ a été lancé. Avec l’ajout des nouvelles affiches sur les camions de Transport Gilmyr, ce sont en tout 145 photos, présentant 25 victimes différentes, qui circulent sur les semi-remorques de cinq transporteurs partout en province qui participent gracieusement à ce projet.

«En publiant ces photos, nous espérons que le public pourra fournir de nouveaux renseignements qui aideront à relancer des enquêtes, qui permettront aux familles de retrouver la personne disparue ou qui aideront à faire condamner des meurtriers», indique le fondateur de MDIQ.

Affiche de Claude Bégin, apposée à l’arrière d’un camion semi-remorque de Transport Gilmyr de Montmagny.

En plus de Claude Bégin, cette nouvelle vague d’affichage avec Transport Gilmyr mettra en évidence cinq nouveaux cas dont celui d’Alexandre Fortin de Saint-Georges, qui a disparu en 2002.

Soulignons que ces affiches ont une superficie de 30 pouces de largeur par 36 pouces de hauteur. Outre la photo de la victime, on y retrouve divers renseignements comme l’endroit où l’événement (meurtre ou disparition) a eu lieu, la date de l’événement ainsi qu’une phrase personnalisée, choisie par la famille, qui montre «que c’est la victime qui s’adresse à la population.»

Stéphane Luce indique que son organisme, qui ne roule pas sur l’or, vit principalement de dons et de contributions diverses venant du public et d’entreprises. «Plusieurs familles sont en attente. On y va lentement, mais sûrement, selon le budget dont nous disposons.»

Les personnes et familles intéressées par la mission et les services offerts par MDIQ sont invités à communiqué avec M. Luce par le biais de la page Facebook de l’organisme. Il en va de même par les transporteurs intéressés à fournir une visibilité aux victimes.

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le mardi 18 décembre 2018

19 Déc

Immigration: Rotobec souhaite une réduction des délais

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 19 Déc 2018

EMPLOI. Si les gouvernements souhaitent aider les entreprises qui se tournent vers l’immigration en réduisant de façon significative les délais permettant la venue de aux travailleurs immigrants de venir s’établir au Québec et d’ainsi contribuer au développement de son économie.

Robert Bouchard, PDG de Rotobec, est d’avis qu’une réduction sensible des délais de traitement des dossiers pour les travailleurs immigrants serait profitable pour l’ensemble des entreprises de la région.

C’est ce que mentionne le président-directeur général de Rotobec, Robert Bouchard, dont l’entreprise entend ajouter une soixantaine de ces travailleurs immigrants en 2019.

M. Bouchard souligne que l’entreprise, basée à Sainte-Justine, a toujours le vent dans les voiles. «Au cours de la dernière année, on a embauché 60 personnes à Sainte-Justine alors que du côté de Rotobec USA, on a créé une dizaine de postes et ce nombre devrait augmenter.»

Le dirigeant ajoute que le transfert de certaines activités vers Rotobec USA n’a eu aucun effet sur l’usine de Sainte-Justine, bien au contraire. «Il n’y a pas de projets qui ont été annulés à Sainte-Justine à cause de cela. On a tellement d’ouvrage et de produits à faire ici, que l’on manque de personnel.»

M. Bouchard ajoute qu’aux 60 nouveaux travailleurs issus de l’immigration prévus à Sainte-Justine en 2019 s’ajouteront assurément des travailleurs de la région qui seront recrutés. «Pour les immigrants, tu dois prévoir au moins 10 mois pour passer à travers les démarches et les délais. On a mené deux missions en Colombie et au Costa Rica où nous avons déjà recruté une quarantaine de personnes.»

Le PDG de Rotobec est d’avis que les problèmes de délais proviennent autant du provincial que du fédéral. «Quand tu essaies d’en savoir davantage, ils se lancent la balle. Ce qu’on demande aux gouvernements, c’est d’aider nos entreprises dans leurs efforts de recrutement. On ne veut pas de subventions. Les personnes que l’on choisit répondent à tous les critères. Elles n’ont pas de dossiers criminels, elles ont fait des études et ont des familles qui vont s’établir ici par la suite.»

M. Bouchard rappelle que pour une entreprise comme Rotobec, il en coûte 5 000 $ pour chaque employé immigrant qui est recruté. «On fait affaire avec une agence externe qui nous représente sur place. Ils se déplacent pour nous et organisent des cours à distance avec les équipements nécessaires. Une préentrevue est organisée avant qu’on ne se rende sur place. Il y a aussi tout un lot de paperasse à remplir», poursuit le dirigeant qui mentionne qu’un processus bien établi doit être respecté afin d’accueillir ces travailleurs et les intégrer.

Quant à la décision du nouveau gouvernement caquiste de réduire les seuils d’immigration, le dirigeant se montre prudent. «Je m’en tiens aux préoccupations de Rotobec. S’ils veulent réduire le nombre d’immigrants et que cela permet de réduire les délais de traitement des demandes pour les travailleurs immigrants, je suis pour, mais il faut que ça permette d’accélérer le recrutement.»

Robert Bouchard rappelle également que les réalités changent d’une entreprise ou d’une région à l’autre. «Ici, ils sont bien intégrés à notre réalité et ça va bien dans l’usine. Nous avons des chefs d’équipes costaricains et colombiens et peut-être que certains d’entre eux deviendront éventuellement contremaîtres, ce n’est qu’une question de temps. L’apprentissage du français va bien aussi. Les gens sont sérieux et veulent l’apprendre.»

Formation professionnelle

Toujours selon Robert Bouchard, pour 20 postes comblés par des Québécois, l’entreprise doit embaucher 60 travailleurs immigrants. «On manque de jeunes intéressés par la formation professionnelle. On a reçu la visite d’une quinzaine de jeunes du CIMIC il y a peu de temps. C’était un beau groupe composé d’une quinzaine de jeunes, mais cela fait longtemps qu’il n’y en a pas eu autant.»

Le PDG rappelle toutefois que les besoins sont grands partout en Beauce-Etchemins. «Quinze jeunes en usinage, c’est le fun, mais je pourrais en embaucher une dizaine par moi-même. Ce n’est pas suffisant.»

M. Bouchard mentionne que l’entreprise fait ce qu’elle peut pour embaucher des jeunes issus des différents centres de formation professionnelle de la région. «On disait la même chose de la formation professionnelle il y a 20 ans. Il n’y a pas assez de jeunes intéressés par ces métiers qui, soit dit en passant, sont de bons métiers, bien rémunérés et offrant de bonnes conditions de travail et une stabilité d’emploi. Il y aura toujours du travail pour les bons machinistes, les bons soudeurs et les bons mécaniciens.»

 

Source: Serge Lamontagne, La Voix du Sud, le mardi 18 décembre 2018

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