PUBLIREPORTAGE. Organisme solidement implanté dans le milieu etcheminois, Parentaime Maison de la famille des Etchemins célèbre ses 25 années d’existence en 2023.

Josée Panneton, directrice générale, ainsi que Marie-Ève Veilleux-Venables, présidente de Parentaine Maison de la famille des Etchemins (Photo : gracieuseté)

Que de chemin parcouru depuis 1998 alors qu’un petit groupe de personnes, ayant pour objectif d’améliorer la qualité de vie des familles etcheminoises, fondait l’organisme qui avait d’abord pignon au 201, rue Claude-Bilodeau à Lac-Etchemin, soit l’ancien CLSC.

C’est en 2015 que la direction de Parentaime prenait la décision de déménager dans ses locaux actuels, au 319, rue du Sanatorium, voisin du Centre de santé des Etchemins.

« Nos anciens locaux étaient devenus trop exigus et ne nous permettaient pas d’accueillir les familles de façon adéquate. On a travaillé avec des gens du centre de santé pour louer le local actuel auquel nous avons apporté des modifications, ce qui permettait aux mamans avec leurs poussettes de venir chez nous. On a créé plein de services, à commencer par la halte-garderie », précise la directrice générale Josée Panneton en ajoutant que celui-ci est maintenant offert de 3 à 5 jours par semaine dans les deux points de service (Lac-Etchemin et Saint-Prosper), tellement la demande est grande !

Soulignons que depuis sa création en 1998, Parentaime, Maison de la famille des Etchemins, a pour mission d’accompagner les parents et de les soutenir dans leur rôle parental, en plus de voir au bon développement des enfants 0-5 ans. Cette mission s’est développée au fil des ans pour atteindre l’ensemble des 0-17 ans, l’organisme ayant notamment ajouté une clinique pédiatrique à ses services.

Les artisanes du départ

Parentaime a vu le jour grâce à un petit groupe d’artisanes pour qui la famille, surtout les enfants, était primordiale. Parmi celles-ci, notons Claudette Morin, Odette Bouchard, Lorraine de Champlain, Brigitte Larochelle, Linda Leblond et Suzie Lamontagne, requérantes, ainsi que Gina Gagné qui a joint Linda Leblond, Claudette Morin et Odette Bouchard sur le conseil d’administration provisoire. C’est aussi le cas de la première équipe composée de Germaine Lessard, coordonnatrice puis directrice générale de 1998 à 2013, Claude Quirion, adjoint administratif.

Équipe stable

Si Parentaime est solidement implanté dans la MRC des Etchemins depuis 25 ans, c’est notamment en raison de la stabilité de son personnel et de ses équipes de bénévoles, croit Josée Panneton qui est directrice générale depuis 10 ans. « Nos bénévoles demeurent souvent pendant deux, quatre ou même six ans sur le conseil d’administration. Il en va de même pour bénévoles à la friperie, par exemple. Il y a souvent des gens qui organisent des activités en plus que celles qui sont déjà à l’horaire », indique Mme Panneton.

Parentaime emploie actuellement 14 personnes, dont quatre sont à temps plein. En tout, ce sont près d’une cinquantaine d’employées qui ont œuvré à la Maison de la famille etcheminoise depuis sa fondation il y a 25 ans. « On a des employées qui sont ici depuis 22, 24 et même 25 ans. Ce sont des gens de cœur qui travaillent pour l’organisme et les familles, qui croient en sa mission et en ses valeurs », fait également valoir Mme Panneton en rappelant que les deux employées avec le plus d’ancienneté sont Louise Gilbert (1999) et Linda Henri (2002).

Point de service de Saint-Prosper

Après le déménagement dans les locaux de la rue du Sanatorium, en 2015, Parentaime ouvrait un point de service sur la 20^e Avenue à Saint-Prosper en 2017. « Chaque fois qu’on tenait des activités dans ce secteur de la MRC, il y avait toujours une grande réponse. On louait l’ancien aréna, à raison d’une fois par semaine, puis peu avant l’incendie, on a ouvert le point de service où l’on retrouve une halte-garderie et une salle de rencontres pour les parents », précise Mme Panneton.

« Dès qu’une situation concernant la famille se pointe, on se réfère à nous. Lors de notre dernière planification stratégique en 2015, on se projetait dans le temps et ce qu’on voulait, c’était de devenir la référence en matière de questions familiales dans Les Etchemins. »

Source : Serge Lamontagne, La Voix du Sud, 16 mars 2023