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Auteur/autrice : CJE Etchemins

14 Avr

La Caisse Desjardins et la MRC des Etchemins officialisent leur déménagement

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 14 Avr 2020

TRANSACTION. Des démarches importantes sont franchies dans l’éventuel déménagement des bureaux de la MRC des Etchemins dans les locaux de la Caisse des Etchemins, situés au cœur du village à Lac-Etchemin.

Le siège social de la Caisse Desjardins des Etchemins quittera la 2e Avenue, à Lac-Etchemin pour s’installer sur la route 277.

(Photo : La Voix du Sud – Archives)

Des résolutions en ce sens ont été adoptées mercredi dernier par les élus de la MRC, dans le cadre de la rencontre mensuelle des maires qui s’est exceptionnellement tenue à huis clos en raison de la pandémie entourant le COVID-19. La MRC confirme également la vente de son bâtiment du secteur de la Station à la Société québécoise des investissements (SQI).

«Il ne reste qu’à officialiser le tout chez les notaires» confirme le préfet de la MRC des Etchemins, Richard Couët. «Ce sont deux transactions importantes qui font avancer les choses.»

Le directeur de la Caisse Desjardins des Etchemins, Pierre St-Marseille, confirme également la transaction et que la Caisse se dirige vers l’édifice Quatro, face au Marché Métro sur la route 277. «Nous nous sommes entendus sur toutes les conditions. Nous avons même signé un bail avec la MRC puisque nous deviendrons locataires, le temps de déménager dans nos nouveaux locaux.»

Autre point positif selon M. Couët, la transaction entre la MRC et la Caisse Desjardins ne cause aucune perte en termes d’activité pour la localité. «Desjardins s’est porté en bon citoyen corporatif. Nous allons occuper l’édifice de la caisse, alors il y aura encore de l’activité économique au cœur du village. Notre édifice actuel va continuer d’être occupé par la SQI et la caisse occupera aussi des locaux existants. C’est intéressant.»

Pierre St-Marseille est du même avis, surtout que l’ensemble de la démarche implique plusieurs joueurs. «Il n’y a pas de nouveaux bâtiments et on conserve une vitalité économique dans la partie village. C’est tout de même une transaction avec quatre partenaires et tout le monde y gagne quelque part. Tout le monde a accepté des clauses pour offrir de la flexibilité aux autres avec la situation actuelle.»

Avant la fin de l’année ?

Il ajoute que la transaction ne remet pas en question la prestation de services actuellement offerte aux membres de la Caisse Desjardins des Etchemins. Le guichet automatique au cœur du village va demeurer. «Le guichet permettra non seulement les retraits, mais aussi les dépôts. C’était une volonté de la MRC, mais aussi de notre conseil d’administration.»

Il est difficile pour les deux intervenants d’avancer un échéancier sur l’éventuel déménagement des deux entités dans leurs nouveaux locaux en raison de la situation actuelle. «En principe, ce devrait être d’ici la fin de l’année pour la Caisse Desjardins et au début de l’année prochaine pour nous, mais avec ce qui se passe, faudra voir les décisions qui seront prises pour le domaine de la construction», explique Richard Couët.

Entretemps, un déménagement de la succursale à Sainte-Justine dans l’édifice Coop est toujours en négociation. Pierre St-Marseille rappelle que la Caisse des Etchemins a procédé à la vente de ses bâtiments à Saint-Camille et Saint-Luc en novembre dernier. L’institution financière y conserve toutefois des services aux clients ayant signé des baux à cet effet. Quelques heures de services comptoirs sont toujours offertes à Sainte-Sabine, Sainte-Rose et Saint-Cyprien. À Saint-Just et Saint-Magloire, les comptoirs dédiés aux services ont été remplacés par des guichets automatiques. La rareté de la main-d’œuvre pourrait bousculer l’agenda des services offerts.

«Nous conservons des bureaux dans chacune des localités pour y donner du service-conseil. Si les membres ont besoin que l’on se déplace, nous avons toujours cette opportunité», ajoute M. St-Marseille en terminant.

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le 13 avril 2020

14 Avr

La limitation des déplacements va se poursuivre

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 14 Avr 2020

TRANSPORT. La Direction de santé publique du CISSS Chaudière-Appalaches a l’intention de poursuivre la démarche visant à limiter les déplacements partout sur son territoire et ce, même si le week-end de Pâques est maintenant derrière nous.

Des contrôles aléatoires sur les routes de la région sont encore à prévoir. (Photo : gracieuseté)

Les MRC de Bellechasse, Montmagny et L’Islet font l’objet d’une ordonnance de limitations des déplacements depuis la semaine dernière, chose qui n’a pas été retenue pour Les Etchemins, la Beauce et la région des Appalaches pour le moment. Des contrôles policiers sont toutefois effectués partout sur le territoire malgré tout.

«Ce n’est pas parce que le week-end de Pâques est maintenant passé que les contrôles vont cesser sur les routes de la région», prévient Liliana Romero, directrice de la santé publique en Chaudière-Appalaches.

Mme Romero est à la tête de la Direction de depuis quelques semaines à peine, ayant succédé au Dr Philippe Lessard le 29 mars dernier. Elle était auparavant chef de l’équipe responsable des maladies infectieuses au CISSS. «J’étais très proche de l’action et des opérations, alors ce sont des situations que je connais bien. Il est certain que de travailler dans un contexte de pandémie n’est pas facile toutefois.»

Sur la décision de confiner certaines MRC et de ne pas l’imposer pour d’autres, Mme Romero explique qu’on ne peut imposer des limites partout, même si tout le territoire de Chaudière-Appalaches est considéré comme ayant une transmission communautaire. «Même s’il n’y a pas de cas de diagnostiqué, comme dans Les Etchemins, il ne faut pas avoir l’assurance qu’il n’y a pas de transmission dans la communauté. Les mesures actuelles semblent suffire pour le moment», ajoute-t-elle.

Après avoir analysé la situation, il était donc pertinent de le faire pour Bellechasse et l’Est du territoire. «Lorsque l’on analyse l’épidémiologie d’un territoire, on regarde plein de choses, particulièrement le nombre de cas, la population et l’évolution quotidienne du territoire concerné et ce qui se passe autour. Ensuite, nous regardons la faisabilité thermique qui se fait en collaboration avec le ministère des Transports, la Sûreté du Québec ou autres. On regarde si cela est faisable d’avoir des points de contrôle et quelle est la meilleure option.»

Pas nécessaire en Beauce et Les Etchemins

Relativement à la Beauce, Mme Romero indique que l’on avait déjà décelé une transmission soutenue au niveau communautaire. «Généralement, on ne peut pas confiner une région où il y a une transmission communautaire. Ça ne va pas nécessairement empêcher la maladie de s’étendre. Il y a aussi d’autres facteurs à considérer, on ne peut pas couper des artères principales comme l’autoroute 73, par exemple. »

Liliana Romero est à la tête de la Direction de la santé publique depuis quelques semaines à peine.

Pour elle, la région des Etchemins est différente. Elle est protégée de façon naturelle. «Les liens avec la Beauce peuvent peut-être poser des problèmes et on sait que c’est une région qui peut être touristique et que la population est vieillissante.  Malgré tout ça, on ne voyait pas la pertinence d’adopter la même mesure. En conservant des contrôles dans les Appalaches, pour les gens qui circuleraient en provenance de l’Estrie, dans la Beauce et dans Bellechasse, on protège certaines régions, dont Les Etchemins.»

Surveillance accrue dans les résidences de personnes âgées

Fidèle à l’annonce du premier ministre François Legault, le CISSS Chaudière-Appalaches portera une attention particulière à ce qui se passe dans les différentes résidences pour personnes âgées de la région, qu’elles soient privées ou publiques, promet Mme Romero. Elle mentionne que des équipes sont déjà affectées à la chose. «Il y aura des évaluations qui seront faites afin de détecter de manière précoce s’il y a des signes qui sont compatibles avec la maladie. Il y aura aussi des tests de dépistage auprès des résidents et des employés pour voir s’il y a des gens asymptomatiques et avoir les mesures nécessaires pour éviter de transmettre le virus. Des vérifications seront aussi faites pour évaluer les conditions de vie des aînés et soutenir les établissements dans leur gestion. Tout ça est en marche. »

Elle invite en terminant les gens à continuer de mettre en pratique les mesures actuelles, soit de rester à la maison et de ne se déplacer qu’en cas de nécessité. «Les mesures plus efficaces afin de limiter la propagation de la maladie sont le respect de l’isolement et la distanciation sociale. C’est la meilleure chose que peut faire n’importe qui, dans n’importe lequel des territoires. Le virus va continuer de se propager malgré les restrictions et on se doit notamment de protéger nos personnes les plus vulnérables.»

Ainsi, pour tous les territoires et les régions du Québec, les consignes ministérielles sont claires: seuls les déplacements essentiels doivent être faits. Actuellement, les déplacements à l’intérieur des MRC doivent être limités, mais ceux qui sont jugés essentiels sont autorisés.

On parle qu’un déplacement sera jugé essentiel, soit pour des fins humanitaires (ex. : voir une personne en fin de vie), pour travailler ou exercer une profession dans un milieu de travail dont les activités n’ont pas été suspendues ou pour obtenir des soins ou services de santé nécessaires.

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le 13 avril 2020

14 Avr

Les agriculteurs s’ajustent à la crise

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 14 Avr 2020

AGRICULTURE. Sans surprise, les producteurs agricoles de la région doivent aussi s’ajuster à la crise actuelle, même si leur rôle a été jugé essentiel par les autorités dès le début de la crise.

Les agriculteurs essaient de s’ajuster à la situation (Photo : Archives)

Leur situation continue d’ailleurs d’évoluer quotidiennement en raison de différents facteurs. Actuellement, seules la pomme et la pomme de terre sont peu touchées par la crise explique le président de l’Union des producteurs agricoles pour la région Chaudière-Appalaches, James Allen. «Toutes les autres productions sont affectées, notamment en raison de la fermeture importante de la filière HRI (pour Hôtel, Restauration et Institutionnel)», explique-t-il.

Les producteurs de lait ont été parmi les premiers sur la ligne de front, certains ayant dû disposer d’une partie de leur production. «On a demandé aux producteurs, le 3 avril dernier, de baisser leur production d’environ 8 à 9 millions de litres par mois alors que généralement, cette production pouvait atteindre 65 millions de litres pour l’ensemble du Québec», explique David Poulin, président des Producteurs de lait de la Chaudière-Appalaches-Sud.

Il poursuit en disant que les systèmes qui servent de tampon lorsqu’il y a des variations sont au maximum. «Pensons au beurre, au fromage ou à la poudre de lait. On peut stocker ces produits à plus long terme, sauf que les usines de transformation fonctionnent à plein régime dans les circonstances actuelles.»

Il ajoute qu’il serait difficile de produire davantage de lait puisque le secteur de transformation ne pourrait suivre, même si cela était au bénéfice des banques alimentaires. «Quand nous faisons des dons, toute la filière doit participer. Le producteur ne peut faire plus que donner son produit. Celui-ci doit être transformé avant, il ne peut être donné directement au consommateur. Lorsqu’un don de lait doit être fait, il doit être transporté, ensuite transformé et de nouveau transporté vers les banques alimentaires qui elles, sont aussi limitées en termes de stockage. Ce sont des produits réfrigérés après tout.»

La transformation, un facteur

Les producteurs acéricoles qui vendent généralement à la ferme sont naturellement touchés de plein fouet, puisqu’aucun visiteur n’est admis dans les cabanes à sucre. James Allen a bon espoir que la fédération puisse se porter acquéreuse de la production en grande partie. «Ces gens-là vendaient beaucoup sur place. Espérons que la Fédération saura trouver des marchés pour en disposer.»

Autant les producteurs de lait, de volailles, de bœuf et de porc surveillent notamment l’évolution des marchés, surtout que les habitudes de consommation des gens ont changé au cours du dernier mois. Les mesures prises dans les usines de transformation sont également en cause, ajoute-t-il. Celles-ci ne peuvent rehausser leur production et doivent au contraire la diminuer. «Toutes les mesures sanitaires prises dans les entreprises, la confirmation de cas, la distanciation sociale et autres, tout ça fait en sorte que certains transformateurs ont baissé leur rythme, ce qui a une incidence sur les commandes faites aux producteurs.»

James Allen est le président de l’UPA en Chaudière-Appalaches

Le secteur de la volaille est également en ajustement avec une baisse de 15 % de sa production. «Il risque d’y avoir une diminution aussi dans l’élevage. Le cycle étant très court, environ 40 jours, les producteurs ont ainsi plus de facilité à s’ajuster, puisqu’il y a quelques cycles dans une année.»

Relativement aux productions bovine et porcine, il y a encore de l’exportation qui se fait, sauf que la façon de faire a été revue. «Dans le porc par exemple, il y a moins de découpe qui se fait et les morceaux expédiés sont beaucoup plus gros, ce qui allège la tâche des abattoirs qui peuvent tout de même produire avec constance et éviter qu’une quantité de porc se retrouvent en attente. Ce ne sont pas toutes les productions qui peuvent agir de cette façon», illustre-t-il.

«La vente de steak haché a augmenté, alors cela se passe bien, pour l’instant. Sauf qu’il n’y a plus d’abattoir au Québec et un abattoir américain est fermé jusqu’au début du mois de mai, alors il pourrait y avoir des répercussions chez nous pour cette raison. Il y a heureusement de petits abattoirs dans nos régions et on peut facilement s’approvisionner dans bien des cas», résume-t-il en terminant, ajoutant être très heureux de voir que les pépinières et centres jardins pourront reprendre leurs activités et que le volet des travailleurs étrangers a lui aussi bien évolué.

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le 14 avril 2020

14 Avr

Un coup de pouce à des familles immigrantes

par CJE Etchemins | Cat. Nouvelles | le 14 Avr 2020

GÉNÉROSITÉ. Enseignante en francisation aux écoles Appalaches et Fleur-de-Soleil de Sainte-Justine, Sophie René cherchait un moyen de faciliter la tâche de quelques familles immigrantes des Etchemins, dont les enfants sont ses élèves.

Sophie René a connu une période de trois semaines chargée au début de la crise, une belle initiative de sa part.

 (Photo : gracieuseté)

 

Les parents de ces enfants sont employés dans des entreprises de la MRC des Etchemins, mais la plupart font partie des personnes n’ayant aucun revenus depuis le début de la crise, surtout que pour les entreprises ayant toujours des employés au travail, le principe de l’ancienneté venait déterminer lesquels demeureraient actifs.

«Pendant trois semaines, nous avons nourrit 29 familles. Comme enseignante, j’ai ces enfants dans mes classes. Au début j’allais à l’épicerie pour nourrir deux familles que je sentais que les choses allaient moins bien. Quelques jours plus tard, c’était cinq familles, ensuite 10 et ainsi de suite», raconte Sophie René qui a dû puiser dans ses ressources personnelles au départ pour venir en aide à ces familles de Colombie et du Costa Rica en grande partie.

«Je voulais pallier le trois semaines d’attente qui se dessinait entre le début de la crise et l’entrée des premiers versements du chômage ou de la PCU du gouvernement fédéral. Je pense qu’on a bien réussit, tout le monde a été nourrit avec deux paniers par semaine.»

Les besoins devenant grandissants, elle a écrit un message à tous ses collègues des écoles où elle est employée, avec l’accord des directions. Une autre enseignante, Patricia Bernard, l’a rejoint pour l’appuyer. «Nous sommes privilégiés d’avoir encore un salaire qui entre, mais ce n’est pas le cas pour tout le monde. En deux semaines, j’ai dû recevoir environ 3 500 $ de dons et de nourriture. Certains ont fait des dons en argent, d’autres ont cuisinés.»

                                                    L’équipe de l’Érablière du Lac qui a aussi répondu à l’appel.

 

Un effet boule de neige

Cette première vague d’implication a été suivi d’une autre, celle de producteurs acéricoles de la région qui ont aussi décidé de faire leur part. L’un des acériculteurs ayant contribué à la cause, Patrick Bouchard avoue qu’avoir été sensibilisé à la situation l’a fait réagir. «Ces gens-là sont arrivés ici avec pas grand-chose. Il est normal qu’ils n’aient pas encore d’économies. Alors, pas de chômage pour un certain temps, des adultes et des enfants à nourrir, c’était évident et normal que des choses n’allaient pas. Surtout que la fête de Pâques approche, l’idée était bonne d’embarquer et de faire notre part.»

Keven Marcoux, Louis-Roger Pouliot, Benoit et Philippe Bouchard et Éric Lafontaine de l’Érablière du Lac sont d’autres personnes ayant participé à l’idée, tout comme Confiseries Yoma de Lac-Etchemin avec des chocolats de Pâques. Deux cuisinières, Pauline Gagnon et Diane Bolduc, ont cuisiné des repas, et les enseignants des écoles Appalaches, Fleurs de soleil et Notre-Dame de Lac-Etchemin ont remis de l’argent pour permettre l’achat de denrées. Le CJE et L’Essentiel des Etchemins ont aussi participé à la logistique.

Juan-Sebastian Florez Vargas et Sofia Florez Vargas de Sainte-Justine ont pu recevoir leur part de chocolat de Pâques.

Sophie René a raison de sourire, puisque son initiative a permis à ces familles de traverser les trois semaines névralgiques, certains ayant reçu leurs premiers montants d’argent. «Je continue d’appeler mes familles et si je vois qu’il y a d’autres besoins, je vais y aller. Les dons que l’on reçoit maintenant sont dirigé vers l’Essentiel des Etchemins qui assure le dépannage alimentaire dans la région.»

 

Source: Eric Gourde, La Voix du Sud, le 12 avril 2020

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