Natif de Saint-Prosper, Jimmy Giroux voulait piloter des avions. Ancien fantassin/parachutiste dans les Forces canadiennes et britanniques, il est plutôt devenu une figure marquante du parapente à l’échelle internationale.
Jimmy Giroux a pris part à de nombreux championnats mondiaux, comme celui de Vršac (Serbie) en septembre 2019. (Photo : Gracieuseté)
Lors d’un séjour aux Philippines, pays d’origine de sa conjointe, Jimmy Giroux a suivi des cours en parapente de précision. Rapidement, d’autres parapentistes lui ont demandé son aide pour organiser une étape de la Coupe du monde dans ce pays.
«C’était en 2013. J’ai ouvert mon école de parapente et commencé à faire des compétitions sur le circuit de la PGAWC (Paragliding accuracy world cup). J’ai une roulotte en Autriche, où je m’entraîne quatre mois par année sur le mont Gerlitzen, avec d’autres parapentistes», explique Jimmy Giroux.
Dans le cas du parapente de précision, l’athlète se lance dans le vide à partir d’une montagne. Contrôlant sa voile avec deux manivelles (suspentes), son objectif est d’atterrir sur une cible placée au sol. Plus le parapentiste est près du centre, plus il accumule des points au classement.
«De 2015 à 2020, j’ai participé à une vingtaine d’étapes de la Coupe du monde. En 50 tentatives, j’ai atteint deux fois le centre de la cible. Ça ne demande pas un entraînement précis. Dans la descente, c’est surtout important de tenir compte des vents et bulles thermiques», indique Giroux, alias Adrenaline Dealer.
Développer l’Occident
Le parapente de précision, autant que sa version acrobatique, est très populaire en Europe et en Asie. Les Amériques s’intéressent moins à ces disciplines sur la scène professionnelle, une mentalité que veut changer Jimmy Giroux.
«C’était en 2013. J’ai ouvert mon école de parapente et commencé à faire des compétitions sur le circuit de la PGAWC (Paragliding accuracy world cup). J’ai une roulotte en Autriche, où je m’entraîne quatre mois par année sur le mont Gerlitzen, avec d’autres parapentistes», explique Jimmy Giroux.
Dans le cas du parapente de précision, l’athlète se lance dans le vide à partir d’une montagne. Contrôlant sa voile avec deux manivelles (suspentes), son objectif est d’atterrir sur une cible placée au sol. Plus le parapentiste est près du centre, plus il accumule des points au classement.
«De 2015 à 2020, j’ai participé à une vingtaine d’étapes de la Coupe du monde. En 50 tentatives, j’ai atteint deux fois le centre de la cible. Ça ne demande pas un entraînement précis. Dans la descente, c’est surtout important de tenir compte des vents et bulles thermiques», indique Giroux, alias Adrenaline Dealer.
Source: Frederic Desjardins, L’Éclaireur Progrès, le 25 août 2020